© La vie est ailleurs - M.Kundera
RebelLe m'a fait découvrir ce livre. Elle a eu raison.
La soirée chez Astrid était... mouvementée. Mais à refaire. Merci les polaroids d'immortaliser tant de conneries!
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Finalement je ne suis qu'une souillure prise à son propre jeu.
Cupidon, ton poison est dégueulasse où tout comme je le disais à RebelLe ce matin, je ne suis pas prête à le boire cul sec!
Je ne suis même pas à plaindre. C'est comme ça. On s'amuse, on s'amuse, on les fait tourner, on goûte à ce qui nous passe sous la main, on dévore certains. Et puis un jour arrive quelqu'un de différent. Chouette, du nouveau, avec en exclusivité des sentiments!
Mais non, ce ne sera pas pour cette fois-ci. Après tout qu'est-ce que c'est qu'une semaine dans une vie ?
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Marie-Antoinette c'est l'occasion de découvrir des images belles, lumineuses. Tout un tas de couleurs. Des maccarons, des fraises, des framboises, de la soie, de la dentelle, du rose, du vert, du bleu.
Une jeune fille un peu perdue, qui cueille une fleur dans un vaste champ de marguerites. Mais n'oublions pas le baroque dans tout ça. Et surtout la musique un peu rock qui se mélange à cette ambiance.
L'histoire est un peu moins séduisante, le personnage est attachant mais ne fait pas l'unanimité. Sofia Coppola nous a habitué à mieux notamment avec Lost in translation. Toutefois je vous conseille vivement d'aller voir ce film.
Jolie petite journée que fut ce mercredi. ou comme le crierait la chanteuse des Dresden dolls : God it's been a lovely day! Everything was going my way!...
Je vais peut-être (re)goûter au poison qui m'a détruit il y a 2 ans. Et j'en suis folle de joie!
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Polaroids du jour :
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C'est déjà quelque chose qu'on efface. Cette fois-ci c'est de ma faute. Ou grace à moi. A vous de trouver votre côté. Cela ne changera rien au fait que c'est fini. Fini, fini, fini, fini, mort, enterré... POur mon plus grand plaisir. Au moins de quoi me faire sourire pour l'instant (salope!). Je n'ai pas voulu faire souffrir! J'ai simplement voulu être honnête. L'hédonisme est trop fort. Les sentiments pour "l'autre" aussi. Un mélange étrange où se mèlent les saveurs de l'été et du stress. A suivre...
Le bac approche. D'où une surcharge de stress! J'ai peur mais ne le montre pas (encore). Disons que je sature, au moment où je devrais VRAIMENT travailler. Comme si j'avais tout donné au cours de cette année et qu'il n'en reste plus rien (plus grand chose en tout cas).
Alors Lait Abricot ? Et RebelLe ? Smarties ou Marie Antoinette ? Ce serait surement mieux que je lui demande son avis à lui ? Oh et puis non! J'ai envie qu'il découvre, se laisse guider. Qu'il succombe.
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Presque un an sans cette sensation. Qui finalement ressurgi. Et pour une personne que je ne soupçonnais pas devenir aussi "importante". Et non, il ne s'agit pas du "mien". Mais d'un autre.
Je hais ce type de post, parce que peu de personnes peuvent vraiment comprendre. Mais tant pis!
Hier soir : sortie avec Lait Abricot et Lulu au sushi (miam!) puis fin de soirée chez Lulu, avec Lélé qui nous a rejoint. Narguilé menthe, thé à la menthe, musique indienne. Mélange ma foi sympatique, qui ne peut faire que du bien au moral!
Jeudi : déjeuner avec Sarah. Chouette moment aussi.
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J'ai passé un week-end trop bizarre. L'expression est enfantine et c'est tant mieux. Un peu comme les enfants, je cherche à aller droit au but lorsque j'écris ça. Surtout vendredi soir. Des soirées comme j'en avais pas eu depuis bien longtemps. Seule. Dans le noir. Je crois que ça suffit d'écrire ça. Je me disait "vivement demain", pour partir un petit peu. Revoir mon frère, sa nouvelle vie qui est si jolie.
Donc samedi, direction Ramatuelle (VAR - 83) avec Papa. Moi au volant, lui assis à côté. On a parlé, de tout un tas de choses! Et ça me faisait bizarre, je ne suis jamais seule avec lui. Et puis, on a commencé à parler de culture générale, je me trouve inculte, surtout lorsque je parle avec lui. Alors on a pioché un sujet au pif : la bioéthique. C'est toujours ça d'appris. Il me reste tellement à découvrir. RebelLe me conseille Buckowski, Ginsberg, Kerouac et sa "beat generation". Et promis je vais m'y mettre (parce que j'en ai envie).
Tout comme je voudrais vivre une vie de bohême, ne pas tout plannifier à l'avance. Qu'est-ce-que j'aimerais!
Demain Da Vinci code sort au cinéma, et déjà je sais qu'il va falloir que je trouve le temps dans les prochains jours pour voir ce film. Le week-end prochain ? Ou bien dans 2 semaines ? Dans un mois ? Quoique, sera-t-il à l'affiche dans un mois ?! Envie d'un bol de thé.
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A repenser à moi, à ce que j'étais il y a un an, je constate à quel point j'ai changé. J'étais naïve, fragile, fade. Mignonne ? Oui pourquoi pas. Une fleur bleue qui n'attendait que son prince charmant (celui qui est censé arriver sur son cheval blanc). Et puis, la vie a fait que le prince n'est jamais arrivé. Il avait pointé le bout de son nez pourtant. Mais rien de plus. Juste un faux espoir. Parce que le prince il aimait s'amuser. Et je ne le comprenait pas moi ce prince. Si immature, selon moi.
Aujourd'hui, il est toujours aussi immature, puisque j'en ai décidé ainsi. Mais ce n'est pas parce qu'il "s'amuse" qu'il est immature. C'est pour pleins d'autres raisons aussi.
Et aujourd'hui, je suis aussi immature que lui. Parce que j'ai arrêté de rêver, parce que je suis une souillure, à mon tour! Et que jamais je ne me suis sentie aussi bien de ma vie. A se demander si un jour je ne vais pas finir seule, dans mon trou, totalement dénuée de moralité, avec un coeur qui part en miette ?
Ce n'est pas mon problème pour l'instant. Je fais comme Dorian Gray... et son hédonisme.
Photos polaroid d'aujourd'hui :
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[...]et Baudelaire : "Il faut être toujours ivre... de vin, de poésie ou de vertu, à votre guise..." Le lyrisme est une ivresse et l'homme s'enivre pour se confondre plus facilement avec le monde. La révolution ne veut pas être étudiée et observée, elle veut que l'on fasse corps avec elle; c'est en ce sens, qu'elle est lyrique et que le lyrisme lui est nécessaire.
© La vie est ailleurs - M.Kundera
RebelLe m'a fait découvrir ce livre. Elle a eu raison.
La soirée chez Astrid était... mouvementée. Mais à refaire. Merci les polaroids d'immortaliser tant de conneries!
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A passer des heures, dehors, à ne rien faire, enfin, tout est relatif. Allongée sur un canapé. Sous l'emprise de rayons, chauds, violents, voir insupportables. Dominée, obnubilée, soumise. J'adore ça!
Bon ok! Je vais un peu loin là.
j'ai finis les écrits, manque plus que 2 oraux et le 3ème bac blanc sera terminé. Ca me fait tellement bizarre de penser que je suis à un mois du bac. Alors, pour ce dernier mois, je vais rester en apné. Et foncer. Parce que de toute évidence il n'y a rien d'autre à faire. Et puis il s'agit d'un mois, de 30 jours (ou 31 ?). C'est rien tout ça, dans une vie. Alors je m'entête, je m'obsède. Parce que je n'aime pas faire les choses à moitié. Et parce que j'ai envie de réussir au moins une chose dans ma vie. Préparez le café, rien à manger. Ah et puis un bon tilleul, pour essayer de dormir tranquillement.
Ce soir : fête chez Astrid. Dodo chez Léa. Narguilé au jasmin. Hâte que la nuit tombe. Sortez le champomy!
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