J'avais oublié à quel point la chemise blanche est le vêtement parfait. Une petite chemise blanche, ceintrée au niveau de la taille. Pourquoi ? Elle s'adapte! C'est un vêtement tellement simple qui s'allie sans problème avec un jean, un cardigan, des ballerines et un petit noeud vert dans les cheveux (oui c'est ce que je portais aujourd'hui). Mais on peut sans problème la porter avec une jupe taille haute et des collants noirs s'il faut s'habiller de façon plus "professionnelle". Je me souviens avoir porté une chemise blanche assez souvent l'été dernier lorsque je faisais ce stage dans un cabinet d'analyse financière (genre je gère les actifs comme je gère mon appartement, un jeu d'enfant haha!).
En bref je vous fais part de ma révélation du jour. J'ai passé la majeure partie de la journée au lit et j'ai adoré ça. Je suis ensuite allée en cours, j'en ai pas séché un de la semaine et je sens que mon moral remonte en flèche, c'est agréable comme sensation. Je retourne à Nice demain et je suis ravie (comme le dirait Lorus).
J'écoute le CD MAJE EN SCENE et il convient parfaitement à mes oreilles à ce moment de la journée.
Je crois que je peux noter les 17 et 18 février comme des bonnes journées de 2009, en espérant qu'il y en aura pleins d'autres encore.
*
Les vacances approchent et je m'en réjouis. En même temps c'est pas comme si je me foulais en cours en ce moment. Mis à part faire acte de présence en classe (pas le choix), le concept d'école (cahier, stylo, leçon, TRAVAIL) me semble bien minime ces temps-ci. Mon cerveau se repose, il va finir par ne plus pouvoir redémarrer au moment où il faudra que je me mette au travail. Mais pour l'instant je m'en fous. Je préfère aller boire du café à Starbucks, aller au cinéma et lire. Aujourd'hui je suis allée voir "The curious case of Benjamin Button" avec Brad Pitt et Kate Blanchette. Et je ne sais pas trop quoi penser si ce n'est que je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire (en même temps je n'avais pas lu le synopsis avant). C'est le côté "fantastique" qui m'a surprise. Mais j'ai aimé le fait qu'on traverse différentes époques dans un même film assez long mais ponctué de régulières et subtiles touches d'humour. J'ai particulièrement apprécié les scènes où Daisy danse, cette femme passionnée de danse classique qui m'a rappelé mes émotions ressentie dans le passé. Et puis il amène à réfléchir sur le fait de vieillir et d'accepter le fait que nous sommes tous amenés à disparaître un jour. A savoir s'il mérite ses 13 nominations aux Oscars ? Je suis un peu perplexe.
Et côté lecture, mis à part ma dose quotidienne de "Elle", "Jalouse" et autres j'ai commencé Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol. Pour l'instant j'aime (remarque pertinente et objective, comme toujours!).
*
[EDIT] Youhou! J'ai réussi à aller en cours aujourd'hui![/EDIT]
Finally back. Avec une nouvelle version, toujours en gris je sais pas trop pourquoi j'ai tendance à me tourner vers ces couleurs un peu tristes sans trop y réfléchir. On dira que c'est parce que c'est classe (et non pas parce que c'est triste hein ?).
Depuis les derniers posts (déprimants) j'ai eu le temps de terminer mes partiels, de faire la fête tout le week-end qui a suivi avec des amis qui comptent énormément pour moi. Ceux de Nice (et ceux de Nice qui vivent à Paris). Nous avons fait le tour d'endroits tous aussi curieux les uns que les autres. Ainsi j'ai découvert le Mama Shelter dans le XXème arrondissement. C'est Starke qui en a fait la décoration : beaucoup de gris, très "rocheux" (beaucoup de pseudo pierres quoi) comme style avec des couleurs faites à la craie et à la bombe au plafond. Nous avons passé une nuit (c'est le cas de le dire) au ChaCha où nous avons squatté la salle du 1er étage (plus que le bar d'ailleurs) à discuter assis dans une baignoire avec un verre de vodka à la main (la vodka occupe toujours mes soirées, elle me rend folle et c'est ce que j'aime avec elle).
Nous avons profité du Marais comme jamais, fait de nouvelles overdoses de sushis et puis... Le second semestre a recommencé à Dauphine, les niçois sont repatis au soleil et moi je me suis cognée à nouveau à cette réalité parisienne. J'ai continué à me plaindre du froid, j'ai sécher 3 heures de cours (sur les 9 heures hebdomadaires) et j'ai raté mon train vendredi matin. Cela ne m'a pas empêché de me rendre à Montpellier le week-end dernier, retrouver Marion ma Rebelle. Nous avons profité du soleil (et haï le froid glacial et le vent), des petites ruelles de la ville et du CIRCUS BAR où nous avons décidé de boycotter la St Valentin! Nous avons mangé des pains au chocolat (ou devrais-je dire "chocolatines" ?) en nous moquant de Césaire (le chat de Marion) et bu des litres de thé.
Une nouvelle semaine commence, j'essaye de retrouver mes repères d'étudiante parisienne, studieuse, organisée et heureuse. C'est pourquoi je vais aller travailler à la BU : pour travailler et ne pas sécher mon seul cours du jour.
En parlant de bonheur, j'ai passé tout le temps du trajet en TGV à me remettre en question. Vous aurez sans doute remarqué que je traverse une période un peu noire à raler pour un rien et à m'enfoncer dans une aigreur qui ne me correspond pas. Tout ça pour conclure, en arrivant à la gare de Lyon que je m'en sortirai, je m'en sors toujours. Qu'il fallait que j'attende patiemment la fin de l'hiver, que j'aille en cours, que je travaille et que je mange encore plus de pommes et de chocolat!
*
The beginning of the end of an endless period.
Please check this out.
*