Baru

Les compagnons de voyages
et expédition vers le volcan Barù...

Il est dur de voyager seul. Durant ces trois semaines, j'ai rencontré quelques voyageurs d'un peu partout. La section sur le Carnaval renferme les companeros avec lesquels j'ai festoyés...

Puis, il y a Chris, un médecin néozélandais. Il terminait son voyage par une visite de quelques jours à Bocas Del Torro, au Panama. Dommage que la pluie l'a suivi pendant ses dernières journées de vacances. Mais bon, j'imagine qu'il n'a pas trop été dépaysé. C'est bien à Londre que l'humidité, le brouillard et la pluie sont choses courantes.

Le Chat du Mundo Taitu à Bocas Del Torro...

Lui ne s'est pas cassé la tête pendant les journées pluvieuses. Il a même été ma source d'inspiration : dormir.

Frédérique de la France.

Ensemble, on a fait du pouce à Boquette, au Panama, pour se rendre en haut d'un des cratères du volcan Barù, à une hauteur de près de 4000 mètres.

À pied, il aurait fallu entreprendre une randonnée de 6-7 heures dans les grosses pierres. En 4x4, il en a fallu quatre (seulement) assis dans la boîte arrière. Le plus drôle (sic) est que le conducteur amenait une demoiselle au zénith de cette montagne avec son gros 4x4, mais les branches et les grosses pierres ont eu raison de la peinture et de la carosserie. Un rendez-vous très coûteux...

Un fois au sommet, le Lonely Planet nous invitait à être très attentif parce qu'on peut voir l'océan Pacifique d'un côté, et Atlantique de l'autre, lors d'une journée sans nuage.

Bref, cette journée-là, le ciel était partiellement dégagé, et on a cru voir du bleu. Mais à savoir si c'était l'océan... Bah, disons qu'on a vu un samblant d'une masse bleue à l'horizon, quoique très vague.

On en conclu qu'on a vu l'océan. Sinon on se félicite d'avoir au moins regardé dans la bonne direction...