Hommage au merveilleux et défunt Jim Varney.
~Il a vécu, il est venu et il a dévécu.~
Pour tous ceux qui ne sont pas aussi cultivés que des pommes de terre, feu-Jim fut le grand, énorme et excellent interprète du mémorable, inoubliable et impensable gentlemen et adorateur de poissons, Ernest P. Worrell.
Tout a commencé par une belle journée caniculaire de février, alors que nous nous apprêtions à nous passer la corde au cou en " acceptant " ©@+ dans notre grande famille d’unicité. Après ce désagréable moment, nous décidâmes de gambader en dodelinant de la tête comme 3 galagosses écervelées jusqu’au locateur de films pornos, afin de nous procurer tsé là le film que le gars yé mort mais y danse quand ya de la musique là! Tsé là!?! Tk, même après la danse de M-H l’imitant devant la caissière, nous ne pûmes le trouver. Nous fumes donc la découverte qui changea nos vies pour toujours : Ernest dans la Jungle. Nous rirâmes comme de vrai folles devant un tel chef-d’œuvre et nous tombâmes toutes éperdument en amour avec cet apollon du sexe et du cinéma.
Jim a été un grand acteur et sa capacité à se disloquer la mâchoire pour faire une poire dans une fenêtre l’a beaucoup aidé à faire progresser sa carrière de play-boy hollywoodien.
Jim, même si le blond du club vidéo t’a mis dans une armoire poussiéreuse et a écrit À vendre sur ton joli minois, nous, les fuckées, ne t’oublierons jamais et tu resteras pour toujours dans nos estomacs et un petit peu dans notre intestin.