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En bref... Février 2006



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Death by the sin – Shivaz
Dread Lion – Doeï – Kali Live Dub
Emilie – L'Emigrant
Third Eye Machine - Porn
Haïku


Death by the sin – Shivaz
Mercredi 1er Février , Brise Glace, enregistrement de l'émission d'ODS "Brise Live" :

Les Death by The Sin, c'est du post-hard rock. C'est le chanteur qui le dit et bien que ça ne soit pas particulièrement brutal, ça plait bien aux amateurs de métal (style Kosa Nostra).
Shivaz, de Reigner, c'est moins heavy, c'est plus juste bien rock avec des textes en français, des morceaux qui vont parfois flirter aux limites de la pop, un chanteur encore capable de sauter très haut en fin de set et un bassiste qui joue comme s'il avait une basse sauvage entre les mains.


Dread Lion – Doeï – Kali Live Dub
Samedi 4 février 2006, Hall des Expos :

Le hall des expos étaient loin d'être plein mais bonne ambiance quant même. Le prix des places devait être un peu cher pour le public visé… mais le prix des places est une chose dont n'ont pas à se soucier les bénévoles qui travaillent sur un concert comme ça.
De quoi a à se préoccuper un bénévole sur un concert comme ça ? Pour certains, c'est la technique, les changements de plateaux, le montage/démontage du matos entre 2 sets, pour d'autres c'est servir au bar ou faire le déchireur de billets et pour d'autres encore, c'est faire les sandwichs, les salades, le service, fournir des renseignements capitaux aux musiciens tel que l'emplacement du sel...


Les bénévoles à la cuisine. Photo Dessous de Scène
(les organisateurs annéciens de l'évènement)

En bref, les Dread Lion, les piliers référence en matière de reggae roots à Annecy, étaient semble-t-il en bonne forme et ont assuré un set bien clean.
Les Doeï, de Grenoble ont servi un dub bien planant aux influences très orientales. Dans un hall des expos qui pourrait servir de hangar à Boeing, le chant de la cithare, c'est vraiment magique.
Les Kali Live Dub, de Lyon, devenus référence nationale en matière de dub fut-il expliqué aux bénévoles pas tous spécialistes du sujets, les Kali, eux, n'ont pas de cithare et misent sur un son un peu moins chaud, d'avantage electro.


Emilie – L'Emigrant
8 février 2006, Le Brise Glace :

Des voix comme ça, au Brise Glace, il faut le dire, on en entend pas souvent : Emilie est étudiante en classe de chanson au Conservatoire d'Annecy et on en profite pour saluer au passage l'une de ses camarade toute aussi talentuseuse : Alice, chanteuse du groupe/orchestre reggae Spear'It.
En deux mots, dans cette classe du Conservatoire, des petits jeunes aiment chanter du Nougaro ou du Brel, ils le font avec un talent et une présence à clouer tout le monde sur place et un plaisir communicatif, même quand on est pas du tout fan de Nougaro.

L'Emigrant, c'est de la chanson-rock très métissée et joliment festive, autant grâce aux textes finements ciselés que par la bonne humeur et la belle énergie dégagée par ce quintette de Bourgoin-Jailleux. C'est simple : c'est à voir et à écouter (site web bien complet).


Third Eye Machine - Porn
Mercredi 14 février, le Brise Glace :

C'était du métal.
Les Third Eye Machine avaient joliment travaillé leur visuel : ils étaient sous célophane ! Un film plastique séparant la scène du public... Et le bassiste était en robe blanche style chanteur de Korn en mariée avec des lentilles qui lui faisaient les yeux à la Marylin Manson et le chanteur portait un costar à la killers des Pulp Fiction. Mais voilà, c'est du métal et ça plait aux gens qui aiment le métal, même que les TEM ont ou ont eu ? un titre programmé sur une webradio américaine mais oui, voilà, c'est du métal.
Et après être restée pour suivre leur set en entier, l'auteur n'était plus en état pour celui de Porn, aussi très... Bah...On est pas resté, quoi.


Haïku
Le Comptoir de la Folie Ordinaire, jeudi 15 février 2006 :

Ici, on parle de leur "réputation de groupe scénique" et d'un concert où ils avaient dynamisé la foule. Mais au Comptoir, il n'y a pas de scène et ce soir-là, il n'y avait pas de foule non plus : l'ambiance resta donc assez calme mais pas besoin de foule en délire pour sentir que Haïku est un groupe rock tout simplement convainquant : ils pourront repasser, on retournera les voir.