J'ai vu Bonobo. Redécouvert ce groupe en live. Ils sont passés au festival du jazz à Nice. Et toujours la même émotion que celle ressentie lorsque je les ai vu à Londres il y a 1 an et demi.
Je suis partie de Nice, en voiture, avec ma maman. Nous avons conduit jusqu'à Paris où nous avons rejoint ma soeur et avons passé 3 jours à courir dans tous les sens. On ne peut pas s'en empêcher quand on met les pieds dans cette ville et qu'on aimerait tout faire. Picnic au Luco, exposition de Richard Avedon, diner au Barlotti, le boulevard Haussman, Starbucks, le métro, la chaleur insoutenable...
Revenir dans l'appartement a été très agréable. J'avais peur, en revenant à Paris, d'avoir une impression de déjà-vu. En fait non! Revoir la tour Eiffel en entrant sur le périph' m'a fait le même effet que l'année dernière, m'a procuré le même bonheur, comme si je la découvrais pour la 1ère fois. L'appartement avait cette même odeur, un peu sucrée, que j'avais senti il y a un an en arrivant. Rien de changé, et pourtant tout semblait si nouveau.
Demain, grand départ pour Copenhague. Le passage obligatoire pour se ressourcer.
A très vite!
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Les vacances. Quoi de mieux que de ne rien prévoir mis à part regarder la mer lorsqu'on se lève et qu'on s'aprête à prendre un petit déjeuner au soleil ? Quoi de mieux que de plonger dans l'immeuse piscine de la résidence alors que tous les voisins ont déserté pour aller déjeuner ? Et quoi de mieux que d'avoir l'esprit tranquille, vraiment tranquille ?
Je trouve difficilement les réponses à ces questions et c'est tant mieux!
J'ai pris le petit déjeuner au Pain quotidien avec Lorus ce matin et c'était parfait.
Le festival du jazz est arrivé à Nice.
Je bois smoothies sur smoothies, tantôt seule, tantôt avec Mickey.
En parlant de Mickey, c'est lui qui a pris la photo qui figure sur cette nouvelle version. Elle a été prise à Bali (son coin de paradis).
Sur ce, je file!
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C'est toujours la même histoire. Le même quotidien.
Mais prise par le temps (et le travail) elle est devenue un peu moins fidèle à ces pages virtuelles. Elle a finit de partager sa vie avec bon nombre d'anonymes qu'elle ne connaîtra surement jamais. "Finit" temporairement. Je ne suis même pas certaine d'avoir orthographié ce mot correctement.
Mais dans 3 jours elle aura terminé. Trois longues journées de dur labeur et place aux vacances, à la chaleur et l'insouciance qui caractérisent si bien l'été.
Elle a hâte forcément. Elle a envie de revoir toutes ces personnes qui meublaient jadis son quotidien. Elle a envie de se perdre dans les arènes de Cimiez, se laissant guider par des airs de jazz, tard le soir. Elle a envie de perdre la notion du temps. De se déplacer sous l'eau, isolée des autres pendant quelques minutes et ressentir ce bref sentiment de liberté totale.
Se lever bien après le soleil. Se coucher bien après lui aussi. La musique. Regarder les étoiles, allongée sur le sol encore chaud de la terrasse. Ne plus réfléchir. Crier de toutes ses forces son énergie et sa joie de vivre. Photographier, toujours capturer les moments les plus insolites. Lire, lire, lire, à toute heure du jour et de la nuit.
Et garder un oeil sur l'évolution des marchés financiers. La finance c'est comme le crack: il suffit d'y goutter une fois dans sa vie pour avoir envie de recommencer, inlassablement.
Le temps d'une semaine...
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Protégé par l'immunité pénale, Silvio Berlusconi pourrait échapper à la justice
LEMONDE.FR avec AFP | 10.07.08 | 20h56 • Mis à jour le 11.07.08 | 08h29
Le premier ministre italien, Silvio Berlusconi, semble réussir à passer entre les mailles de la justice. Le projet de loi qui accorde l'immunité pénale aux quatre plus hautes personnalités de l'Etat a été adopté jeudi 10 juillet par les députés du pays. Le vote a été obtenu à une large majorité (309 pour, 236 contre et 30 abstentions), même si les députés de l'opposition (Parti démocrate de Walter Veltroni et Italie des valeurs de l'ancien magistrat Antonio Di Pietro) ont voté contre ce texte présenté par le ministre de la justice, Angelino Alfano.
Le projet de loi prévoit "la suspension temporaire" des procédures judiciaires contre le président de la République, les présidents du Sénat et de la Chambre des députés et le chef du gouvernement. Cette suspension, dont la durée est égale à celle du mandat, s'applique aussi pour les délais de prescription.
Le ministre de la justice s'est félicité du vote des députés qui"répond aux exigences de permettre aux titulaires des plus hautes charges de l'Etat de travailler sereinement".
Le projet de loi controversé avait été adopté par le gouvernement fin juin et doit encore être confirmé par le Sénat pour permettre à Silvio Berlusconi, empêtré dans des affaires judiciaires, d'échapper à la justice pendant la durée de son mandat. Le projet de loi devrait être soumis au Sénat d'ici à fin juillet pour une adoption en un temps record.
A part ça, ce soir débute le week-end, je trépigne d'impatience!
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J'écris du travail. Il me faudra donc être brève.
Mais j'avais envie de poster. Il se passe tellement de choses. Pas forcément passionnantes mais inhabituelles.
Il y a le travail bien sûr. Toujours aussi intense : passionnant et épuisant. Je suis sur tous les marchés financiers à la fois, j'étudie de grosses compagnies pour savoir si investir dedans vaut la peine. Je compatie à la morosité ambiante. Un jour tout va bien, le lendemain tout le monde s'effondre et clôture dans le rouge. Encore ce matin, deux hommes en costume cravate en parlaient : le Nasdaq a perdu 2.6%, le Dow Jones 2.1%. Et le S&P ? N'en parlons pas!. C'est drôle de comprendre l'intérêt de cette conversation. Mais en même temps j'aimerais que la finance me foute la paix lorsque je ne suis pas au travail!
Je rentre chez moi le soir, exténuée, déjà prête à m'endormir. Pour me lever tôt le lendemain, retourner à la gare retrouver un nouvel ami qui lui est censé attendre sur le quai d'en-face mais avec qui attend son train avec moi pour parler. C'est une drôle de rencontre. Et si aujourd'hui nous discutons c'est parce qu'il m'a un jour donné un morceau de papier avec un dessin et un message avant de filer prendre son train.
Pour le reste, y a-t-il vraiment autre chose dans ma vie tant je passe de temps au travail ?
Pas vraiment. Sauf le festival du jazz qui approche à grand pas et que je n'ai pas l'intention de manquer. Vivement cette semaine là, je serai alors (enfin) en vacances. Mais en attendant, concentration sur le travail est primordiale, déjeuner avec le big boss prévu aujourd'hui!
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Vivre seule. Vivre pour soi. Rien que pour soi. Et toujours pour soi. Il y a 3 ou 4 ans je croyais fermement que c'était un impératif pour s'en sortir, pour être réellement heureux. Une idée pouvant être comparée à l'économie. Vivre en autarcie pour ne pas avoir à subir les chocs subis de l'extérieur, se protéger, tout le temps.
Aujourd'hui je sius à mille lieux de cette vision des choses. J'ai finis par laisser ma carapce dans un coin parce qu'elle était trop lourde à porter et qu'au final rien ne vaut les moments passés avec les autres. J'ai finis par basculer de l'autre côté. A tel point que le fait d'être seule m'angoisse. J'ai besoin des autres, de savoir que je compte pour certains d'entre eux.
Le dimanche aussi m'angoisse, j'ai besoin de vacances.
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Je ne suis pas très fidèle à ce blog en ce moment. Stage oblige et plus de 45h de travail par semaines.
Mais je tiens le coup. Je m'instruis, je progresse et je profite le week-end pour retrouver tout mon monde niçois bien qu'il me reste tellement de personnes importantes pour moi à revoir!
Et elle est revenue de son périple, si encore on peut appeler ça un périple... C'est négatif un périple, alors qu'elle elle a passé une semaine à vivre pleins de choses et que du bonheur. Elle est revenue avec lui, lui qui est venu la chercher au port, l'attendre sur le quai pour la serrer fort dans ses bras. Et lui dire, encore une fois, qu'il l'aime.
Ils sont là et ils rayonnent. Ils sont confiants, heureux, insouciants.
Et moi tout ce que je sais faire, la seule chose dans laquelle j'ai toujours lamentablement excellé, c'est de les envier. Ca semble si facile quand on les observe. C'est fluide et évident et naturel.
Il est lourd le ciel parfois. Mais je crois surtout que je suis épuisée et dans ce cas je ne sais que pleurer.
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Je t'aime toujours, d'amour...