Marc était allé
cherché Angie, qui faisait du cheval, à la demande de la mère de celle-ci qui
ne pouvait pas se libérer.
Il l'avait donc
ramené jusqu'à chez elle en moto.
Elle l'invita à
entrer boire un verre, ce qu'il accepta; le temps était ensoleillé après 2
jours de pluie quasiment ininterrompus.
Alors qu'elle
allait ouvrir la porte de la maison, elle regarda ses bottes de cuir et déclara
: "Zut, j'ai oublié de nettoyer mes bottes. Je ne peux rentrer comme ça.
Est-ce que tu veux bien m'aider à les nettoyer ?"
Marc répondu que
oui, il voulait bien l'aider à se décrotter, le terme étant assez approprié
vu que ses bottes étaient recouvertes d'une épaisse couche de boue.
Angie dit : "C'est
gentil. Allonge toi sur le dos." "Pourquoi faire ?" demanda Marc.
"Tu as dit
que tu m'aiderais, alors tu t'allonges et je vais te montrer."
Marc resta indécis un
instant puis s'allongea à même le dallage qui était tiède sous le soleil.
Angie quitta l'herbe
encore humide et s'approcha de Marc. Doucement, elle amena son pied gauche sur
son cou, celui-ci se retrouvant coincé entre la semelle et le talon.
"Mais
qu'est-ce que tu fais ?" demanda Marc.
"Ne poses pas
de questions, contentes toi d'obéir ou je me fais une joie de me décrotter les
bottes sur tes vêtements. Enlève ta chemise."
Marc ne bougea pas
aussi Angie accentua la pression de son pied sur sa gorge. Marc se décida alors
et déboutonna sa chemise. Dès que le torse de Marc fut exposé, Angie y posa
son pied gauche, l'obligeant à rester couché.
Elle dit : "2
solutions s'offrent à toi : ou tu m'obéis et fais tout ce que je te dis de
faire et dans ce cas tout se passera bien, ou tu refuses et j'arriverai de toute
façon au même but mais tu le regretteras longtemps. Mets toi bien en tête que
tu vas me nettoyer les bottes, que tu le veuilles on non. Alors, est-ce que tu
vas obéir ou est-ce qu'il faut que je précise ma pensée ?" Sur ces mots Angie
posa le talon de son pied droit sur les testicules de Marc. Même sans qu'elle
appuie elle voyait qu'Marc devait supporter l'intégralité de son poids, une
moitié sur son torse, l'autre sur ses couilles. Marc fit une grimace et dit sur
un ton résigné : "OK je vais nettoyer tes bottes, mais ne me fais pas
mal."
"Voilà ce
que je voulais entendre" dit Angie qui descendit du torse de Marc, laissant
la trace de son talon sur sa braguette et celle de sa semelle boueuse sur son
torse.
Elle se
repositionna dans l'herbe : "Je garde mes pieds dans le mouillé comme ca
la boue de mes semelles restera humide. Maintenant rampe jusqu'à mes
pieds."
Marc s’exécuta et
se retrouva avec le nez contre la pointe boueuse des bottes de Angie.
"Embrasse mes
bottes", lui ordonna-t-elle. Il s’exécuta, apposant un baiser sur la
pointe de chaque botte. "Mieux que ça, je veux que tu respectes mes
bottes. Embrasse-les jusqu'à ce que je te dise d’arrêter. Et ne te limite
pas à la pointe." Marc commença alors à embrasser le cuir boueux, le
bout d'abord puis le dessus et les cotés.
"C'est bien,
maintenant, lèche mes bottes, je veux qu'elles brillent."
Marc hésita et Angie
lui envoya la pointe de sa botte gauche dans la tempe, ce qui le fit se décider
rapidement. Il commença à lécher avec application le cuir des bottes de
cheval de Angie, avalant la boue qu'il ramenait avec sa langue.
Il avait de plus
en plus de boue dans la bouche lorsqu'il finit de lécher la première botte.
"Avale la
boue", lui dit Angie, "puis lèche ma deuxième botte. Dépêches-toi".
Marc obéis, avala la
boue et lécha la seconde botte.
"Allonge-toi".
Il obéit de nouveau, et Angie s'approcha, présentant sa semelle devant son
visage. Elle posa l'extrémité de son talon sur le haut de son torse et lui dit
: "Lèche les semelles aussi. Même s'il y a de la merde dessous".
Effectivement, il
y avait de la merde sous les bottes de Angie, ce dont Marc s'aperçut très
rapidement en promenant sa langue sur la semelle qui lui était présentée.