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[Au souper concile organisé par
L-Rond étaient conviées les neuf personnes suivantes (en plus de L-Rond
lui-même qui se réservait la place d'honneur sur une chaise haute pour bébé
au bout de la table) : il y avait donc sans ordre particulier Frotteux
Backins, Scram Gamchi son fidèle ami, Glandalf le magicien, Avalgorn le
coureur des bois, Gémi le nain, Lesgrelos l’Elfe, VaVomir l’homme de Culdor,
William l’homme tronc et finalement la couverture de Ti-Ben, à qui L-Rond
avait redonné l’usage de la parole grâce à une de ses potions magiques, et
qui à son corps défendant servait maintenant de nappe pour la table crottée
devant laquelle les invités avaient pris place.]
L-Rond : *Bruits de mastication* Étrangers des terres lointaines… *autres
bruits similaires* Vieux amis retrouvés… *Rote sourd* Nous sommes ici pour
répondre à la menace venant de Merdor.
Lesgrelos : Je m'excuse beau brun mais c’est pas très très poli de parler la
bouche pleine. Peu importe si c’est de la nourriture que t’as dedans ou
autre chose de plus gros. C’est juste pas poli, bon.
Gémi : Par tous les champs de mulots de Morvia, qu’est-ce que ça sent la
marde ici ! C'est quoi votre système de ventilation, coudonc ?
VaVomir : Ça ne fait pas juste sentir la marde, ça goûte la marde aussi ces
maudits tournedos là ! C'est impossible pour moi de digérer cette nourriture
et c'est pourquoi je vais la vomir immédiatement sur cette nappe noire. BARF
! BARF !
Ti-Ben, la couverture : Est-ce que quelqu'un parmi vous aurait la
gentillesse de passer un linge humide sur moi ? Je lui en serais vraiment
reconnaissant. Le vomi est très corrosif et presque impossible à faire
disparaître si l’on attend trop.
Scram : C'est fou comme ces tournedos là goûtent la fricassé à ton oncle,
Frotteux !
Frotteux : Ce n'est rien, tu n'as jamais mangé ses fameuses patates germées
en robe de chambre.
Glandalf : Queeequ'un pouait me paaaasser le eeeessel, mon eeeeedentier est
faaaade.
Avalgorn : Maître Glandalf, vous avez mis vos dents dans mon verre de bière!
C'est dégoûtant ! Récupérez le immédiatement.
William l’homme tronc : Mon royaume pour une paire de jambes. N'importe
quelle... des jambes de dwarf à la limite !
[Pendant qu’ils semblaient tous avoir mieux à cirer que de s’affairer à
trouver ce qui allait advenir de ce Cockring tacheté de sperme séché, L-Rond
s'impatientait un brin.]
L-Rond : VOOOOOOOS YEULEEEEEEEES TAABBAARNNAAKK !
Gémi : Eurk ! Les Elfes ont vraiment tous des haleines de cheval.
L-Rond : Les temps sont graves, l'ennemi connaît l'existence du Cockring. Il
voit le porteur grâce au troisième téton qu’il a dans le front.
Frotteux : Un troisième téton ? Ouash ! C’est vraiment un monstre ce Smoron
là.
L-Rond : Vous ne sauriez si bien dire, maître Grobit. Maintenant, veuillez
vous avancer et mettre le Cockring sur le centre de table en forme de bûche
là, s’il vous plaît, afin que tout le monde ici présent puisse voir la
nature physique de l’ennemi.
Frotteux : Euh... avec ou sans mon pénis dedans ?
[Lesgrelos ne laissa même pas la chance à L-Rond de répondre.]
Lesgrelos : Avec, bien sur. Miam ! Miam ! Une bite de p'tit jeune... comme
mes photos de jeunes elfes tout nu de 500 ans que je vois dans la boule de
cristal que je me suis achetée l’autre jour.
[Frotteux grimpa sur la table et mit son engin sur le centre de table en
forme de bûche. Tous s'exclamèrent en chœur.]
Tous : Ooooohhhhh !
L-Rond : Il nous faut trouver une solution mes amis avant qu’il ne soit trop
tard.
Vavomir : Le Cockring est une arme puissante, je propose qu'on l'utilise
contre l'ennemi ! Allons dans ma vile natale de Culdor qui se trouve si près
de Merdor que l’on en subit quotidiennement les effets du smog. Laissez-moi
porter le Cockring sur mon pénis le temps de défier Smoron en combat
singulier et ensuite de l’enculer avec mon gros sexe jusqu'à ce qu’il n’en
meure.
Frotteux : Wo! Minute. C’est MON putain de Cockring. Et si quelqu’un doit
enculer Smoron ou n’importe qui d’autre avec l’anneau, c’est moi. Et
personne d’autre.
Lesgrelos : Hum, ça me plait. Mais on peut pas l'utiliser... c'est trop
dif-fi-ci-le bon !
Avalgorn : C'est vrai ça car Smoron aurait, dit-on, le cul en feu. Ce serait
donc fort risqué de s’y brûler le bout du gland.
Scram : Bof ! De toute façon Frotteux se branle tellement souvent qu'il a
déjà le bout du gland en feu !
Avalgorn : Qu’importe maître Gamchi. Personne ne devrait plus jamais porter
le Cockring au bout de son gland.
Vavomir : T'es qui toi pour dire ça ? T’es rien qu’un vulgaire coureur des
sous-bois !
Lesgrelos : C’est pas un simple coureur des sous-bois. C'est le futur roi
des hommes ! C'est lui le plus fort ! C’est lui le plus beau.
Vavomir : Le roi des hommes ? Fi ! Culdor n’a pas de roi ni de systèmes
d’égout. Et Culdor n’a pas besoin de roi mais peut-être bien d’un système
d’égout.
Lesgrelos: Ça, je te le fais pas dire, homme de Culdor.
Avalgorn : Fermez donc votre grande gueule de fifi, maître Lesgrelos.
L-Rond: Il n’y a qu’une seule chose a faire et c'est de détruire le Cockring
en le jetant dans le tas de pneus en feu à l’intérieur du volcan du mont
Doom II...là où l’anneau y a été forgée à partir de caoutchouc de pneu
recyclé.
Frotteux : Je vous demande pardon ! Détruire le Cockring ? C’est une blague,
n’est-ce pas ? Ah ! Ah ! Elle est bien bonne.
L-Rond : À moins que quelqu’un parmi
vous n’ait une meilleure idée…
Gémi: Laissez moi faire ! Je vais m’occuper de la destruction de ce Cockring
sur le champ. M'en va y calisser un coup de hache vous allez voir !
[Le Dwarf prit sa hache de guerre avec laquelle il avait commencé à couper
son tournedos et en la faisant tourner au dessus de sa tête, il s’approcha
du porteur de l’anneau avec des intentions évidentes.]
Frotteux: Aaaaaaaaahhhhhhhhh !!!! C’EST UN MALADE !!! ARRÊTEZ-LE !
[Avalgorn s’interposa avec promptitude et empêcha le nain de trancher la
nénette du Grobit. Il expliqua ensuite au nain pourquoi il ne pouvait pas
détruire l’anneau avec son arme : devant répéter plusieurs fois ses
explications comme Gémi avait une mauvaise audition par faute de la quantité
faramineuse de poils qu’il avait dans les oreilles.]
Avalgorn : Je vous le dis et je vous le répète, même la plus affûtée des
haches de ce monde ne pourrait venir à bout du Cockring, maître Gémi. Il n’y
a que le brasier des pneus en feu de Merdor qui pourrait le faire
disparaître à jamais.
Gémi : Est-ce que vous venez juste de me traiter de sale nabot génétique ?
Avalgorn : *soupirs de découragement*
L-Rond: Vous avez bien appris votre leçon le gendre. Et oui, comme je le
disais, il va falloir que quelqu’un aille nous jeter cet anneau de malheur
dans le dépotoir à pneus de Merdor. Il nous faut donc un imbécile suicidaire
qui se portera volontaire pour cette mission de laquelle il n’en réchappera
pas, à coup sûr. J’irai moi-même si ce n’était de mes obligations
hebdomadaires avec les enfants malades du foyer de l’âge d’or de Chipendell.
Dans ces circonstances, qui parmi vous messieurs aura le courage de
s’acquitter de cette mission complètement perdue d’avance ?
Tous: *sifflotements stupides*
[À ce moment, Frotteux entendit dans sa tête la voix la plus douce et
sensuelle qui soit : «C'est moi, Live Tire. Petit vicieux, j'aurais besoin
d'un volontaire pour me pénétrer l'anus et me le faire saigner jusqu'à la
jouissance absolue.»]
Frotteux: MOI ! MOI !!! JE SUIS VOLONTAIRE !!!!
L-Rond: Bon parfait, v'là notre imbécile. Tout est réglé.
[Glandalf baissa les yeux en signe de désespoir et aperçut du même coup une
grosse flaque de pisse à ses pieds. Il n'en revenait pas que sa couche l'ait
abandonné dans un moment aussi important. Il se retourna vers Frotteux en
faisant comme si de rien n’était tout en espérant que personne ne remarque
quoi que ce soit.]
L-Rond: Est-ce que quelqu'un se propose pour accompagner Frotteux dans cette
quête extrêmement dangereuse d'où personne ne va revenir vivant ?
Tous: *sifflotements imbéciles*
Glandalf: Si l’on me fournit une nouvelle couche, je suis prêt à aller au
bout du monde, pourvut évidemment que ce soit une couche hyper absorbante
avec contour élastique molletonnée.
[Avalgorn s'approcha ensuite du porteur du Cockring et s'agenouilla devant
le phallus bulbeux de ce dernier.]
Avalgorn : Si c'est vous que l'on a désigné comme porteur du Cockring,
maître Backins, alors je me mets à votre service. Je promets de vous aider
au risque de ma propre vie.
[Il embrassa ensuite l'engin de Frotteux en signe de révérence. Frotteux lui
vint dessus en signe approbateur.]
Lesgrelos : Moi on m'a promis des gros orcs poilus pour tester mon nouvel
anus en plastique. Alors je suis partant !
Gémi: Si vous pensez que je vais laisser aller un sale Elfe se faire tous
les orcs tout seul... d'là marde ! Je vais tous leur trancher la tête avec
le fer de ma hache. En plus, ça sent la vraiment la pisse ici. Il est temps
que je parte.
[VaVomir, qui était en proie à une crise de tics incroyable qui le forçait à
se cracher dans l'oeil frénétiquement, s'avança à son tour pour se proposer
volontaire, en faisant fi du manque d’originalité de la chose.]
VaVomir: Spit! Si tout le monde décide de suivre cette tite bitte là, j'ai
pas ben ben le choix. Spit ! Mais je tiens à ce qu'on sache que j'en ai une
plus grosse et que par conséquent je ferais un bien meilleur porteur de
Cockring que cette demi-portion de Grobit. Spit ! Spit ! Ayoye direct dans
l’œil !!! Maudit que ça fait mal.
[Scram réapparut du dessous de la table où il avait profité des derniers
instants sans intérêt pour lui pour vivre quelques unes de ses plus intenses
expériences sexuelles à vie avec un mignon cochon d'inde miniature qui s’y
trouvait sans trop qu’on ne sache pourquoi.]
Scram: Heille !!! Frotteux va pas nulle part sans moi, c'est tu clair ça ?!!
Le petit maudit, il me doit encore plein de fric. Pas question qu’il s’en
sorte comme ça.
Cochon d'inde: Heille le jeune, tu vas nulle part avant de m'avoir essuyé le
trou de cul de ton sperme gluant ! Je refuse d'être traité aussi bassement
qu'un vulgaire mouchoir.
William l’homme tronc: Est-ce que quelqu'un pourrait m'avancer d'un pas, je
voudrais me proposer a mon tour.
L-Rond : C’est très courageux de vous proposer, maître William, mais je ne
vois pas en quoi vous pourriez vous rendre utile à cette mission dans l’état
où vous êtes.
William : Et bien je me propose pour garder le Cockring sur moi. Étant donné
que je n’ai pas de sexe, je serais incapable de me servir le Cockring même
si l’envie de le faire me prenait.
L-Rond : Hum ! Je vois. C’est un peu comme de donner un collier maléfique à
quelqu’un qui n’a pas de cou.
Avalgorn : Voilà une idée très intéressante. Cela pourrait vraiment
augmenter nos chances de réussite.
Frotteux : QUOI !? Tu veux rire, Touche-Pipi !? C’est l’idée la plus stupide
que j’ai jamais entendue de toute ma putain de vie. Arrêtez-le cet homme
tronc, il dit n’importe quoi.
Avalgorn : Je comprends maître Backins qu’il n’est pas facile pour vous
d’admettre que…
[À ce moment, Avalgorn fut interrompu par l’intrusion brusque de deux
visiteurs inattendus dans la salle de réception. Il s’agissait de deux
Grosbits aux cheveux longs et aux dents pourris.]
Premier Grobit : Désolé
d’interrompre votre party les mecs mais y aurait pas quelqu’un pour nous
préparer un spaghetti ?
Deuxième Grobit : Ouin ! Ça fait vingt minutes qu’on attend comme des cons
dans la salle à manger.
Frotteux : MerryChristmas ? Ptit Pine ? Qu’est-ce que vous fichez ici, mes
cousins ?
[Frotteux fut surpris de voir ainsi s'immiscer ses deux cousins, ceux-là
même avec qui il avait si gaiement défloré tant de filles avec des broches à
son école. Les deux intrus sursautèrent de surprise en apercevant Frotteux
et, un peu en retrait, Scram Gamchi, son jardinier.]
MerryChristmas : On revient du Folichorc. On a passé toute la soirée là-bas.
Pis là on avait faim. Faque on s’est dit pourquoi pas un bon spaghat au
baloney.
Ptit Pine : T’aurais du voir la nouvelle ogresse qui travaille là asteure.
Elle a vraiment un cul énorme. Quand elle m’a pété dessus, j’ai revolé dans
le mur de la cabine des danses à cinq. C’était cool !
MerryChristman : Pis toi, Frotteux. Qu’est-ce que tu fais ici avec cette
gang de géants constipés ? Tu sais que tout le monde à la Chire vous cherche
Scram et toi, depuis hier. Le monde pense que vous avez été kidnappés par
des Martiens de la planète Neptune.
Ptit Pine : C’est des choses qui se peuvent ça. On se faisait vraiment du
mauvais sang pour toi, Merry pis moi, pendant qu’on trayait la pisse d’une
troll dans notre bière, tantôt, au Folichorc.
Frotteux : Ce serait trop long à vous raconter, les gars. Surtout que vous
êtes pas réputés pour avoir une durée d’attention trop trop élevée.
MerryChristmas : Comment tu dis ça ?
Ptit Pine : Pas trop vite, je te suis plus là, cousin.
Frotteux : Je m’en vais en mission secrète à Merdor. C’est tout ce qui a
d’important à savoir.
MerryChrismas et Ptitpine: Bon et bien alors nous aussi on vient !!! Ça
l’air d’un méchant party là où tu t’en vas !
L-Rond: Les deux Grosbits peuvent y aller. Mais là c’est tout. Vous êtes
bien assez comme ça maintenant. Demain, à l'aube, vous allez lever le camp
en direction de Merdor. Vous serez connu sous le nom de la Falluship du
Cockring. Et n’oubliez pas que la discrétion et la rapidité seront vos deux
atouts les plus importants.
Lesgrelos : Il vient de me venir une superbe idée en tête afin de promouvoir
le déplacement rapide au sein de notre falluship, seigneur L-Rond.
L-Rond : De quoi s’agit-il ?
Lesgrelos : Un pari ! Le dernier d’entre nous qui se rendra à Merdor devra
manger une tranche de pain sur laquelle toutes les autres personnes du
groupe auront éjaculé.
L-Rond : Voilà une pénitence salée pour celui qui se traînera le plus les
pieds. Cela m’apparaît comme une bonne idée, maître Lesgrelos.
[Lesgrelos était tout sourire et semblait bien fier de son coup. Son sourire
détonnait avec la moue renfrognée des autres membres de la confrérie.]
L-Rond : Vous avez entendu tout le monde ? Le dernier rendu à Merdor devra
manger la tranche de pain… M… Mais Lesgrelos est exclut de ce pari. Quelque
chose me dit qu’il ferait tout pour perdre.
[On vit l’Elfe efféminée frapper la table de ses poings en signe de
déception.]
L-Rond : Bon, on se revoit demain. Vos chambres sont prêtes. Vous n'avez
qu'à monter à l'étage, remplacer les couvertes pleines de sperme, tuer les
coquerelles qui s'accouplent sur les oreillers et ôter les ressorts qui
sortent de partout au dessus du lit. Si ce n'est de ça, vos chambres sont
définitivement prêtes.
[Tout le monde se leva de table difficilement après avoir trop mangé.
Glandalf s'en alla essorer sa couche pleine de pisse au dessus du feu, ce
qui produit une fumée verte phosphorescente qui fut d’ailleurs reçue par une
salve s'applaudissement et d'exclamations de la part des autres compagnons.]
MerryChristmas : J'aime quand Glandalf fait des tours de magie.
Ptit Pine : Ouin, comme l'autre fois quand il a mis son dentier dans un
verre de seven up et qu'il y a tout plein de bulles qui ont éclaté comme si
c'était de l'Alka Seitzer.
MerryChristmas : Ah! Ptit Pine, ferme-la.
[Avalgorn ramassa la couverte du Nazgul et s'en alla ensuite dans la chambre
de Live Tire afin d’y accomplir son devoir conjugal. Et une fois de plus, il
ne donna pas satisfaction à la princesse dont l'anus duveteux resta
inassouvi. Elle lui donna son congé avec une petite tape d'encouragement
pour l'effort et se rentra ensuite quatorze suppositoires en même temps dans
le trou de cul pour parvenir à la jouissance dont elle était si friande,
humectant au passage les dits suppositoires de son jus de plote royal afin
que ces derniers pénètrent plus aisément à l'intérieur bouillant de son
rectum tout rose. À ce moment, la princesse n’avait qu’une seule pensée à
l’esprit.]
Live Tire : Lorsque le porteur du Cockring aura réussi la mission que je lui
ai donnée et qu'il me ramènera un poil du cul de Smoron, je pourrai enfin
accomplir mon destin.
[Pendant ce temps, VaVomir, Gémi,
Lesgrelos et William l’homme tronc s’en allèrent faire un petit tournoi de
dards dans la salle à dîner du restaurant. L’Elfe et le nain se prirent l’un
contre l’autre. Gémi ne fut pas long pour se rendre compte que quelque chose
n’allait pas.]
Gémi : Bon sang de bon sang ! Le triple 20 a quelque chose de bizarre sur ce
jeu. Les sapristi de dards ne veulent pas y rester plantés.
Lesgrelos : Êtes-vous en train de vous trouver des défaites pour la raclée
que je m’apprête à vous donner, maître Dwarf ?
Gémi : Pardon ! As-tu dit que tu je n’étais qu’un sale enculé de dwarf ?
Lesgrelos : COUPEZ-VOUS LES POILS DES OREILLES ! Ce n’est pas ce que j’ai
dit, zut de flûte.
[Lesgrelos s’en alla inspecter de plus près les mystères du triple 20 sur le
jeu de dards.]
Gémi : Mes problèmes d’audition n’ont rien à voir avec la barbe que j’ai
dans les oreilles, monsieur l’Elfe. Tout a commencé le jour où un gros troll
adulte m’a crié dans les oreilles et…
Lesgrelos : Vous aviez raison, maître Gémi. Il y a effectivement une
substance poisseuse collée sur le triple 20.
Gémi : Ah ! Je le savais bien.
Lesgrelos : Voyons voir ce que c’est…
[L’Elfe goutta à la substance du bout de sa longue langue agile et ne fut
pas long pour devenir tout sourire après l’avoir identifiée.]
Lesgrelos : Du sperme ! Et de bonne qualité je dirais. Pas trop salé. Joli
texture. Rond en bouche.
[L’elfe passa les cinq minutes suivantes à lécher la moindre trace de sperme
sur le jeu si bien qu’à la fin, le triple 20 était maintenant redevenu
jouable au grand plaisir de tous. Bien que jamais autant qu’à son propre
plaisir à lui, aux dires de Lesgrelos.]
VaVomir : Votre temps est dépassé. C’est au tour de William et moi de jouer
une partie. Ôtez-vous de là maintenant.
[Les deux autres n’insistèrent pas devant l’emportement de VaVomir qui était
d’ailleurs d’une humeur massacrante depuis qu’il s’était fait rabroué comme
un enfant d’école tout au long du concile. La partie commença et à la grande
surprise de tous, l’homme tronc s’avéra comme un joueur redoutable : il
visait le triple 20 avec régularité au grand dam du guerrier humain qui n’en
croyait pas ses yeux de voir une moitié d’homme lui infligée une humiliation
pareille. Au bout de trois défaites consécutives, VaVomir, n’en pouvant plus
de se faire ridiculiser de la sorte, devint complètement fou et sortit sa
longue épée tranchante de son fourreau et coupa les deux bras de l’homme
tronc. Ensuite, il monta à sa chambre en courant et en pleurant comme un
bébé.]
William : NOOON!!! JE N’AI PLUS DE BRAS MAINTENANT ! AAAUUU SECOOUURSS !!!
[Lesgrelos et Gémi se regardèrent d’un air paniqué. Comme s’ils ne voulaient
pas qu’on puisse leur reprocher quoi que ce soit dans ce drame, ils
montèrent à leur tour en direction des chambres à coucher à toutes jambes,
laissant le pauvre William en train de pisser le sang sur le dos comme une
grosse tortue blessée.]
Lesgrelos (d’une voix essoufflé) : Plus vite, maître Gémi. Plus vite !
Gémi (de la même voix essoufflée) : Est-ce que tu viens de dire que j’ai une
petite bite ?!
Lesgrelos : *soupirs de découragement*
[Peu après, Frotteux monta à son tour jusqu’à sa chambre (après avoir fait
un long arrêt aux toilettes) et y trouva Scram qui était déjà sous ses
couvertures, et qui pour passer le temps s'était amusé à faire des bonhommes
allumettes avec les crottes de nez qu'il conjurait à volonté du fin fond de
ses sinus déréglées.]
Scram : Regarde Frotteux, j'ai reconstitué la scène où Ti-Ben te coupe le
bras avec son épée. Pas pire, hein ?
Frotteux : C'est cool. T'es vraiment un artiste, Scram. T'as le souci du
détail, on voit même le sang couler à flot du moignon. C'est de la morve que
t'as pris pour faire ça ?
Scram : Oui, monsieur.
[Frotteux lança un long regard attendri en direction de son meilleur ami,
celui qui l'avait toujours soutenu, même dans les pires épreuves. Comme lors
de l'exposition d'une tante défunte au salon mortuaire, lorsqu'il s'était
faufilé en cachette dans le corbillard et qu'il avait commencé à se servir
du Cockring aux dépens de sa vieille tante, moribonde et éviscérée (ce qui
permettait d'aller plus loin dans son exploration anale). C'est Scram qui
l'avait sorti du pétrin en faisant diversion : il avait grimpé au balcon de
l'église et s'était mis à projeté une pluie de crottes de nez. Les autres
parents et amis avaient été émerveillés par ce qu'il croyait être une pluie
de surprenant gros confettis. Ce qui avait laissé le temps à Frotteux de
filer en douce après avoir sauvagement déshonoré le cadavre de sa tante qui
avait sûrement du jouir peu importe le lieu où elle était rendue.]
Frotteux : Tu peux retourner à notre Chire, si tu veux, Scram. Tu n'es pas
obligé de m'accompagner jusqu'à Merdor, tu sais. Ça risque de devenir très
dangereux.
Scram : Dangereux comment ?
Frotteux : Je sais pas, j'ai entendu parler d'un bois enchanté où habitent
des Filles Elfes très méchantes qui vous attrapent par la queue et qui vous
sucent à tour de rôle pendant des heures, jusqu'à ce que vous veniez dans
leur potion magique. Puis après, elles recommencent encore et encore. Ce
genre de dangers, tu vois ?
Scram : Ouin. Ça fout la trouille. J'avoue. Mais... jamais je ne pourrai te
laisser t'aventurer dans cette quête tout seul. Tu es le porteur de Cockring
le plus cool que j'ai connu de ma vie.
Frotteux : Ah, Scram. T'es trop bon. Viens dans mes bras.
[Frotteux et Scram se serrèrent comme deux vieux amis qui ont mille et une
fois jouer au docteur au cours des années. À ce moment, Lesgrelos entra dans
la chambre, les culottes baissées jusqu'aux chevilles.]
Lesgrelos : Salut les petits gars, je venais juste vous souhaitez une bonne
n... Mais... Mais kossé que... Yé ! Une partouze. Enfin, sibole de sibolus.
[Lesgrelos se projeta sur le lit et commença à donner des coups de queues
aux deux autres. Mais Frotteux et Scram lui firent comprendre qu'ils ne
mangeaient pas de ce pain là.]
Lesgrelos : Ah, dommage. Je comprends. Mais vous êtes mieux de vous
grouiller pour arriver à Merdor, les enfants. Sinon, vous allez manger une
autre sorte de pain avec une petite sauce bien spéciale, oubliez pas... gang
de chanceux !
[Lesgrelos quitta la chambre avec sa queue entre les jambes.]
Scram : Man ! As-tu vu ça. Lesgrelos. Il a les couilles vraiment trop
petites pour la taille de sa bite.
Frotteux : Ouin ! Il porte bien son nom celui-là.
Scram : Ouin ! Bon et bien c’est le temps de se mettre au lit, maintenant.
Bonne nuit, Frotteux.
Frotteux : Bonne nuit, Scram. Fais de beaux rêves.
Scram : Toi aussi fais de beaux rêves.
[Les deux s’endormirent
immédiatement. Mais cette nuit-là, malgré les souhaits de Scram, Frotteux ne
fit pas de beaux rêves mais plutôt davantage de cauchemars horribles à
propos de cette petite créature visqueuse qui le pourchassait d’un rêve à
l’autre, tel un croque-mitaine dans un mauvais film d’épouvante, afin de lui
fouiller dans le cul avec ses longs doigts glacés. Le grobit fut extirpé de
ses mauvais rêves à l’aube par la voix autoritaire et l’haleine millénaire
de L-Rond.]
L-Rond : Réveillez-vous et venez avec moi immédiatement, maître Backins.
Allez !
Frotteux : Argh !
[Le Grobit grogna de mauvaise humeur mais n’eut d’autre choix que d’obéir
aux ordres que lui aboyait le maître des lieux.]
L-Rond : Suivez-moi jusqu’à mon laboratoire secret sur le champ.
[Frotteux, les deux yeux dans la graisse de bines, suivit le vieil Elfe dans
le dédale des couloirs, en apercevant au passage pratiquement tous ses
compagnons qui faisaient la file devant la porte des toilettes afin d’y
vomir leurs tripes dans des bols débordant d'étrons, de rats et de tampons
ensanglantés appartenant à la princesse Analrwen. Il semblait bien que ce
n’était pas tout le monde qui avait l’estomac aussi solide que lui pour
résister aux tournedos qu’ils avaient ingurgités la veille.]
L-Rond : Mon laboratoire est par là.
Frotteux : Qu’est-ce que vous m’emmenez faire dans votre laboratoire,
monsieur Luron ? Ça n’a rien à voir avec le Cockring j’espère ?!
L-Rond : C’est votre bras. Je croyais que vous m’aviez demandé de vous en
faire pousser un nouveau.
Frotteux : Oui. C’est vrai. Ce serait vraiment apprécié parce que je vais en
avoir de besoin quand je vais revenir dans mon trou de marmotte et que je
vais recommencer à me branl…
L-Rond : Faites silence avec cela, s’il vous plaît. Je ne veux plus jamais
en entendre parler.
[L’Elfe semblait encore plus contrarié que d’habitude au moment où ils
arrivèrent enfin dans son laboratoire secret qui se trouvait dans une
chambre sans porte tout juste à l’entrée très achalandée de cet
établissement très fréquenté.]
L-Rond : Comme j’ai eu bien de la difficulté à dormir cette nuit,
probablement quelque chose que j’ai mangé, j’en ai profité pour vous
concocter cette potion de régénération. Tenez, buvez en. Vous aurez un
nouveau bras grâce à ses vertus magiques. Allez. Buvez immédiatement. Et que
ça saute.
[Frotteux inspecta avec suspicion le contenu brunâtre et filamenteux de la
fiole que lui avait tendue L-Rond. Il n’était pas sûr mais il croyait avoir
vu quelque chose bouger au fond de cette dernière. Mais devant le visage
furieux de l’Elfe qui se grattait le derrière de la flèche avec impatience,
il pris la décision d’avaler ce contenu inquiétant, en ayant souhaité avoir
ses deux bras afin de pouvoir se pincer le nez comme il redoutait le goût de
la potion. Il but d’un seul trait et sentit immédiatement un nouveau bras
lui pousser à la place de l’ancien. Il en était fortement soulagé.]
Frotteux : Wow ! Ça marche votre truc, m’sieur L-Rot. Regardez-moi ça. Un
nouveau bras tout neuf.
L-Rond : Bon ! Donnez-moi cette fiole vide maintenant avant qu’il n’arrive
un malheur par votre faute.
Frotteux : C’est cool ! J’ai les mêmes cicatrices pis les mêmes grains de
beauté aux mêmes places.
L-Rond : Très bien. Allons nous en d’ici maintenant. Il y a quelqu’un qui…
Frotteux : Attendez un instant. Il y a une question que j’ai envie de vous
poser depuis hier soir. C’est un peu délicat.
[Le vieil Elfe regardait le Grobit avec un air de bœuf.]
L-Rond : De quoi s’agit-il encore ?
Frotteux : C’est à propos de votre fille.
L-Rond : Ma fille ? Mais qu’est-ce que vous voulez me dire à son sujet ?
Vous ne l’avez même jamais rencontrée.
Frotteux : Pas tout à fait. Voyez-vous, hier, avant le souper, j’étais en
quête des chiottes de toute urgence et sans faire exprès, je suis entré dans
la chambre de la princesse. J’ai eu la surprise de ma vie quand je me suis
rendu compte que votre fille était nulle autre que l’actrice de films de c…
L-Rond : Non ! Ne prononcez pas son nom d’actrice. Je vous en conjure. Il
est déjà assez humiliant pour moi d’avoir à vivre et à garder ce terrible
secret de famille tellement honteux.
Frotteux : Donc ! Vous le saviez. Pourtant hier vous avez nié savoir de qui
je parlais quand j’ai prononcé le nom que vous ne voulez pas que je prononce
encore une fois.
L-Rond : C’est que le seigneur Avalgorn n’en sait rien, lui. Et il ne faut
absolument que cette atrocité lui parvienne à l’oreille. Jamais
m’entendez-vous. Cela pourrait mettre notre accord en péril.
Frotteux : C’est d’accord mon pote. Je ne vais jamais le lui dire bien qu’il
ne sait vraiment pas ce qu’il manque le pauvre. Hé !
L-Rond : N’en dites pas plus.
Frotteux : Vous ne devriez vraiment pas avoir honte de la carrière que mène
la princesse Analrwen. Elle est vraiment très douée dans ce qu’elle fait,
vous savez.
L-Rond : NNNNOON! SILENCE !
Frotteux : Bon. Et bien vu que vous
n’êtes vraiment pas très proactif ce matin, je vais remonter à ma chambre
afin de me préparer pour notre départ.
L-Rond : Attendez… Avant d'aller dans votre chambre, il y a quelqu'un que
vous devez absolument rencontrer.
Frotteux : Hein ? Qui ça ?
L-Rond : Quelqu'un que vous connaissez bien et que vous n'avez pas vu depuis
longtemps.
Frotteux : Qui ça ? Mon dentiste ?
L-Rond : Non, bougre de petit con. Votre oncle ?!
[Frotteux devint plus rouge que les tomates dans lesquelles il aimait bien
glisser son engin reproducteur lorsqu'il entendait le son de sa caissière
préférée dire au micro du magasin de fruits et légumes de la Chire "C'est
quoi le prix d'une livre de Zukinis ?"]
Frotteux : Mon Oncle. De quel oncle, parlez-vous ?
L-Rond : Votre oncle, Bimbo.
Frotteux : Ah non!!!!! PAS LUI !!!!!
[Frotteux gardait des souvenirs horribles de son oncle : des souvenirs
traumatisants de son enfance. Des souvenirs de pots de vaseline et de livres
compliqués avec des dessins de monsieurs qui s'imbriquent les uns dans les
autres.]
Frotteux : Il est ici ce sale vicieux. Mais pourquoi n’était-il pas du
souper hier soir ?
L-Rond : Il ne se sentait pas bien. La diarrhée je crois. D’ailleurs, il l’a
toujours si je ne m’abuse.
Frotteux : Je ne veux plus jamais avoir affaire avec ce pervers.
[L-Rond ne voulait rien savoir des protestations lamentables du Grobit et il
l'amena de force comme un petit garçon qui vient de chier dans ses culottes
et qu'on emmène aux chiottes en le tirant par les oreilles et en lui foutant
des claques derrière la tête. Ce qui était exactement le cas car Frotteux
venait de faire dans ses shorts tant il avait peur de revoir son oncle.
L-Rond l'abandonna donc tout seul devant la porte de son cabinet de
toilettes privé au sous-sol derrière laquelle se trouvait Bimbo.]
*arrrrrrrrrrgggg* *splouch*
Frotteux: Mon oncle ?
*rrrrraaaaagh* *splitch*
Frotteux: Oncle Bimbo, est-ce que c'est toi ?
*sssspppppprrrrrroooouuuuuuuiiiiiiiitttttttt*
Bimbo: Qui cé tu veux que ce soit mon p'tit vicieux ! T'as toujours aimé
écouter les gens chier hein ! P'tit cochon dodu !
Frotteux: Ben... non, non ! On m'a demandé de venir t'attendre ici...
Bimbo: Voyons ma p'tite loutre visqueuse, soit pas gêné, c'est normal d'être
attiré par la marde du monde, moi-même chu pas capable de résister à une
grosse crotte juteuse bien boudinée ! Mais va quand même falloir que je te
punisse. Awaille rentres icitte pis ça presse.
Frotteux: A...ah oui ?
[Frotteux ouvrit la porte et pénétra à l’intérieur des toilettes. Tout au
fond de celles-ci, assis en indien sur la bole en forme de trône royal, se
trouvait un petit Grobit aux cheveux gris et aux sourcils broussailleux. Il
avait un sourire croche et de grands yeux cochons. Il s’agissait de Bimbo
Backins, le Grobit le plus tristement célèbre de toute la Chire. Celui qui
avait corrumpu l’innocence de tant de jeunes Grosbits au fil des années.
Bimbo était l'oncle si «aimable» qui avait accepté d'élever le petit
Frotteux pour rendre service aux parents de celui-ci, même si ceux-ci s'y
étaient fortement opposés. Frotteux se souvenait encore du visage horrifié
de ses parents quand son oncle l'avait saisie par le chignon du cou pour
l'emmener de force dans son trou de marmotte puant.]
Bimbo: Approche mon p'tit verrat, faut pas que t'ailles peur de mononcle
Bimbo... y te fera pas mal...
[En entendant à nouveau cette phrase qui avait marqué sa jeunesse entière,
Frotteux sentit son anus se prendre de violentes convulsions, comme s’il
s’agissait d’un réflexe conditionné.]
Bimbo: Penches-toé icitte mon venimeux... pis ouvre grand la bouche !
Frotteux: M...mais...je...
[Bimbo lui administra un violent coup de pied dans le derrière, ce qui mit
fin temporairement fin aux convulsions de son anus boursouflé par la
douleur. Frotteux se pencha donc de force. Bimbo s'assied sur la tête de
Frotteux et exécuta la sentence.]
*iiiiiiiggggggnnnnnnnnnnnn* *bloutch*
Frotteux: gmoulmouark !
Bimbo: Ferme-là petit, c'est pour ton bien !
*ooooowaaaaaarrrrrrpffffffff* *pfrout*
[Après que Bimbo eut bien vidé le reste de ses intestins infectés par une
immonde diarrhée, il tira la langue rugueuse d'émotion de Frotteux afin de
s’en servir pour se torcher tendrement.]
Bimbo: Voilà ce à quoi l'amour d'un mononcle pour son neveu se doit de
ressembler. Sans amour j'y serais jamais arrivé ! Surtout que j'en avais
déjà vidé une bonne partie dans la bole avant ton arriver, petit verrat.
[Frotteux, au risque de se faire sermonner encore plus, ne tenta même pas de
retenir son haut-le-cœur et remplit la bole voisine d'un vomis aux couleurs
variées tirant particulièrement sur le brun et le jaune moutarde.]
Bimbo: Tu sais, je suis tellement content de te voir mon cher neveu, viens
dans mes bras que je te serre les ouies un peu !
[Frotteux s'approcha sans dire mot, surtout qu'il avait les dents collées
après les derniers événements.]
Bimbo: Pwah !!! Siboire que tu pus de la yeule, je me souvenais pas de ça !
Laves-toé la bouche tu m'écoeures. En plus t'as une coulisse de marde là !
Frotteux: Gmoui mononcle...
[Bimbo lui sacra une claque dans le derrière de la tête.]
Bimbo: On parle pas la bouche pleine
! Siboire on dirait que t'as été élevé avec les cochons !
[Après plusieurs minutes de grand nettoyage, Frotteux et Bimbo allèrent
s'asseoir sur un banc de parc qui se trouvait dans la cour arrière du manoir
du Spaghetti. Une cour en caillou magnifique qui donnait vue sur une usine
de transformation de vesses-de-loup.]
Bimbo: Regarde mon livre que je viens juste de finir d’écrire. C’est
l’histoire de ma vie ça ma petite loutre visqueuse.
[Frotteux jeta un coup d’œil sur ce grand cahier à colorier pour les enfants
qui contenaient des silhouettes d’hommes faisant subir une multitude
d’expériences sexuelles dégradantes à une ribambelle de marmots sans
défenses.]
Bimbo : Les 122 dernières pages te sont consacrées, mon neveu.
Frotteux: Leur derrière et ma grosse quéquette : un conte anal par Bimbo
Backins. C’est ça le titre de ton livre, mononcle ?
Bimbo: C’est ça. Pis en anglais ça donne Behind and Back again, an anal tale
by Bimbo Backins. Pis dans les 49 autres langues que j’ai l’intention de la
publier, je le sais pas c’est quoi. Bon ! Viens donc t'asseoir sur mes
genoux, j'va te lire l'histoire. Je me suis ennuyé de toi ! T'es loin à
l'autre bout du banc comme ça, j'ai besoin de sentir la chaleur de ton anus
enflé sur mes genoux. Arrive icitte !
Frotteux: Ça ne me tentes pas vraiment, mononcle...
[Bimbo le saisit alors par les sourcils et d'un violent coup, le tira en sa
direction.]
Frotteux: Aaaaaaaaaahhhhh ! Ouch ! Mononcle ! Tu me fait mal !
Bimbo: Voyons calisse, je t'ai juste accroché ! T'es ben moumoune !
Messemble que c'est pas de même que je t'ai élevé ! Va falloir que je
t'endurcisse un peu toé.
Frotteux: C'est pas nécessaire... ça... ça fait plus mal, là.
Bimbo: Ah ! Là je reconnais mon neveu ! Solide comme un roc, même après une
semaine intensive de défonçage d'anus.
[Frotteux eut un autre soubresaut de douleur rectale devant le souvenir de
ces paroles. D'ailleurs, c'est de ces mêmes événements que lui était venu la
fascination pour les films traitant des relations anales. Maintenant,
Frotteux était sur les genoux de Bimbo, qui le flattait tendrement, comme un
oncle pervers le ferait pour son neveu préféré. Il lui flatta les fesses,
puis glissa doucement vers ses parties les plus intimes.]
Bimbo : Kossé je sens là sur ton petit pénis ?
[Bimbo utilisait toujours le qualificatif «petit» pour désigner l'engin de
son neveu, car le sien était d'une immensité incomparable après de
nombreuses années en temps que porteur du Cockring : ce qui avait valu
évidemment des années de souffrance à Frotteux.]
Bimbo: Dis-moé pas que t'as pogné des champignons mon petit malpropre !
Frotteux: Non ! C'est le Cockring que tu m'as donné avant que tu quittes la
Chire.
[Bimbo frétilla en entendant ces mots. Il aperçu le Cockring se balancer
légèrement sur le pénis de Frotteux, qui était sorti par l'ouverture du
zipper que Bimbo avait préalablement ouvert. L'attitude de Bimbo changea.]
Bimbo: Ooooohhhh... Le Cockring... Tu... tu l'as apporté... Comme il est
beau... Est-ce que... est-ce que je pourrais le toucher un peu ? Mon trésor,
mon précieux trésor... juste une dernière fois, pour avoir une énorme queue
et te la mettre au cul une petite fois encore.
[Frotteux remonta son zipper en vitesse, non sans se pogner la bite dedans.]
Frotteux: Non ! Il est à moi maintenant !
Bimbo: Kssssssssiiiiiiii !!!!! WRrrraaaa !
[Bimbo tenta alors d'empoigner le Cockring par la force, mais il se reprit à
temps. Il se retourna et se mit à pleurer.]
Bimbo: Pardonnes-moi mon cher neveu... bouhouou.... pardonnes-moi... Je ne
sais pas ce qui m'arrive, je suis tellement triste de t'avoir entraîné dans
cette histoire... bouhouhouhouou....
[Frotteux, attendri, s'approcha de son oncle pour le consoler. Il enleva le
Cockring gluant de sa bite et le serra dans sa poche. Il plaça sa bite dans
la bouche de son oncle.]
Frotteux: Tiens mononcle, suce un peu, ça va te revigorifier !
Bimbo: Mnouerci mnon fffetit...
[Après des heures de succion digne d'un aspirateur central, Bimbo se releva,
se gratta le cul et rota. Une odeur de sperme envahissa la place.]
Bimbo: J'ai deux choses très importantes à te donner pour ta quête, moé j'en
ai pu rien à crisser.
Frotteux: Si c'est un pot de vaseline comme d'habitude je n'en ai plus
besoin car je mouille du cul maintenant... pas le choix...
Bimbo: Non, non... Voici mon kit de chaînes et de studs en cuir... Porte-le.
Ça peut peut-être t’aider. Ça adoucit même les brutes les plus coriaces.
J'ai eu des baises mémorables avec ça sur le dos.
Frotteux: Wow ! Merci ! Les chaînes sont en aluminium ! Génial ! C'est quoi
l'autre affaire ?
Bimbo: Voici mon arme chérie... Un vibrateur anal forgé à même le frame du
pénis de Gilles Malade, un elf à grosse bite. Il a 28 fonctions de
vibrations différentes, plus un manche télescopique.
Frotteux: WOW ! GÉNIAL !!!! Merci mononcle !
Bimbo: Heille mon petit criss, tu t'en tireras pas juste avec des mercis...
Awaye baisse tes culottes, sale p’ti morveux !
[C'est sur cette note douloureuse que la rencontre se termina. Frotteux s'en
retourna vers sa chambre avec son nouveau vibrateur 28 fonctions entre les
mains et la semence acide d'oncle Bimbo entre les fesses. La rencontre avec
cet étrange mais néanmoins charmant mononcle lui rappela pourquoi il était
ce qu'il était et pourquoi il était si accroc à la chaîne de télévision
spécialisée CanalHead. Il savait aussi que tant qu'il porterait au bout de
son gland bulbeux le Cockring que son oncle lui avait légué (en échange
d'une série de sodomisations violentes à six heures du matin), il
continuerait à être obsédé par l'arrière-train de tout ce qu'il voyait, y
compris ceux des grosses caissières du magasin de fruits et légumes. Et il
continuerait à faire des cauchemars horribles dans lesquels il se faisait
faire le touché rectal par cette espèce de petite créature visqueuse avec
des yeux exorbités qui le poursuivait sans arrêt en l'injuriant d'une voix
sifflante. Il fallait qu'il se débarrasse du Cockring sans quoi il
deviendrait fou ou encore il finirait par ressembler à son oncle. Il fallait
qu'il aille le jeter dans le dépotoir de pneus en feu de Merdor. Et il y
avait toujours son autre mission, celle que la princesse lui avait confiée :
il poil de cul de Smoron, ce géant carnivore qui habitait dans son château.
Il aurait donné n'importe quoi pour rapporter le poil de cul à Live Tire,
cette créature de rêve qui lui avait promis l'usage extensif de son anus
duveteux et royal.]
Scram (en voyant arriver son ami dans la chambre) : Bon ! T’es là toé. Je me
demandais ben où est-ce que tu était disparu comme ça… Hein ? Un nouveau
bras ? Ah ben ça parle aux démons…
Frotteux : Salut Scram ! Comme tu peux le constater, le vieil Elfe m’a
refait pousser mon bras coupé grâce à l’une de ses potions magiques qui
goûtait les céréales.
Scram : Pas les All Bran toujours ?!
Frotteux : Exactement ! Je pense même qu’il y en avait des morceaux au fond
de la fiole.
Scram : *Soupir de découragement* T’es tu prêt à partir ? Tout le monde nous
attend en bas. C’est l’heure de décrisser. Quoi que personnellement j’aurai
bien resté encore un peu, le temps de chercher où ce petit cochon d’inde
d’hier soir a bien pu se cacher.
Frotteux : Je suis prêt, Scram. Je suis prêt à partir en direction de Merdor.
Je suis prêt à aller détruire le Cockring dans le dépotoir de pneus en feu.
Je suis même prêt à combattre Smoron en personne s’il le faut afin de le
terrasser et de lui arracher tous les poils du cul avec mes dents.
Scram : Hum ! Je crois pas que ce sera nécessaire d’aller jusque là.
D’ailleurs, j’vois pas l’utilité que ça pourrait bien avoir.
[Frotteux arbora un petit sourire qui parut bien étrange aux yeux encroûtés
de son jardinier.]
Frotteux : En tout cas, on verra bien une fois rendu là.
Scram : Si on se rend là pour commencer.
Frotteux : Exact. Bon ! En route, maintenant ! En putain de route, mon Scram.
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