AUX SERVICES DE CES DAMES.
Patrick mon esclave préféré a toujours rêvé
de servir d’homme-objet à sa maîtresse en compagnie d’autres femmes qui
pourraient jouer le même rôle. Il m’était pas évident de trouver les âme-sœurs
vu mon manque de connaissance autour de moi.
Il ne me restait plus qu’à tâter le terrain auprès de mes belle-sœurs
avec peut-être au final un échec. Donc pendant nos rencontres régulières,
j’essayais une approche de la chose en leur expliquant que tous les hommes
avaient un certain fantasme de se travestir, qu’ils n’oseraient jamais en
parler à leur épouse.
A force de rabâcher les mêmes propos, elles étaient tout à fait d’accord
pour jouer le rôle de dominatrice pour quelques heures de plaisir ou de
curiosité. A mon grand étonnement, elles m’avouaient que leur mari n’avait
jamais exercé ce genre de domination et que vu comment leur conjoint s’occupait
d’elles, mes belle-sœurs n’hésiteraient plus un instant à goûter à tout.
Il ne me restait plus qu’à téléphoner à ce sac à merde, haut-parleur
enclenché et en compagnie de Valérie et Lucette.
Maîtresse Marie : « bonjour esclave ! Je t’es trouvé des
personnes qui voudraient bien s’occuper de toi ! Si tu vois ce que je veux
dire ! ».
Patrick : « merci Déesse ! Je m’habille et
j’arrive ! ».
Mes belle-sœurs me posaient quelques questions à son sujet. A savoir
comment il arriverait habiller ou encore comment devaient-elles se comporter
envers lui.
Je leur donnais des indices ou conseils de dominatrice professionnel et
apparemment, elles avaient tout assimilé.
Valérie : « super ! Pour une fois que l’on va s’amuser, on
va s’amuser ! ».
Elles claquaient des talons, impatientes de travailler mon esclave.
Patrick était bel et bien au rendez-vous. Il portait des bas-résilles, une jupe
des plus banales ainsi qu’un corset et du rouge à lèvre.
Maîtresse Marie : « arrêtez de ricaner les filles et
montrez-moi comment vous vous adressez à ce genre de spécimen ! ».
Lucette : « à quatre pattes esclave ! Embrasses nos
bottes ! ».
Patrick : « oui Maîtresses ! ».
Maîtresse Marie : « regardez les filles comment je fais entrer
ce paillasson ! ».
Elles me regardaient lui porter des coups de pied dans l’entrejambe sans
jamais relever quoi que ce soit. Au contraire, elles avaient le sourire aux
lèvres.
Patrick : « aah… ! Vous me faites mal
Déesse ! ».
Maîtresse Marie : « ta gueule ! Sinon ce sera le tour de
mes chères belle-sœurs à s’occuper de tes noix ! Maintenant avances
jusqu’à la table de la salle à manger ! ».
Il exécutait mon ordre sans broncher toujours à quatre pattes. Il ne nous
restait plus qu’à nous installer, jambes croisées, notre pauvre tare à nos
pieds.
Maîtresse Marie : « alors les filles ! Qu’attendez-vous
pour vous faire cirer les bottes ! ».
Valérie : « c’est vrai ça ! Tu as parfaitement raison
Marylise ! Allez esclave nettoie-nous les semelles car elles sont toutes
pleines de saleté ! ».
Lucette : « regardez ce con ! Il fait tout ce qu’on lui
demande de faire ! ».
Valérie : « génial ! Viens un peu ici toi et suce-moi
les talons ! Je crois que j’ai marché dans une crotte de chien !
Hihihi… ! ».
Maîtresse Marie : « moi ce que j’adore les filles, c’est de
mettre des coups de pied dans les couilles de ce mec ! J’adore lui
arracher la peau de ces noix avec mes talons ! Regardez votre chère belle-sœur
dans ses œuvres ! Tiens prend ça et ça ! ».
Patrick : « aah… ! ».
Lucette : « je peux essayer ? ».
Maîtresse Marie : « bien sûr ! Il est à toi ! ».
Lucette : « et paf dans les couilles ! ça calme les nerfs
ce genre d’exercice ! ».
Maîtresse Marie : « n’hésites pas à lui broyer la queue !
Il adore ça ce cochon ! ».
Valérie : « laisse-moi la place s’il te plaît ! Pour une
fois que je m’amuse ! ».
Patrick : « aah… ! »
Valérie : « encore gagné ! En plein dans les
couilles ! Et maintenant les filles observez bien ce que je ferai à mon
mari ce soir ! ».
Ma belle-sœur monta brusquement sur le gros estomac de Patrick et d’une
violence inouie, enfonça ses talons usés dans la chair de notre hôte.
Patrick : « aah… ! J’ai mal Maîtresse! ».
Valérie : « ta gueule sale pute ou je te fais bouffer ma
botte ! ».
Lucette : « vas-y Valérie enfonce-lui l’extrémité de ta pompe
dans sa sale gueule de con ! ».
Maîtresse Marie : « continuez les filles ! Le temps de me
préparer à jouer mon rôle d’homme ! ».
Valérie : « ah bon ! Qu’est-ce que tu
mijotes ? ».
Maîtresse Marie : « avec le gode de mon mari, je vais vous
l’enculer cette sale pute ! ».
Lucette : « déconnes pas ! Tu vas vraiment le pénétrer ce
mec ? ».
Maîtresse Marie : « bien sûr ! Qu’est-ce que tu crois !
Finalement ce n’est qu’une pute qui aime sucer les talons comme des
queues ! Au fait, donnez-lui les restes de nos repas ! Il adore bouffer comme un chien aux pieds de ses Maîtresses ! ».
Valérie : « d’accord ! Sans problème ! ».
Maîtresse Marie : « j’ai oublié de vous dire les
filles ! Il faut lui malaxer la nourriture à l’aide de vos bottes !
Sinon il ne mangera pas ! Il adore finir son repas après un bon
léchage de semelles ! ».
Lucette : « entendu Marie ! ».
Le temps de mettre mon gode, je pouvais apercevoir mes belle-sœurs se
régalaient à la vue de mon esclave sucer, lécher et nettoyer leurs pompes.
Maîtresse Marie : « restes courber sale pute ! Tu vas
goûter à ma queue ! ».
Valérie : « arrêtes Marie ! On va en attraper un
fou-rire ! ».
Maîtresse Marie : « continuez à vous faire nettoyer les bottes,
le temps de lui échauffer le cul ! ».
Quelques claques sur les fesses suffisaient à lui exciter le troufion.
Maîtresse Marie : « prend ça dans le cul bâtard ! ».
Patrick : « aah… ! ».
Maîtresse Marie : « venez les filles ! J’ai besoin de
votre aide pour la faire jouir cette pute ! Met-toi là Valérie et tape-lui
dans les couilles à chaque coup de rein ! Et toi Lucette frappe-le dans le
bas ventre et dans la gueule ! ».
Patrick : « aah… ! ».
Mes belle-sœurs le frappaient violemment avec sadisme. Les coups portés
lui rendaient la queue toute bleue prête à exploser ! Lucette en profitait
même pour lui enfoncer au fond de la gorge ses talons usés par la marche.
Patrick : « aah… ! ».
Valérie : « le bâtard ! Il a éjaculé sur mes
bottes ! ».
Maîtresse Marie : « ne t’inquiètes pas ! Il adore nettoyer
son propre sperme ! Surtout sur les bottes d’une inconnue ! ».
Valérie : « sors ta langue sale pute et lèches ! ».
Maîtresse Marie : « n’hésites pas à le gifler ce con s’il ne
fait pas correctement son boulot ! ».
En fin de séance, mon soumis nous quittait les couilles vides emportant
avec lui des coups et des marques de talon dans le cul. Finalement et dans nos
discussions de belle-sœurs, il s’avérerait que ces filles m’avaient bien caché
leur jeu et que quelque chose me dit qu’elles seront un jour, récidivistes dans
ce genre d’exercice.

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