Collecte volontaire de fonds pour embauche d'un avocat externe
Nous vous demandons de contribuer volontairement une heure de salaire pour financer l’embauche d’un avocat externe pour faire le grand ménage dans l’UCTC.
Nous allons lui soumettre tous les documents que nous avons, tous les cas pertinents que les dirigeants de l’UCTC ont mal traités et toutes les pratiques incorrectes de nos dirigeants :
Ex. - L’affaire Denis Malouin (représentant technicien qu’ils ont flushé)
- L’affaire Alain Thiffault (représentant technicien qu’ils ont flushé)
- article 12 du Code du Travail (liens économiques entre Nortel et l’UCTC, pensions des dirigeants UCTC payées par Nortel, salaire directeurs UCTC payées par Nortel, 3¢/heure àfond de formation qui causent des graves conflits d’intérêts, collusion, ingérence)
- remaniement des représentants pour nous diluer sans l’approbation de l’assemblée généraleàpétition qu’ils ont flushée sous un prétexte illégal
- Code civil, lois qu’ils ne respectent pas sur les associations et les dirigeants des associations
- Toutes les réponses inacceptables face aux plaintes (ils se défilent toujours)
- L’affaire Frank Di Genova (représentant technicien envers qui Pierre Lebrun acting président discrimine + le fait que suite aux charges de discrimination de Frank Di Genova, il reçoit des réponses du secrétaire trésorier aller-retour qui le flushe continuellement)
- les opérateurs de test (abolition adoptée en assembléeà sans résultats) Lettre no.6 qui trouble la paix industrielle
- Discrimination face aux techniciens
- Article 2 de la Charte canadienne des droits et libertésàliberté d’association compromise
- Non-transparence des états détaillés financiers
- Procès verbaux qui contiennent des réponses flouent
- Procès verbaux difficiles à obtenir
- Non-respect et interprétations douteuses des Statuts et Règlements lorsqu’ils donnent des réponses face aux plaintes
- nous ne nous sentons plus représentés par la formule syndicale actuelle
- Demande d’unité accréditée échouée par manque de volonté (1996-1997)
- etc…
L’avocat va pouvoir :
- nous informer de nos droits et les assurer
- mettre son sceau sur les envois (plaintes et demandes)
- faire des corrections dans nos textes
- faire un suivi sur les réponses inacceptables des dirigeants de l’UCTC
- entreprendre des procédures légales contre les dirigeants de l’UCTC (Code de procédure civile)
- nous épauler dans notre démarche pour trouver une nouvelle formule syndicale au sein de l’UCTC ou vers notre indépendance
- éviter qu’on continue à se faire passer des sapins
Au point où nous en sommes rendus, l’embauche d’un avocat n’est plus une option, c’est indispensable.
Nous devons changer de la culture du chiâlage de cafétéria qui n’a jamais rien donné à une culture d’écrits quand ça ne va pas. Documenter, comme l’avocat a dit, est la clef si nous voulons nous en sortir même s’ils les flushent avec leurs réponses bidons c’est important car ça laisse des grosses marques qu’on peut amener en court ou devant le Commissaire du Travail pour se séparer.
Notre but est de ménager la compagnie et de laver notre linge sal entre nous pour assurer nos jobs et notre avenir. Nous sommes sérieux et responsables dans notre démarche juridique et face à l’employeur. Notre but ultime est de faire reconnaître notre identité, de pouvoir gérer nos affaires entre techniciens seulement et négocier directement avec l’employeur et nous avons l’intention d’être raisonnables et sensés face à celui-ci.
Aidez-nous si vous voulez qu’on vous aide. Le temps est venu. La convention collective doit être mise au claire, notre profession doit être reconnue, notre syndicat doit être transparent et doit écouter la volonté de ses membres (mandats) et non faire ce qu’ils veulent. Enfin, la formule syndicale doit être transformée. Nous, les techs, voulons notre propre unité accréditée, notre propre conseil d’administration, notre propre contrat collectif.
C’est la meilleure contribution que vous aurez jamais faite.
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