Mai 2009

Jeudi 29 mai 2009 - 9.08

Some kind of culture.

Hier je suis allée acheter ça :

Le nouvel album de Phoenix devait impérativement attérir sur l'une de mes étagères, l'envie de posséder le CD étant trop forte. Je l'écoutais déjà en boucle sur Spotify mais ça ne me suffisait pas.
Celui de Hocus Pocus je suis tombée dessus par hasard en regardant dans les CD que la Fnac vendait à 8€. Hocus Pocus me rappelle l'été dernier, les quelques semaines que j'ai passé à Nice après le stage de finance. Je me levais à l'heure qui me convenait, en général Maman avait déjà déserté la maison pour aller travailler, Papa et Anastasia étaient en vacances ailleurs. Je prenais mon petit déjeuner au soleil ou devant la télé, puis j'allais me baigner, aux alentours de midi, quand il faisait trop chaud pour les autres résidents. Ca me laissait la piscine rien que pour moi, j'en profitais pour ne porter qu'une culotte et nager librement, sans penser à quoique ce soit, seulement au bonheur de l'instant présent.
L'après-midi, à part savourer les salades tomates-mozzarella-huile d'olives-basilic-melon, je retournais nager (avec les résidents qui ressortaient), ou bien je restais tranquille à l'ombre sur la terrasse avec un livre et de la musique (Hocus Pocus). Et le soir, je voyais des amis, me perdait dans les Arènes de Cimiez à écouter du jazz ou ce qui s'en rapproche.
C'est fou tous les souvenirs qu'éveillent une simple chanson. J'en ai des papillons dans le ventre à repenser à ce bonheur. J'ai tellement hâte d'y retourner.
Le DVD c'est Cashback, il était temps que je l'achète. J'en suis dingue depuis le jour où je l'ai découvert. J'ai toujours pensé qu'un petit ami sensible et calme comme Ben Willis était mon idéal. D'autant plus que ce calme cache un grain de folie qui le rend encore plus sexy! C'est un film à la fois dramatique, romantique, qui se termine bien, avec quelques touches d'humour très bien placées.
Le magasine c'est Jalouse que je ne manque pas d'acheter tous les mois. Une source pour la mode, la culture contemporaine telle que je l'aime (musique, art), un aperçu de nos soirées privées parisiennes dans lesquelles j'aimerais mettre les pieds. Ce sont quelques bonnes adresses culinaires aussi. Le tout est de très bon goût mais un peu cher, c'est dommage.
J'ai aussi acheté Je ne souffrirai plus par amour de Lucia Etxebarria en pensant que ce serait une histoire romantique et fictive. Pas du tout! C'est plutôt un livre psychologique s'adressant aux victimes désabusées de mon genre! Le test figurant au début du livre le montre. Sans être un cas desespéré, il m'est néanmoins conseillé de lire le bouquin. Alors allons-y, lisons-le! Je vous dirai ce que j'en pense lorsque j'aurais commencé/fini. Ce n'est pas ma priorité du moment. Je termine mon livre en cours, puis j'attaque celui que je dois livre/apprendre (par coeur) pour la microéconomie. Peut-être que d'ici là je n'aurai plus besoin de suivre les conseils de Lucia Etxebarria.
En attendant le soleil brille sur toute la France, alors mes amis, passez un bon week-end.
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Mercredi 28 mai 2009 - 00.10

Love like a sunset.

Mardi 27 mai 2009 - 8.14

Morning latte.

De retour du trou du cul de la France. Un week-end qui ne pouvait que nous changer les idées, nous permettre de respirer un air sain et de prendre des coups de soleils tant il faisait beau.
Avant de revenir dans une capitale chaude et polluée pour travailler. Les deux premiers jours de la semaine sont les plus durs. Je retourne vite au travail et puis ce soir, ou demain, je m'occuperai de sélectionner les plus belles photos du week-end.
Au fait, je vous conseille fortement d'écouter le nouvel album de Metric. Celui de Phoenix est sorti hier. Une perle!
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Jeudi 21 mai 2009 - 23.11

Let's stay together.

Je m'en vais demain dans les Deux-Sèvres, dans un village du genre Perpette-les-Olivettes, pour une tournée avec la troupe de théâtre. Nous allons donner 3 représentations, et quand on ne sera pas en train de brûler les planches je suppose qu'on va nous imposer promenades en vélo et autres promenades pour découvrir un peu le pays. Quand je dis "imposer" c'est pas péjoratif, je suis ravie d'aller me changer les idées à quatre heures de route de Paris. Le seul problème c'est que j'ai 3 contrôles la semaine prochaine et que j'aimerais bien les travailler, histoire de les réussir, histoire d'avoir des bonnes notes, histoire d'être heureuse et de rendre Papa et Maman fiers. Enfin... On verra bien.
Et j'hésite à faire un aller-retour express vers Nice le week-end de la fête des mères mais j'ai peur de manquer d'argent... Alors pour ça aussi, on verra.
Bonne nuit.
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Mercredi 20 mai 2009 - 10.30

Quel est le problème d'Ornicar ?

Rock&Roll et un peu de soleil, tout va bien, je vais bien, la vie est belle!
Je m'endors un peu triste et je me réveille en ayant tout oublié. Oui, oui, oui, tout oublié! Sauf le fait qu'il faudrait que je me mette au travail mais la fleme l'emporte pour le moment et que je préfère découvrir la musique de Montgomery en bloggant!
Je crois qu'il est question de faire la fête ce soir. Pas de se coucher à l'aube, mais tous les amis viennent manger des sushis à l'appart et surement qu'ils amèneront du vin. Et à coup sûr ils ramèneront leur bonne humeur. Les choses ne peuvent pas se passer autrement.
J'en oublie que je suis désormais jalouse de Blair Waldorf dans "Gossip Girl". Moi aussi j'aimerais que mon amoureux secret m'attendent avec des fleurs et une déclaration. Oui, "Gossip Girl" fait toujours partie de mes référence, que voulez-vous, j'aime être une gamine écervelée par moments, c'est plus facile. Mais je suis également en train de lire "Reviens, Voltaire, ils sont devenus fous" de Philippe Val. C'est mon papa qui m'a confié ce bouquin avant de repartir à Nice la semaine dernière. Il dit s'être régalé en le lisant, et je suis assez d'accord avec lui. Philippe Val est très intéressant, et je partage son point de vue lorsqu'il parle d'intégrisme religieux.
J'aimerais déjà être en vacances. Une fois les partiels terminés je m'envole pour Nice, le soleil et l'insouciance qui va avec les jours d'été. J'ère vers les soirées qui se prolongent jusqu'au petit matin sur la plage avec les quelques bonnes personnes pour ce genre de situation, les bougies et la photographie.
Je repensais à l'année (scolaire) qui est en train de s'achever. Et celle-ci aura été particulière. Déjà parce que j'avais moins de travail que d'habitude, et que je me suis consacrée à d'autres projets comme le théâtre. J'ai vécu des soirées un peu folles, d'ailleurs lors de la première d'une longue série je ne me suis même pas réveillée chez moi. J'ai rencontré tout plein de personnes et je n'en fréquente pas la moitié. C'est fou de pouvoir faire la fête avec des individus qu'on vient de rencontrer, de faire comme si on se connaissait depuis des années et puis les oublier. Pour l'instant ça m'amuse, mais je ne suis pas sûre de pouvoir vivre comme ça infiniment. Ca manque de vérité.
J'ai aussi réalisé que malgré tout l'amour que je porte à Paris, j'ai besoin de revenir à Nice de temps en temps. Le fait de partir aura estompé de mon esprit les raisons qui m'ont fait partir. J'ai chassé le mauvais pour ne me souvenir du bon. C'est comme une réconciliation avec son passé et ça aussi c'est bien.

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Dimanche 17 mai 2009 - 14.11

Un, deux, trois, quatre, cinq, six, a hundred times is fine.

[EDIT] Aujourd'hui je suis allée voir "Toute l'histoire de mes échecs sexuels" avec S.
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On y découvre une personne totalement décalée mais qui n'en est pas moins sensible. C'est drôle et touchant!
Et j'ai pu grâce à ce film découvrir de nouveaux artistes tel que Grizzly Bear et Born Ruffians. Le réalisateur a décidé d'utiliser certains de leur morceaux pour le son et depuis je les écoute en boucle (oui, déjà!). [/EDIT]

Je post de mon Paris et de son ciel gris souris. On finit par s'y habituer au ciel gris souris. J'ai même réussi à ne plus le remarquer du tout ces derniers jours, tellement il s'est passé de choses. Entre deux pièces de théâtre et les expositions, sans oublier les déjeuners dans des coins insolites. J'aime faire découvrir mon Paris à ceux qui n'y vivent pas. Ainsi, nous nous sommes rendus à Beaubourg pour aller voir l'expo de Kandinsky, nous sommes allés au théâtre de la Renaissance applaudir Lilou Fogli, qui joue dans "Hors piste", une vraie perle! J'ai joué au théâtre de Neuilly jeudi dernier et aimerait y retourner de suite.
J'ai amené Maman déjeuner au "Café qui parle" rue Caulaincourt, elle a adoré. Sans oublié l'énorme table du "Pain quotidien" rue des Archives (le passage obligatoire).
C'est un peu ça mon Paris, la culture, la cuisine bio ou bien les bistrots parisiens calmes ou agités. Sans oublier les tasses de thé chez moi en écoutant de la musique.
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Mercredi 13 mai 2009 - 12.59

It's all about romance.

1991
Dans le jardin de nos amis d'enfance, John et Steve, on passait des heures à courir dans tous les sens. John a mon âge et dès qu'on a été en âge de marcher et parler nous avons déclaré que nous étions amoureux. Il me faisait faire des tours dans sa mini jeep electrique rouge et on se faisait des bisous sur la bouche, comme les grands. Je ne me souviens pas très bien de ce que nos mères disaient, mais je suppose que ça les amusait beaucoup, d'autant plus que nous avons énormément de photos de ces jours là.
1998
Je rentre de l'école, maman est venue nous chercher Anastasia et moi. C'est le 14 février et tout en sachant que c'est le jour des amoureux, je suis beaucoup trop jeune pour y accorder la moindre importance. Je me contente de voir mes parents heureux et amoureux, ça me suffit. Sauf que sur la table de la salle à manger j'aperçois un bouquet de rose et une boite blanche, en carton, vernie. J'apprends vite que tout ça m'est destiné, ça fait sourire ma mère. En fait c'est Antony qui par le biais de ses parents avait demandé à ce que tout ça me soit envoyé parce qu'il se disait "amoureux de moi". En y repensant je trouve ça tellement craquant de voir un garçon de 13 ans faire ce genre de déclaration à une fille de 3 ans sa cadette.
2004
Je suis en seconde, l'année scolaire a commencé depuis quelques mois et je découvre cette nouvelle liberté qui m'est accordée. Je rencontre toutes ces personnes. J'apprends à connaître Siméon avec qui nous devenons rapidement très complices. Siméon c'est ce blondinet, très original, qui me fait tellement rire. On passe notre temps ensemble. Un jour, à la sortie des cours on est tous les deux devant le portail du lycée, on rigole et on se sert fort l'un contre l'autre. Corélia (une amie) nous rejoins et nous dit : "vous êtes mignons tous les deux. Vous sortez ensembles ?"
Siméon me regarde tout en proposant : "on lui montre ?"
Je lui souris et le laisse m'embrasser. C'était le début d'une courte histoire, parce qu'à l'époque avoir un copain m'agaçait plus qu'autre chose(comme les temps ont changé). Mais c'est surement l'un des débuts les plus spontané et original que j'ai connu.
2005
Pour la première fois je rencontre quelqu'un qui me plaît réellement.
J'attendais devant le lycée celui dont je suis tombée amoureuse simplement en me perdant dans ses yeux le temps d'une chanson. Je le vois arriver de loin. Tout me plaisait chez lui. Son attitude un peu gauche mais tellement craquante, le bandeau marron qu'il portait pour que ses cheveux blonds et bouclés ne le dérangent pas trop (surtout en ce mois de juin). Il n'est plus très loin de moi, me tire la langue, rigole, arrive vers moi et m'embrasse. J'aurais tout donné pour que cette histoire dure. Je m'en suis rendue malade. Mais c'est comme ça. Et aujourd'hui on est en très bon termes et on se suit de loin en loin.
2006
Nouvelle étape, je suis maintenant à la faculté. C'est le temps des soirées un peu trop arrosées, des nuits blanches qui ont suivies le bac et des amis qui s'installent dans leur propre appartement. Je suis chez Lui, je le connais depuis très peu de temps mais nous avons tellement de points communs que nous avons rapidement voulu passer notre temps ensemble. C'était la première fois que je trouvais quelqu'un qui aimait les même choses que moi et qui semblait tout aussi sensible que moi. Nous sommes chez lui le soir d'halloween, silencieux et assis dans son canapé, on écoute de la musique (portishead je crois). A un moment je me décide à poser ma tête sur son épaule. Il me prends dans ses bras et commence à me carresser les joues. J'ai levé la tête vers lui et nos lèvres se sont rapprochées.
Je me souviens de la lumière un peu tamisée et l'immense bonheur ressenti à ce moment là. J'aimais ce début d'histoire tellement doux. Une fois de plus ça n'a pas duré.
Aujourd'hui on se parle toujours, on a toujours énormément de points communs mais pas autant qu'avant. Et puis c'est le type de garçon qui me plaît tellement que je suis paralysée lorsqu'on se revoit pour boire un café. Je suis incapable d'être naturelle et spontanée avec lui. Alors même si je pense encore pouvoir être amoureuse de lui je me dis que cette histoire n'en vaut pas vraiment le coup, parce que je ne supporte pas d'être aussi mal à l'aise.

Il y a eu d'autres moments romantiques, mignons, que je n'oublierai jamais. Mais je réalise que le simple fait d'y penser n'est pas la meilleure chose que je puisse faire. Parce que chaque rupture m'a fait souffrir durant des mois et qu'encore aujourd'hui je vis avec quelques regrets. Rien de grave.
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Dimanche 10 mai 2009 - 15.21

How days creep by in the greying sky.

Journée partagée entre mon lit, l'ordinateur et la cuisine. En même temps je suis beaucoup trop fatiguée pour faire autre chose.
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Samedi 9 mai 2009 - 21.00

Me dice que te siga.

Je ne sais pas trop par où commencer. Je ne sais jamais vraiment par quel mot commencer un post. Un peu comme une dissertation où l'accroche est déterminante pour le devoir. Et cette foutue envie de plaire qui fait qu'ici les mots sont pensés, pesés avant d'être tapés à l'ordinateur.
Alors, que dire ? Que le mois de mai finit par se faire remarquer à Paris. On sort les sandales malgré la pluie.
On sort boire un verre chez des amis pour finalement revenir chez soi à pas d'heure, lorsque le soleil est en train de se lever et que les oiseaux chantent (oui, oui, même à Paris on les entend). On se couche alors que les premiers métros circulent déjà dans les entrailles de la ville et que certains sont déjà en route pour le travail. J'adore être décalée comme ça. Après les cernes et la fatigue, c'est autre chose. Un autre problème qui finalement n'en est pas vraiment un parce que la soirée en vallait la peine.
Je vous laisse, soundaine envie d'aller regarder des épisodes de "How I met your mother" avec mes colocatrices.
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Jeudi 7 mai 2009 - 10.44

They all like to make fun of my pencil case.

Yesterday was one of those random days of mine.
Après avoir traîné au lit toute la matinée, retour aux choses sérieuses. Quelques heures de travail à la bibliothèque de Dauphine suivies de 3 heures de cours de math (aaaahhh!).
Le tout accompagné de ma trousse qui décidément en amuse plus d'un(e) et qui a suscité pas mal de fous-rires hier (allez savoir pourquoi hier alors que ça fait 4 ans que je traîne/assume la même trousse).

Côté musique, je me détends avec Buddha Bar aujourd'hui. Je n'ai pas de compilation à vous conseiller en particulier. Connectez-vous sur leur site et ça suffira pour le bonheur de vos oreilles.
Today's a sunny day.
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Mercredi 6 mai 2009 - 10.02

Blogging from my bed.

Un peu de temps m'est offert aujourd'hui. Du moins ce matin. Du coup je profite de ces quelques instants pour trainer au lit, regarder des séries et blogguer un peu à propos de mes derniers coups de coeur.
Il y a d'abord cette chanson, pas récente mais que j'ai découvert ce matin en regardant "Gossip Girl" (la référence!).
C'est par ici.
Vu la pochette de ce titre je me demande si cette chanson n'a pas été entendue dans "L'étrange noël de Mr Jack" ? (Oui j'ai tjs pas vu ce film ça craint du boudin!).
Autre coup de coeur, ça faisait un bout de temps que je voulais poster cette vidéo. Un court-métrage qui satisfait parfaitement les fleurs bleues de mon genre et qui offre plusieurs avis sur ce (putain de) sujet/sentiment auquel personne n'a encore trouvé de solution pour le vivre comme il l'entend, sans souffrir.

Mis à part ça je lis peu en ce moment, je suis absorbée par le travail et je réussis (enfin) à décrocher des notes excellentes. C'est mon quart d'heure de gloire, j'en profite! J'ai eu 16/20 en maths et 18,5/20 en macroéconomie. Ce genre de note qu'on obtient rarement à Dauphine. Alors certes, je refais ma deuxième année. Mais quand même! :D
Tout ça pour en revenir au fait que je ne lis pas beaucoup excepté "Jalouse", le mensuel qui s'intéresse à la mode et à la culture. Et "Brick Lane" (j'ai oublié le titre français) de Monica Ali. Je dois lire ce livre pour mon option (anglais avancé). Un livre qui retrace la vie d'une jeune bengladaise qui à l'âge de 17 ans quitte son pays natal pour épouser un bengladais résidant à Londres. Un livre qui donne un aperçu de ce que c'est d'être immigrant dans une angleterre contemporaine (multiculturelle). Et qui montre à quel point il peut être difficile de s'intégrer dans un pays dont la culture est si différente de la sienne, et où tant d'autres cultures essayent de cohabiter.
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Mardi 5 mai 2009 - 21.48

La pandémie profite à certains...

...Même à la mode.

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Dimanche 3 mai 2009 - 11.20

French kiss by...

Dimanche matin et le ciel est tout gris. Un gris souris qui me donne envie de regarder des DVD toute la journée avec du chocolat chaud. Comme en hiver. Pourtant on est déjà en mai, et en mai d'habitude je vais faire du vélo au soleil quand j'ai le temps. Ce qui est bizarre avec le temps en ce moment c'est qu'il y a deux jours nous étions tous dehors, au soleil. Après le théâtre on a décidé d'aller boire un verre au "Tourville" en passant par la place du Trocadéro et le pont d'Alma. J'aime cet endroit parce qu'il est très bien exposé, du coup lorsque le soleil montre le bout de son nez on peut en profiter toute la journée sur la terrasse. Et quand il n'y a pas de place à l'extérieur, l'intérieur est tout aussi agréable.

Du coup on a squatté pendant un long moment les fauteuils de l'intérieur. Déjà parce que les boissons (milkshaes, smoothies et autres) sont tellement denses qu'il nous faut du temps pour finir nos verres. Et ensuite parce qu'on était bien tous ensembles à parler de tout et de rien.

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