Bruxelles, le 15 novembre 1999
Bienvenu,
ˆ un mode de vie dans lequel le consommateur pourrait dŽduire,
des revenus imposable
les frais de vie avec des produits Žcologiques,
comme frais qui assurent des revenus pour l'ŽternitŽ.
En dŽfinissant un processus Žcologique comme un processus
qui assure des revenus pour l'ŽternitŽ,
le consommateur peut appliquer la loi qui stipule que des frais qui assurent un revenu peuvent tre dŽduits de ce revenu avant que les imp™ts soient dus.
Le consommateur pourrait donc dŽduire des revenus imposables les frais de vie avec des produits de ces processus, comme des frais qui assurent des revenus pour l'ŽternitŽ.
Le concept : dŽduire des frais qui assure un revenu de ce revenu avant de payer des imp™ts,
accepte des frais qui assurent des revenus pour une longue pŽriode de temps
qui commence maintenant et se perd dans l'ŽternitŽ.
Ce sont des frais qui assurent des revenus de l'espce humaine dans le futur.
Ces frais de vie conviennent ˆ la loi parce qu'ils montrent la justice de la loi quand le temps se raffine dans son application.
Des revenus ne peuvent tre assurŽs pour l'ŽternitŽ que si les activitŽs avec lesquelles la population gagne ses revenus,
assurent ces revenus pour l'ŽternitŽ.
DŽduire, des revenus imposables, les frais de vie qui assurent des revenus pour l'ŽternitŽ, montre la sagesse de la loi dans la science.
Le principe de l'efficacitŽ de l'Žconomie du marchŽ libre ;
l'Žquilibre entre les charges et les produits doit tre maintenue par les personnes qui gagnent les revenus,
peut tre appliquŽ maintenant au niveau des revenus de la premire passion ˆ gagner des revenus : survivre ou soutenir un mode de vie sur cette plante ; les revenus du consommateur.
Les consommateurs les dŽpensent maintenant comme un enfant dŽpense son argent de poche, pour consommer de plus en plus en plus, toujours en plus.
En mettant en Žvidence la cause formelle de la loi : des frais qui assurent un revenu peuvent tre dŽduits de ce revenu avant que des imp™ts soient dus,
dans la dŽfinition d'Žcologique :
"assure des revenus pour l'ŽternitŽ",
contact avec la cause finale de la Justice
est Žtabli ;
le consommateur dans l'Žconomie du marchŽ libre
peut maintenir l'intŽgritŽ de la nature humaine
et rendre l'efficacitŽ dans l'utilisation des ressources naturelles de cette plante ˆ un optimum scientifique
comme "rŽgent ou intendant de la nature humaine".
Bienvenu ˆ leur monde,
dans lequel vous pouvez maintenir votre intŽgritŽ avec vos revenus,
dans lequel vous pouvez vivre en harmonie avec la Nature et avec la nature humaine.
Vous pouvez participer dans l'actualisation de ce monde en m'envoyant votre support pour un des projets prŽsentŽs au site de ZERO : http://freezone.exmachina.net/ZERO. Vous y accŽdez par "The table of contents of the English text".
Je vous de prie de croire ˆ mes sentiments sincres et honntes. W. A. de Bruyn
Une version amŽliorŽe de l'Žconomie du marchŽ libre
De quinze annŽes de recherche, une pratique de comptabilitŽ a ŽtŽ trouvŽe qui motive le consommateur d'acheter des biens et services qui maintiennent la Nature en parfait Žtat et la nature humaine saine. Cette pratique donne en mme temps un but au dŽveloppement et elle augmente l'efficacitŽ de l'Žconomie. De plus, la loi actuelle dans les pays avec une lŽgislation de l'Žconomie du marchŽ libre devrait permettre cette pratique. Cette pratique est : le consommateur devrait pouvoir dŽduire l'argent qu'il dŽpense ˆ des produits qui maintiennent l'intŽgritŽ de la Nature, de ses revenus imposables.
Une qualitŽ ou Žtat parfait de la Nature assure un mode de vie pour cette gŽnŽration et celles ˆ suivre, donc continuellement. Maintenir la Nature dans une condition parfaite assure donc des revenus. Des frais qui assure un revenu peuvent tre dŽduits de ce revenu par la loi actuelle. C'est pourquoi les consommateurs qui grent les frais de vie afin de garder la Nature en parfait Žtat, pourraient les dŽduire de leurs revenus imposables, comme des frais qui assurent un revenu. Un procs de jurisprudence doit rentrer cette interprŽtation de la loi, dans l'ordre Žtabli par la loi.
Ds que les consommateurs peuvent dŽduire leurs frais de vie avec ces produits, appelŽs produits Žcologiques, de leurs revenus imposables, ils chercheront, honntement, ces produits, par intŽrt personnel et financier. Ces intŽrts eveillent des passions puissantes. Ils achteront des produits Žcologiques et vivront avec eux. Les consommateurs traceront un mode de vie en harmonie avec la Nature comme des scouts de la sociŽtŽ, avec les produits qu'ils consomment. Ils seront les rŽgents ou intendants de la nature humaine, parce que la nature humaine ne peut tre maintenue saine qu'avec des produits de la Nature. Ce n'est que les consommateurs qui peuvent maintenir l'intŽgritŽ de la nature humaine comme le capital producteur de l'espce humaine, par leur mode de vie. Maintenir cette intŽgritŽ sera le but du dŽveloppement, car le but du dŽveloppement est le but avec lequel les consommateurs dŽpensent leurs revenus. Pour le moment, le seul but avec lequel les consommateurs peuvent dŽpenser leurs revenus est : CONSOMMEZ de plus en plus en plus, toujours en plus. Sans autre but que de consommer, le dŽveloppement macro-Žconomique de cette plante est sans sens. Poursuivre un dŽveloppement sans sens est la cause efficace des crises sociale, Žconomique et Žcologique ; la crise socio-Žconologique qui ravage cette plante.
La concurrence, causŽe par la demande des consommateurs, forcera les producteurs d'amŽliorer la qualitŽ Žcologique de leurs produits, jusqu'ˆ ce qu'ils soient 100% Žcologiques. Ils seront obligŽs de dŽmontrer pourquoi leurs produits sont Žcologiques, ou plus Žcologiques que ceux de la concurrence, avec l'analyse de leurs procŽdures de production, appelŽe analyse du berceau ˆ la tombe, de chaque produit.
Le principe de l'efficacitŽ de l'Žconomie du marchŽ libre est la cause pourquoi le marchŽ libre est la meilleure faon de gŽrer une Žconomie, en principe. Ce principe est : l'Žquilibre entre les comptes opŽrationnels du compte Capital, les comptes : Charges et Produits, doit tre maintenu ˆ la source des revenus, par les gens qui gagnent ces revenus.
Les revenus qui dŽcoulent de la premire passion ˆ gagner un revenu : survivre, sont les revenus du consommateur. Il est le plus prs ˆ l'Žchange entre des frais de vie et des produits ˆ vivre. C'est dans cette transaction que l'utilisation des ressources naturelles de la Terre, des Eaux et de l'Air de la Nature de cette plante est gŽrŽe. Soutenir un mode de vie qui peut durer pour l'ŽternitŽ dans un dŽveloppement durable, n'est que possible que si le consommateur vit en harmonie avec la Nature. Avec la capacitŽ de dŽduire les frais de vie avec des produits Žcologiques des revenus imposables, le consommateur peut donner sens ˆ la dŽpense de son argent quand il dŽpense son argent aux frais de vie avec le but de maintenir l'intŽgritŽ de la nature humaine, pour l'ŽternitŽ. Avec cette capacitŽ du pouvoir Žconomique de son achat, le consommateur peut se permettre de vivre en harmonie avec la Nature, partout sur cette plante, o il y a une Žconomie du marchŽ libre. Il peut rendre compte qu'il a maintenu un Žquilibre entre les Produits de son labeur et les Charges de la vie, dans lequel l'intŽgritŽ de la nature humaine est maintenue, dans sa comptabilitŽ de ses frais de vie. Ils peuvent garder l'Žquilibre entre les Produits et les Charges, les valves du coeur du Capital gŽnŽrateur de la vie de l'espce humaine. Le consommateur garde l'intŽgritŽ de la nature humaine par son mode de vie. Chaque consommateur dans l'Žconomie du marchŽ libre peut ainsi maintenir son intŽgritŽ avec ses revenus, sur cette plante.
Cet Žquilibre est actuellement maintenu ˆ la source des revenus de production, les revenus qui dŽcoulent de l'utilisation des ressources naturelles, les revenus du producteur. - En effet, les producteurs peuvent dŽduire les frais de production des revenus de ventes de ce qu'ils produisent. La diffŽrence est leur bŽnŽfice brut. Il est ˆ la base de leur bŽnŽfice imposable.
Pourtant, la premire source de revenu n'est pas la production. La premire source de revenu est le revenu pour soutenir un mode de vie, pour vivre ou pour survivre. Les consommateurs grent l'Žchange entre les frais de vie et les produits ˆ vivre, quand ils dŽpensent leurs revenus ˆ des biens et services avec lesquelles ils soutiennent leur mode de vie sur cette plante. DŽduire les frais de vie avec des produits Žcologique des revenus imposables du consommateur, amne donc ˆ un maximum d'efficacitŽ dans l'Žconomie du marchŽ libre, puisque cette efficacitŽ sera atteint afin d'atteindre le but du dŽveloppement : maintenir l'intŽgritŽ de la Nature, pour l'ŽternitŽ. Cette efficacitŽ sera soutenue, car la Nature sera maintenue en parfait Žtat par ses gŽrants naturels, les consommateurs. GŽrer les frais de vie afin de garder la Nature en parfait Žtat et la nature humaine saine amne ˆ un maximum de bien-tre pour un maximum d'tres humains sur cette plante. L'efficacitŽ de l'Žconomie sera augmentŽe, d'une manire Žthique.Cette gestion causera un dŽveloppement Žthique et humain ˆ dŽmarrer. Ce dŽveloppement restera dans les normes posŽes par les limites de la Nature. Il amne ˆ un dŽveloppement soutenu, car chaque personne aura la libertŽ de maintenir l'intŽgritŽ de sa Nature avec ses revenus. Soutenu est aussi diffŽrent de soutenable qu'aimable est diffŽrent d'tre aimŽ.
La pratique que le travailleur doit rendre des fruits de son travail ˆ une autoritŽ, inconditionnellement, a pris fin, lorsque le consommateur dŽduit ses frais de vie avec des produits Žcologiques de ses revenus imposables. L'esclavage est arrivŽ ˆ son terme. A sa place, un Žquilibre harmonieux entre l'Žnergie vital de l'tre humain et les forces de l'Žtat, se rŽvŽlera. Le pouvoir, au zŽnith de la sociŽtŽ, devrait briller de nouveau par la sagesse. Cette fois elle sera puisŽe de la recherche de chaque tre humain ˆ vivre en harmonie avec la Nature et la nature humaine.
Plus de renseignements sur la thŽorie et les consŽquences de la gestion des frais de vie sont prŽsentŽs, en Anglais, au ZERO web site : http://freezone.exmachina.net/ZERO
Bruxelles, le 23 novembre 1997 W.A. de Bruyn
RŽŽditŽe ˆ Bruxelles, le 6 dŽcembre 1999 W.A. de Bruyn
Comment sauvegarder l'intŽgritŽ de la nature humaine?
Les consommateurs doivent gŽrer leurs frais de vie afin de sauvegarder l'intŽgritŽ de la nature humaine de cette gŽnŽration pour les prochaines. Cette intŽgritŽ reprŽsente le capital gŽnŽrateur de vie de l'espce humaine. Les consommateurs gŽreront leurs frais de vie pour atteindre ce but, quand ils peuvent dŽduire leurs frais de vie avec des produits Žcologiques de leurs revenus imposables. Le but du dŽveloppement sera : "Sauvegardez l'intŽgritŽ de la nature humaine." Le but du dŽveloppement est le but avec lequel les consommateurs dŽpensent leurs revenus. Le seul but avec lequel le consommateur peut dŽpenser ses revenus dans la version actuelle de l'Žconomie du marchŽ libre est : "CONSOMMEZ!"
Cette dŽcouverte du but du dŽveloppement est preuve de la validitŽ scientifique de la thŽorie : les consommateurs doivent pouvoir dŽduire leurs frais de vie avec des produits Žcologiques de leurs revenus imposables. Avec cette pratique comptable ils peuvent atteindre ce but. Cette facultŽ motivera les consommateurs de se conduire comme des facteurs de production productives. Ils soutiendront le dŽveloppement en traant un mode de vie en harmonie ˆ l'intŽrieur de la nature avec les biens et services qu'ils consomment. Ils soutiennent leur mode de vie avec ces biens et services, donc le dŽveloppement. Ils rendront compte de leur productivitŽ en rendant compte de la mesure dans laquelle leurs frais de vie soutiennent des processus qui sont en harmonie avec les processus de la nature. L'tre humain peut tre productif vingt-quatre heures par jour. D'abord, en gagnant des revenus quand il utilise des ressources naturelles efficacement pour produire des produits. Ensuite, en dŽpensant ces revenus, quand il garde la nature dans une condition qui assure ˆ l'humanitŽ qu'il peut sauvegarder l'intŽgritŽ de la nature humaine, avec les produits qu'il consomme.
Une autre preuve de la validitŽ scientifique de la thŽorie est qu'elle prŽsente un principe de l'efficacitŽ de l'Žconomie. Ce principe est : "Gardez l'Žquilibre entre les frais et les revenus ˆ la source des revenus". Ce principe est appliquŽ dans l'Žconomie du marchŽ libre au niveau des frais et revenus de production. Les producteurs peuvent dŽduire les frais de production des revenus de ventes des produits qu'ils produisent, avant qu'ils doivent payer des imp™ts sur ce qu'il reste de ces revenus aprs qu'ils ont payŽ ces frais. - Dans la comptabilitŽ Franaise ces frais et revenus sont appelŽs : Charges et Produits. Leur diffŽrence dŽtermine le BŽnŽfice ou la Perte. - Gr‰ce ˆ cette libertŽ de gŽrer ses frais, le producteur peut atteindre le but de son activitŽ, d'une manire efficace. Cette libertŽ est une raison que les producteurs dans l'Žconomie du marchŽ libre sont aussi efficaces qu'ils le sont ˆ partager les ressources limitŽes de cette plante pour satisfaire des dŽsirs illimitŽs des consommateurs. D'aprs ce principe, l'efficacitŽ de l'Žconomie du marchŽ libre augmentera quand l'Žquilibre entre les frais et les revenus est maintenu ˆ la premire source des revenus : du travail.
Seulement les consommateurs peuvent y maintenir cet Žquilibre. Ils dŽpensent leurs revenus du travail ˆ des frais de vie, pour survivre ou pour soutenir leur mode de vie. Seul le consommateur peut gŽrer les frais de vie pour tracer un mode de vie en harmonie avec la nature, parce que le consommateur seul peut garder l'intŽgritŽ de la nature humaine avec les biens et services de la nature qu'il consomme. Seulement les consommateurs peuvent gŽrer les frais de vie d'une manire efficace, car ils peuvent gŽrer ces frais ˆ la source de l'activitŽ du marchŽ. L'Žchange d'argent pour les biens et services avec lesquels l'humanitŽ soutient son mode de vie sur cette plante, est une source d'activitŽs du marchŽ, de la confiance est une autre. Le succs de l'Žconomie du marchŽ libre ˆ atteindre le but de son dŽveloppement courant : CONSOMMEZ!, dŽmontre que gŽrer un processus ˆ la source d'une activitŽ qui soutient ce processus est un moyen efficace pour atteindre son but. Les producteurs grent les frais de production ˆ la source de la production des biens et services du dŽveloppement, dans l'Žconomie du marchŽ libre. Leur gestion est une cause de son efficacitŽ. Du bien-tre sera crŽŽ pour plus de gens lorsque les consommateurs grent les frais de vie pour sauvegarder l'intŽgritŽ de la nature humaine, parce qu'ils augmenteront l'efficacitŽ de l'Žconomie ˆ atteindre le but de son dŽveloppement : garder l'intŽgritŽ de la nature humaine, d'une manire Žthique.
Il est inŽvitable que l'humanitŽ corrigera une erreur dans la version actuelle de l'Žconomie du marchŽ libre. Elle le fera quand des gens dŽcideront de dŽduire les frais de vie avec des produits Žcologiques des revenus imposables pour sauvegarder l'intŽgritŽ de la nature humaine comme le capital gŽnŽrateur de vie de l'espce humaine. Cela n'a pas de sens de ne pas le faire maintenant. Auriez-vous la bontŽ d'Žtablir contact avec nous pour prendre cette dŽcision ensemble?
Bruxelles, le 31 juillet 1998 W.A. de Bruyn
Quelques consŽquences de la gestion des frais de vie
Quand les consommateurs peuvent dŽduire leurs frais de vie Žcologiques des revenus imposables, le pouvoir socio-Žconomique est divisŽ en deux pouvoirs Žquivalents : le pouvoir social de revenu du producteur et le pouvoir Žconomique d'achat du consommateur. Avec ce dernier pouvoir, les consommateurs sont capables d'Žtablir une relation harmonieuse entre n'importe quels groupes de gens dans la sociŽtŽ qui sont associŽs avec ces deux pouvoirs : des employŽs et employeurs, la Gauche et la Droite, le Nord et le Sud, L'Est et l'Ouest.
Avec leur pouvoir Žconomique d'achat, les consommateurs dirigent et gardent le dŽveloppement alignŽ avec les limites de la nature. Non obstruŽ par ces limites, le dŽveloppement Žblouira de nouveau. Le consommateur entretient son progrs en y donnant le sens de garder l'intŽgritŽ de la nature humaine, par son mode de vie, comme un scout.
Quand les frais de vie avec des produits Žcologiques peuvent tre dŽduits des revenus imposables, la pratique que le travailleur doit rendre des fruits de son travail ˆ une autoritŽ, inconditionnellement, aura pris fin. L'esclavage aura trouvŽ sa fin. Au lieu, un Žquilibre harmonieux entre l'Žnergie vital du consommateur et les forces d'Žtat se rŽvŽlera. Le pouvoir au zŽnith de la sociŽtŽ pourra de nouveau rayonner avec de la sagesse. Celle-ci sera puisŽe de la recherche de chaque consommateur de vivre en harmonie avec la nature et la nature humaine. Un Žquilibre entre l'homme et sa nature peut tre trouvŽ, dans lequel la rŽalitŽ est une fonction continue de la vŽritŽ, ˆ tout moment. L'homme ou la femme peut alors garder contact avec la cause finale de la vie, car la vŽritŽ est la rŽalitŽ de l'amour.
Le consommateur sera naturellement motivŽ ˆ tre Žthique quand il ou elle dŽpense ses frais de vie, avec plaisir, ˆ des biens ou services qui gardent sa nature saine. - Le plaisir nourrit une conduite Žthique, d'aprs des thŽories sur la morale. - La connaissance qu'il dŽpense ces frais comme des frais dŽductibles des revenus imposables agrandit, initialement, le plaisir ˆ tre Žthique. La motivation naturelle ˆ tre Žthique avec plaisir, se transformera dans la force Žthique d'acheter. Avec cette force, chaque consommateur soutiendra un courant Žthique dans l'Žconomie. De faire des affaires Žthiques devient la faon optimale de traiter des affaires, donc, la manire normale. "Morabaha" ou des bŽnŽfices raisonnables, deviennent des bŽnŽfices normaux. IntŽgritŽ pourrait devenir la valeur de base sur laquelle les activitŽs dans le monde de l'Žconomie du marchŽ libre, prolifrent.
Des artistes, par leur nature mme, sont des crŽateurs. Ils peuvent donc tre parmi les premiers ˆ utiliser des produits Žcologiques dans leur travail. Le prix d'achat des oeuvres d'art peut donc tre dŽduit du revenu imposable du consommateur, pour la premire fois dans l'histoire. Il est raisonnable d'assumer que la demande d'oeuvres d'art augmentera. Une valeur productive de l'art dans la sociŽtŽ sera donc dŽmontrŽe.
La gestion des frais de vie favorise la biodiversitŽ. Une analyse du berceau ˆ la tombe y est implicite. Cette analyse dŽmontre l'impact des diffŽrences dans les terres cultivŽes, sur les vitamines, minŽraux et traces d'ŽlŽments des produits. Elle dŽmontre aussi l'impact de ces diffŽrences sur la couleur, forme ou durabilitŽ des produits cultivŽs ou ŽlevŽs. Ces diffŽrences dŽterminent les diffŽrences en valeurs nutritives, prŽventives, mŽdicales, commerciales et d'autres valeurs connues ou ˆ tre connues des produits de la terre. Ces diffŽrences seront utilisŽes comme arguments de vente. La biodiversitŽ est requise afin de concurrencer dans un mode de vie optimal ˆ l'intŽrieur de la nature et de l'Žconomie du marchŽ libre. Tous les produits de la terre seront vendus comme du vin.
Le pollueur final, le consommateur, arrte de polluer et tous les producteurs devront concurrencer avec les qualitŽs et mesures Žcologiques de leurs biens et services. Des outils, techniques et produits qui gardent la nature intacte seront recherchŽs et dŽveloppŽs, partout. Le dŽveloppement fleurira partout pour satisfaire la demande des consommateurs pour des produits Žcologiques. Entre temps, les travailleurs, outils et techniques qui laissent la nature indemne, n'importe o, peuvent continuer ˆ tre employŽs. Par la recherche et le dŽveloppement, leur efficacitŽ sera augmentŽe en laissant la nature intacte. Ces travailleurs avec leurs outils et techniques sont la base du dŽveloppement, n'importe o, d'une industrie Žcologique.
Quand le consommateur dŽduit ses frais de vie avec des produits Žcologiques de ses revenus imposables, la charge des imp™ts sur les revenus est transfŽrŽe des revenus du travail vers les revenus d'utilisation de ressources naturels. Le gouvernement collecte plus d'imp™ts sur les revenus grandissants des fournisseurs des produits Žcologiques, qu'il en perd parce que le consommateur dŽduit ses frais Žcologiques des ses revenus imposables. Une utilisation plus efficace est faite des ressources naturelles, quand le consommateur gre ses frais de vie afin de garder la nature en parfait Žtat. Les revenus des fournisseurs des produits Žcologiques augmentent donc d'avantage, ainsi que les imp™ts sur ces revenus. Cette augmentation sera plus grande que la perte des imp™ts sur les revenus du travail. Une situation semblable est arrivŽe lors de la rŽvolution industrielle. L'efficacitŽ de l'utilisation des ressources naturelles y Žtait aussi augmentŽe.
Le gouvernement collecte encore plus d'imp™ts sur des revenus, parce que le marchŽ noir dispara”t. Les consommateurs auront besoin des reus pour tous leurs achats Žcologiques, afin de pouvoir les dŽclarer comme des frais dŽductibles des imp™ts.
De plus, le gouvernement n'a plus besoin des fonds pour protŽger la nature, car elle est gardŽe en parfait Žtat par ses gŽrants naturels ; les consommateurs.
La libertŽ personnelle de soutenir avec ses frais de vie un dŽveloppement humain et Žthique, rŽsultera dans un dŽveloppement soutenu, car cette libertŽ permettra ˆ tout le monde de garder l'intŽgritŽ de la nature humaine.
Bruxelles, le 23 novembre 1997 W.A. de Bruyn
Justification de commencer avec la gestion des frais de vie
Justification morale
La gestion des frais de vie permettra au consommateur d«arrter de commettre la pŽchŽ de polluer. Dimanche 1 Octobre 1995, le matin, pendant une Žmission de la radio de BBC, un rapport fut lu concernant une rŽunion qui traitait du lien entre la religion et l'environnement. L'Žmission fut Žmise ˆ la longue d'ondes 648 AM aprs 0800 heures du matin, temps de Bruxelles et 0700 heures temps annoncŽ pendant l'Žmission. La rŽunion fut assemblŽe par l'Žglise orthodoxe, probablement, l'Žglise orthodoxe grecque. Un participant Britannique dŽclara que, de polluer doit tre considŽrŽ comme un pŽchŽ.
Tous les consommateurs de cette plante commettent ce pŽchŽ, parce que le consommateur est le pollueur final. Pourtant, ils commirent ce pŽchŽ avec innocence. Le consommateur ne savait pas comment de soutenir avec les revenus de son travail, une faon de vivre qui garde la nature en parfait Žtat et la nature humaine saine. Ils ne savaient pas comment soutenir avec leurs frais de vie un mode de vie qui assure des moyens d'existence pour des gŽnŽrations ˆ suivre.
Maintenant que la thŽorie de la gestion des frais de vie est connue, ce pŽchŽ a perdu son innocence. De commettre le pŽchŽ de polluer est maintenant un mal. Le pŽchŽ est le pouvoir du mal. Commettre un pŽchŽ est sa force. Le pŽchŽ jaillis de la connaissance de la diffŽrence entre le bien et le mal. Commettre un pŽchŽ est l'utilisation de cette connaissance pour faire du mal. Homme ou femme utilise cette connaissance naturellement pour tre bon. D'utiliser ou de ne pas utiliser la connaissance de la gestion des frais de vie est maintenant une question du bien ou du mal.
Justification philosophique
La gestion des frais de vie permettrait ˆ l'humanitŽ d'arrter le pŽchŽ de polluer. Cette gestion permet au consommateur, en mme temps, d'entrer dans un mode de vie optimal ˆ l'intŽrieur de la nature et du marchŽ de l'Žconomie libre. Il y entrera en harmonie avec la nature humaine et dans le plaisir Žthique de la paix et des bŽnŽdictions. Un tel mode de vie dŽmontre la logique du lien linguistique entre le monde physique et le monde mŽtaphysique. Le rŽsultat d'appliquer la vŽritŽ d'une thŽorie dans la rŽalitŽ de vivre une vie pareille, dŽmontrera de nouveau qu'il est bon de ne pas pŽcher.
Le plus grand est l'impact du pŽchŽ sur la nature humaine, le plus vigoureux changera la cour de l'histoire. Quand les habitants de cette plante arrtent de commettre ce pŽchŽ la cour de l'histoire changera vigoureusement. Le changement causŽ par la gestion des frais de vie est donc bon.
Justification stratŽgique
La vŽritŽ de la thŽorie de la gestion des frais de vie est immanente dans sa simplicitŽ. La puissance d'une vŽritŽ pareille permettra une masse de consommateurs, relativement petite, de crŽer le moment qui transforme cette amŽlioration de la thŽorie macro-Žconomique dans une pratique journalire.
Bruxelles, le 23 novembre 1997 W.A. de Bruyn