Bozo fit, en moto, le tour des rues de la Basse-Ville de Québec. Il nota l'adresse de certains cabarets avant de s'enfiler sur le boulevard Charest, jusqu'à Ste-Foy. Comme le soir se faisait proche, il décida d'aller se louer une chambre quelque part... Il échoua chez-moi. Je consentis à la location... Heureusement, c'est ce qui m'a permis d'écrire ce roman....
Le lecteur ne devra pas se surprendre du fait que j'agirai impersonnellement dans la suite de ce roman. Il deviendrait, en effet fastidieux, que j'aie à intervenir dans la suite des événements de façon trop personnelle.
Avec un visage comme celui de Bozo, que je vous montre ici, il n'est pas facile d'oser davantage. Mais le lecteur n'a pas à avoir peur. Bozo est le meilleur gars du monde et il est très compétent dans l'exercice de sa profession.
Ce visage est esclusif au personnage de Bozo. Il a droit à notre attention.
Gardez-le bien en vos coeurs. Il en fera pleurer plusieurs!