L'amour fort comme la mort (une autobiographie)
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De Bergson à Lustiger, innombrables sont les Juifs qui ont préféré la
conversion à la fidélité judaïque. Pour moi le problème se posait en
d'autres termes : ma route n'était pas celle que mes convertisseurs
me proposaient. Elle n'était ni meilleure ni pire : elle était
différente.
(p.193)
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J'avais assez de décence pour savoir que Dieu n'était ni juif, ni
chrétien, ni musulman : ...
(p.203)
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On connait sans doute cet apologue hassidique :
- M'aimes-tu ?
- Oui.
- Sais-tu ce qui me fait souffrir ?
- Comment le saurai-je ?
- Alors comment peut-tu dire que tu m'aimes ?
(p.370)
(Editions Robert Laffont - Pocket)
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