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Aux pieds de ma belle soeur
Nous avions invité mon beau-frère et ma belle-soeur à l'occasion de mon anniversaire, une soirée d'ailleurs qui allait se terminer dans une orgie d'alcool!. Installés dans les fauteuils, ma femme et mon beau-frère commençaient à s'endormir devant la télévision. Elle, Valérie continuait à s'intéresser au film, jambes croisées.
En ce qui me concerne, j'étais allongé sur le sol, faute de place et aux pieds de ma belle-soeur. Elle portait des escarpins bleus aux talons qui étaient pour moi dans la moyenne. Avec discrétion, je me rapprochais de ses pieds pour me sentir le cuir et si possible lui lécher les pompes.
Une de mes premières tentatives était vouée à l'échec car Valérie sentait quelque chose toucher son escarpin, ma langue de toute évidence. Elle recula ses pieds de quelques centimètres, pour ne pas me mettre le talon dans la figure. Apparemment et dans mes gestes, elle devait se douter que j'étais intéressé par ses pieds car elle pouvait remarquer la bosse dans mon short.
A force d'insister dans le temps, Valérie se laissa prendre au jeu et décida de ne plus déplacer ses escarpins à l'approche de ma langue. Elle allait encore plus loin dans cette expérience, en me présentant ses semelles sales avec un balancement dit "dangling"!.
Je commençais à lui nettoyer le cuir de sa première chaussure ainsi que la pointe. Le travail effectué, elle décroisa les jambes pour me montrer l'autre et d'un geste discret, m'ordonna de lui nettoyer la semelle. J'étais rouge d'excitation à la vue de cet escarpin que j'avais toujours rêvé de toucher.
J'adorais voir le regard et le sourire moqueur de Valérie pendant le nettoyage de ses pompes. Elle s'en régalait d'ailleurs! Ma jouissance n'était plus loin maintenant et je ne pouvais m'empêcher d'éjaculer dans mon slip.
Valérie reposa ses chaussures pleines de salive sur mon visage, les frotta le long de mes joues puis me planta avec brutalité ses talons pointues dans le fond de ma bouche en effectuant plusieurs rotations de ses pieds pour certainement me faire encore plus mal.
Je souffrais mais j'adorais ça! Voir à quel point ma belle-soeur pouvait faire de moi son paillasson personnel me rendait fou. Je les suçais un par un comme on suce une queue dans des va-et-vients incessants. Elle n'arrêtait plus dans ses gestes de sadique, à me rendre les lèvres toutes rouges de sang!. Je sentais ma gorge usée par ses mouvements brutaux.
Cette expérience dura assez longtemps vu l'état de mon épouse et de mon beau-frère, noyés dans l'alcool et cela fait maintenant plus d'une année que nous n'avons plus exercé ce genre de fantasme. Chaque jour passé, je rêve au nettoyage de toutes les chaussures de Valérie, à une masturbation de sa propre main ou mieux encore un piétinement hard de mon sexe.