Cette 
                    conversation a lieu, pendant une séance de clavardage, au 
                    début de décembre 2002, environ deux heures avant notre 
                    première rencontre, dans un restaurant de la ville de 
                    Québec, non loin des ponts. D réside à l'extérieur de la 
                    ville et il m'a contacté, par internet, quelques mois 
                    auparavant. J'avais refusé sa première offre de rencontre 
                    mais, aujourd'hui, c'est le "grand jour"!
                    
                    Il a, lui-même, 
                    choisi les vêtements et les bottes que je porte pour 
                    l'occasion (voir la photo, ci-haut) ainsi que la couleur de 
                    ma coiffure et les "accessoires" que je dois apporter avec 
                    moi. À propos de ces accessoires, je m'y suis objectée assez 
                    fermement mais il a manoeuvré si finement que j'ai dû me 
                    résigner. Je les ai donc apporté "au cas" où nous aurions 
                    envie de "jouer".
                            
                    Le restaurant 
                    porte le nom de "Bistango" et le maître d'hôtel me conduit 
                    actuellement à une table d'où je pourrai voir les gens 
                    entrer. Il est maintenant 20:05, soit à peu près le moment 
                    convenu pour notre rencontre.
                            
                    Environ quinze 
                    minutes plus tard, D fait son entrée et j'ai de la 
                    difficulté à croire à quel point il parait bien. Il a l'air 
                    d'un acteur de cinéma. C'est la première fois que j'accepte 
                    de rencontrer quelqu'un dont je n'ai pas vu la photo 
                    auparavant mais quelle surprise agréable de le voir dans 
                    toute sa splendeur.
                    
                    
                    Dès que le 
                    serveur viens nous rendre visite et après s'être enquis de 
                    mes goûts, D commande une bouteille de vin rouge. Afin de 
                    nous permettre de faire plus ample connaissance, deux fois 
                    D a demandé au serveur de revenir plus tard pour prendre 
                    notre commande mais le voilà de nouveau de retour à notre 
                    table. 
                            
                    Lorsque vient le 
                    moment de choisir mon menu, j'ai de la difficulté à me 
                    concentrer et à arrêter mon choix. Je dois vous dire que mes 
                    cuisses sont ouvertes à la limite que me permet ma jupe 
                    étroite et le pied de mon nouveau partenaire s'est faufilé 
                    dans mon entrejambe pour jouer avec mon sexe, tout compressé 
                    à l'intérieur de ma petite culotte.
                            
                    Dès que le 
                    serveur disparaît, D m'ordonne de me rendre aux toilettes 
                    pour les enlever et mettre le "cock ring" et le "butt plug" 
                    que je transporte dans mon sac-à-main. Même si je me sens 
                    déjà tout excitée, j'essaie de me défiler. Mais c'est peine 
                    perdue parce qu'il sait très bien de quelle manière me 
                    manoeuvrer et, aussitôt que je peux recouvrer une certaine 
                    contenance, je lui obéi. 
                            
                    Mes premiers pas 
                    ne sont pas aussi gracieux que je le voudrais. Les talons 
                    aiguille, de près de 5'', de mes cuissardes me paraissent beaucoup 
                    plus hauts qu'ils ne le sont en réalité. Mais, dès que je 
                    fais quelques pas additionnels, je peux recouvrer mon 
                    équilibre.
                            
                    La marche vers 
                    les toilettes est beaucoup plus longue que je l'anticipais 
                    et l'escalier pour descendre au sous-sol, où elles sont 
                    situées, n'est pas facile à négocier.
                            
                    Pour enlever mes 
                    petites culottes très serrées, mon corset présente un 
                    obstacle que je n'avais pas prévu mais l'insersion du "butt 
                    plug" dans mon anus présente des problêmes encore plus 
                    difficiles à surmonter. L'installation du "cock ring" est, 
                    tout de même, un peu plus facile même s'il me semble plus 
                    serré que je l'imaginais.
                            
                    En sortant des 
                    toilettes, je vérifie l'ampleur du gonflement que fait mon 
                    sexe, par devant de ma jupe. Même si celui-ci est de 
                    dimensions plutôt réduites, il laisse maintenant entrevoir, 
                    au travers de ma jupe noire, des proportions qui 
                    m'apparaissent gigantesques.
                            
                    Au moment où une 
                    dame fait son entrée dans les toilettes, je voudrais pouvoir 
                    me cacher sous le comptoir mais je ne peux pas. J'aurais 
                    l'air encore plus suspecte et il faut que je me dépêche pour 
                    rejoindre D au plus tôt.
                            
                    Sur le chemin du 
                    retour vers la salle-à-manger, je me rends compte qu'il faut 
                    que je ralentisse le pas. Le gros "butt plug" de métal 
                    chromé que je porte en moi est rigide et lourd. Le "cock 
                    ring", qui enserre mon sexe, fait en sorte qu'il frotte sur 
                    mes cuisses et c'est plutôt douloureux. C'est pourquoi, même 
                    si je voudrais me retrouver derrière la protection de la 
                    table le plus rapidement possible, je ne le peux pas. Mais 
                    la sensation de me retrouvée nue sous ma jupe est quand même 
                    excitante.
                            
                    Au moment où je 
                    fais de nouveau mon entrée dans la salle-à-manger, il y a 
                    des gens partout. J'ai l'impression qu'il sont tous là à me 
                    regarder.
                            
                    Je me sens 
                    soulagée lorsqu'enfin j'arrive à la table mais mon 
                    soulagement ne dure pas très longtemps parce que, avant de 
                    pouvoir m'assoir, D m'ordonne de relever l'arrière de ma 
                    jupe pour que mes fesses nues soient en contact direct avec 
                    le cuir froid de ma chaise. Je me sens humiliée mais j'obéi 
                    sans hésitations parce que j'ai tellement hâte de retrouver 
                    la protection de la table.
                            
                    Heureusement que 
                    je n'ai pas à relever la partie avant de ma jupe, devant 
                    tout ces gens qui sont assis aux tables avoisinantes. 
                    Certains auraient probablement la surprise de leur vie. Mais le gonflement sur le 
                    devant de ma jupe est tellement évident qu'il n'est pas 
                    nécessaire de prouver que je ne suis pas du tout la femme 
                    que j'essaie d'imiter.
                            
                    Aussitôt que je 
                    peux m'assoir, D enlève un de ses souliers pour porter son 
                    pied à l'intérieur de mon entrejambe et mon sexe se gonfle 
                    encore plus. Il retire son pied seulement après 
                    m'avoir ordonné de prendre mon "clito" dans ma main gauche.
                            
                    Le serveur arrive 
                    avec nos premiers plats juste au moment où je me caresse. 
                    C'est certain qu'il a remarqué ce que je suis en train de 
                    faire!
                            
                    Durant le repas, 
                    je dois continuer à me caresser au rythme auquel D me 
                    l'ordonne. Il ne me reste qu'une main pour manger et vous 
                    pouvez être sûrs qu'il a fait en sorte que les gens attablés 
                    autour de nous se rendent compte de ce que je dois faire 
                    avec mon autre main. Mais, je me sens tellement excitée que 
                    ça ne me dérange même pas.
                            
                    Je sais bien que 
                    je ne vous surprendrez pas si je vous dis que D fini 
                    toujours ses plats bien avant que j'aie terminé les miens. 
                    Mais, lorsque vient le temps de terminer notre bouteille de 
                    vin, j'ai vraiment hâte que l'on quitte le restaurant et 
                    j'espère que D m'invitera à sa chambre d'hôtel afin que je 
                    puisse m'offrir à lui. Mais, malheureusement pour moi, il me 
                    fait bientôt savoir que d'autres plans ont germés dans sa 
                    tête.
                            
                    Croyez-le ou non, 
                    il veut que je l'accompagne dans un sauna publique, où je ne 
                    pourrai pas me débarrasser de tous mes vêtements. En effet, 
                    en plus de devoir garder en place le "butt plug" et le "cock 
                    ring", je devrai porter mon corset, mes bas et mes talons 
                    hauts. Dans ce "costume", imaginé uniquement pour m'humilier 
                    et pour que j'attire l'attention, il se propose de m'exhiber 
                    en me tenant par une laisse fixée à l'anneau qui pend au 
                    bout de mon "clito".
                            
                    Aussitôt que je 
                    réalise ce qu'il veut me faire faire, mon excitation fait 
                    place à de la frayeur. Je désire ardemment lui obéir, lui 
                    plaire et me donner à lui mais je ne peux trouver le courage 
                    nécessaire pour accepter ce dont il attend de moi. Je 
                    discute. J'argumente. J'essaie de le convaincre qu'il peut 
                    me demander n'importe quoi mais pas de m'exhiber, comme il 
                    le voudrait, dans un sauna publique. Je m'assure qu'il 
                    comprend aussi que je suis prête à me donner à lui mais, 
                    malheureusement, il n'y a rien à faire. Je n'arrive pas à le 
                    faire changer d'avis.
                            
                    Lorsque nous 
                    sortons du restaurant et que nous nous dirigeons vers le 
                    stationnement, nous continuons à discuter de la proposition 
                    d'aller au sauna. Mais, il se fait tard maintenant et, après 
                    quelques baisers à faire trembler la terre (ses baisers sont 
                    si excitants), nous partons chacun de notre côté.
                            
                    Epilogue
                    
                    
                    
                    
                    
                    Après cette 
                    rencontre, nous avons échangé quelques courriels, mais, 
                    malheureusement pour moi, notre relation semblait être sans 
                    suite. Mais, surprise, en avril 2003, D est venu me rendre 
                    visite et, là, j'ai dû me soumettre. Vous pouvez voir des 
                    photos relatives à cette dernière rencontre en cliquant sur 
                    mes fesses.