Le mot du
Président 11 mars 2006
Attention
à lire attentivement
!!
Quelle réunion !
Riche, variée, constructive.
En substance voici ce qu'il en ressort
LA GRANDE CONFERENCE
:
Celle-ci est annulée à
la date du 12 avril et
reportée au mardi 23
mai.
Conférencier :
Jean-Michel JAVAUX
Titre : "Etre jeune et entrer en
politique ?"
Voyez à ce propos le document
émis par Marc M. Il est très complet.
La participation est fixée
à 35 euros
Auditoire : il est
demandé à chacun de vous de 'garnir' la salle
bien sûr, mais j'agirai personnellement pour faire un peu
de 'retape' lors de la prochaine réunion qui est une
réunion de Zone le 28 mars au club de Gosselies (ferme
de la Pitance). Nous essaierons également les formules
d'échange avec les clubs Vauban et Gosselies. Par
exemple : notre réunion du 10 mai est annulée et
remplacée par une présence massive de nos membres
auprès du club Vauban (8 mai) pour sa conférence
'Mozart', à charge pour ce club de venir assister
à notre réunion, et nous essaierons le même
type d'échange avec le Club de Gosselies Airport lors de
sa conférence 'la climatologie' de Mr Berger le 25 avril
en reportant notre réunion là-bas.
Eléments plus concrets à suivre
Nous ferons également quelques
mails vers les autres club.
LE VOLET ELECTIONS :
Bel engagement de tous, le
débat fut là aussi constructif.
Notre bureau 2006/2007 sera composé de :
Président :
Gérald T.
1er Vice Président :
Jean-Louis L.
2e Vice Président :
Bernard L.
Secrétaire : Bernard
L.
Trésorier : Maurice
R.
Censeur : Jules B.
Maître de bouche et Protocole
: Jean D.
La composition des différentes
commissions est laissée à l'organisation de
Gérald.
Merci à Marie-Paule et
à Bernard pour leur
présentation.
Amitiés
Jean-Michel
Le monde appartient à
ceux dont les ouvriers se lèvent tôt
!
Vieux proverbe
Oeuvre
Nationale
Excellente
nouvelle.
Ce lundi, à 21h30 (!), j'ai
reçu un coup de téléphone
m'annonçant la bonne nouvelle: notre dossier
était accepté.
Cette information m'a
été transmise par Tony De Man du club de
Waasmunster Scaldia.
tél.: 03/7752003 Fax:
03/7752109.
Il nous est demandé d'organiser
la visite de l'uvre pour le samedi 25 mars à 13h00
pour 9 personnes.( sandwiches et boissons) et de bien vouloir
procurer un plan d'accès.
Malheureusement, je serai
personnellement absent à cette date.
Bravo à Marc et Guy pour cette
réussite
Paul
Bravo !!
Félicitations à tous les
intervenants pour cette bonne nouvelle et cette
réussite.
Seul problème, qui n'en est
peut-être pas un finalement, le 25 mars est la jour de la
fête du printemps au Maillon.
A voir avec Jean Mayeur et Monsieur
Sala ...! Pas de souci pour le plan d'accès par la
même voie...
Marc à toi de communiquer vers
Sala et Jean Mayeur.
Amitiés à
tous
Jean - Michel
Quand je hurle, toute la vallée frissonne, dit le
loup
Quand je rugis, toute la savane tremble, dit le lion
Quand j'éternue, toute la planète fait dans son
froc, dit le poulet !
Proverbe du jour envoyé par
M.R.
Réunion du 28
février 2006
Le président accueille
Georgette D. (PZ) et Carine B. (P Marcinelle Bruyères),
de même que le conférencier du jour, Pierre
DEBATTY.
Guy R. a la charge du
toast
mais comme il a oublié son papier (Ndr. Ce
qui veut dire qu'il pourra remettre ça
), il
improvise très bien en levant le verre à ceux qui
ont choisi le pinceau plutôt que la parole et nous font
partager ce bonheur-là.
Présentation de
l'orateur : elle est double.
Jules B. rappelle que les
soucis du Sextant sont de deux natures : le service et
l'humanisme qui permet de « faire le point ».
L'artiste de talent qu'est Pierre DEBATTY nous propose une
vision du monde dans une uvre qui appartient à cet
humanisme-là.
Paul P. évoque une
triple visite d'exposition qu'il a faite autrefois, d'abord en
compagnie d'Alphonse Darville, puis avec Marcel Debatty, pour
accomplir un troisième parcours seul qui faisait la
synthèse des deux commentaires en ouvrant de larges
perspectives porteuses d'espérance dans lesquelles se
situe, à présent, le conférencier, Pierre,
fils de nos amis Christiane et Marcel.
La
conférence
Pierre DEBATTY nous invite à
suivre sa réflexion sur trois axes : le rôle, la
fonction et l'évolution de l'artiste peintre, du
général au particulier.
1. La vision communément
répandue est de considérer l'artiste comme un
illuminé, un marginal (« maudit », «
écorché »
). C'est surtout un
être humain sensible plus que d'autres aux bons ou
mauvais côtés de la société. Il
réagit et exprime cette réaction avec ses
matériaux d'expression, en relation avec la culture du
temps : il a donc sa place dans la société. C'est
donc un « sensibilisateur » qui dénonce ou
valorise (comme le firent les expressionnistes). Selon les
époques, on le magnifie ou on le dénigre ; le
monde contemporain critique : le fait qu'on en parle beaucoup
est un signe en soi.
2. Le peintre est un artiste parmi
d'autres. A certaines époques il jouit d'une image
quelque peu mythique (son attitude « romantique »,
son « atelier »
) mais, en vérité,
c'est d'abord l'homme d'un métier, qui a fait un
choix de vie, et qui s'y engage. En
réalité, tout le monde est un peu artiste dans le
fond de soi. Certains peuvent se réaliser
complètement dans cette activité (pour le
conférencier c'est son propre cas, grâce à
la compréhension de ses parents), d'autres s'y livrent
en amateurs. L'art pictural remonte à la nuit des temps
au cours desquels il assume des fonctions diverses (au service
de la religion, ou encore en idéalisant l'homme de la
renaissance, ou en magnifiant une vision colorée des
choses selon la lumière, etc.) Mais c'est surtout un
métier parce qu'il implique des connaissances techniques
notamment en matière de « recettes » de
fabrications des couleurs &endash; parfois
secrètes
). Il y aura toujours des artistes,
affirme l'orateur, et, aujourd'hui la présence du
peintre, en particulier, est inconfortable parce que nous
vivons une société dans laquelle l'image est
prolifique. Cette multiplication des sources et moyens oblige
l'artiste à davantage de connaissances. Ainsi, les
fonctions du peintre sont-elles de montrer, poser des
questions, interpeller, faire rêver, permettre d
'échapper à la réalité, ouvrir
à une vie intérieure, éventuellement
à fuir
3. Y a-t-il une évolution
? Certains la nient en prétendant même que
l'art est en recul.
Si, affirme Pierre Debatty, il y a un
progrès, en tout cas une évolution liée
à la société. L'art donne le reflet d'une
époque ; elle est « difficile » ; il choque.
C'est une attitude normale par rapport au monde actuel, et en
adéquation avec ce qui se passe ailleurs. Le changement
va vers la sobriété, pour repenser l'univers par
les étapes successives de la contemplation, du trouble.
Il évoque alors la totale indifférence du monde
telle qu'elle se manifeste dans la Chute d'Icare de Breughel,
puis le paysagisme qui renaît aux XVIII et XIXe
siècles. Vient ensuite l'intervention de la photographie
qui va « libérer » la peinture par rapport au
réel (cadrage, utilisation de la lumière,
libération de l'imagination) à la
charnière du XXe siècle. Quant à la
peinture de l'époque actuelle, de nouvelles tendances
« libérées » se succèdent et
s'entrechoquent : l'abstraction, le pop art, l'art conceptuel,
le retour à l'expressionnisme, le neo-pop, etc. formes
auxquelles s'ajoutent les possibilités offertes par de
nouvelles techniques comme les images de
synthèse.
Un incident technique (projection)
interrompt l'exposé au moment où l'artiste va
présenter ses propres uvres. Il reprendra un peu
plus tard en regrettant le désordre intervenu dans son
montage.
Et, si l'on peut résumer ici
l'essentiel de son travail sans l'appui visuel, il faut
insister sur un acheminement qui le conduit, de toile en toile,
à exprimer une vision de la terre, selon les lieux et
les moments (par exemple l'exposition présentée
au Bois du Cazier, et celle en préparation à
l'Abbaye de Villers)
Pierre Debatty répondra
ensuite avec beaucoup de sincérité et de
générosité aux différentes
questions posées sur « la signification »
des toiles, de même que sur « l'émotion
» qui sous-tend la création et «
l'achèvement » de l'uvre.
Applaudissements nourris et
dédicace de l'ouvrage « Terres ».
Conclusion
Ndlr. Ainsi que nous
l'avons fait pour annoncer et préparer cet
exposé, voici, pour permettre à chacun de
poursuivre par sa propre réflexion, quelques extraits
des propos tenus jadis par Alphonse Darville., lesquels, bien
entendu, n'engagent que lui.
- Les théoriciens de l'art me
parurent toujours inutiles et sans doute dangereux. René
Huyghe me disait un jour : « Quand on voit un
médecin entrer dans une maison, c'est qu'il y a un
malade. Quand on voit apparaître les théoriciens
de l'art, c'est que celui-ci est au plus mal ! » C'est
bien le cas aujourd'hui et sa maladie est celle du
siècle.
Plus exactement, les chancres de l'art
sont les symptômes d'une pathologie sociale. Nous devons
les interpréter comme le clinicien observe les signes
sur la peau du malade. Les écologues, les sociologues et
plus encore les futurologues nous inquiètent fort. S'il
est question de santé physique, et maintenant il s'agit
de la survie de nos petits-enfants., nous sommes remplis
d'alarmes. Mais il semble que notre santé mentale et
morale nous préoccupe infiniment moins. Et pourtant
c'est, en fin de compte, le même problème. Pour la
sauvegarde et le partage des biens matériels nous sommes
tous d'accord. Mais pour la responsabilité, ce qui
implique une éthique, nous sommes rarement disponibles.
Or toutes les libérations si âprement voulues,
tous lestabous témérairement renversés,
toutes les remises en cause si légitimes ne peuvent
exclure l'engagement, et l'execice d'un art est un engagement
puisqu'il est aussi un grand partage.
(Suivent alors des
considérations sur « la morbidité et
l'insolence verbale » passées dans les arts
plastiques)
Notre société
matérialiste, qui ne fait confiance qu'au rationnel,
nous a amputé de ce que certains appellent une
âme. On nous a privé du droit de rêver,
alors nous délirons. Nous sommes
précipités dans l'agitation, sorte de mouvement
perpétuel s'engendrant lui-même, qui fait
naître l'angoisse d'un devenir sans espérance.
L'art peut-il nous sauver ? Je n'ose plus y croire.
Alphonse Darville évoque
alors l'art d'autrefois et, ensuite oppose la
sérénité des villes d'autrefois à
l'inhumanité des villes d'aujourd'hui) (Il cite ensuite
plusieurs extraits du livre de Jean GOULARD, La Mort des
Beaux-Arts. Ed. du Seuil) Et il termine en disant :
L' « uvre » est
achevée. Elle est ce dont on ne peut rien retrancher, ce
à quoi l'on ne peut rien ajouter : le devenir en est
exclu. Il arrive qu'une esquisse soit présentée
comme uvre, mais c'est que l'uvre s'est
trouvée « achevée » plut tôt que
ne le prévoyait l'artiste
J.B.
Echos de la
réunion du 8 mars 2006
Nldr. Grand merci à
Maurice R. pour avoir pris la peine de rédiger le
compte-rendu qui suit.
Le 8 mars étant la
journée de la femme, il revenait à l'une d'elles
de porter le toast, ce que fit Nelly avec
dextérité, puisqu'elle emprunta aux
dictées de Bernard Pivot , à qui le toast
était dédié à l'occasion de sa
retraite, nombre de mots étonnants, dont ce paulownia
qui fleurit dans les jardins du mayeur à
Mons.
Nelly remet ensuite le Melvin
Jones qu'Oak Brook attribue
aux clubs ayant soutenu de façon substantielle l'action
« tsunami », à
Paul G. pour sa participation
sans faille aux activités du Sextant. Toutes nos
félicitations et notre amitié à toi, Paul
.
Au cours du repas, Marie-Paule et
Bernard, deux jeunes du club ( si, si ! ), nous firent part de
ce qui constitue leurs préoccupations professionnelles
de tous les jours.
Marie-Paule nous expose d'abord
tous les métiers qu'elle doit assurer dans sa fonction
de chef d'un établissement scolaire, en l'occurrence
l'athénée de Marchienne, qui accompagne les
jeunes de la maternelle à la fin des humanités.
Il y a bien entendu la
préoccupation de développement des
élèves, qui la conduit à faire uvre
innovatrice dans les projets de l'école, dont ce projet
de lecture « Boule de neige », qui implique tout le
monde dans l'établissement et qui amène les
élèves de 2ème professionnelle par exemple
à lire 40 livres par an, mais qui démarre
dès la maternelle par des présentations de livres
aux plus petits.
Il y a l'aspect chef d'entreprise
: 1200 personnes dépendent directement de la gestion
de l'école, sans compter les parents
d'élèves, qui comptent beaucoup sur
l'école même s'ils n'en dépendent pas
directement !
Il y a l'aspect «
éducatrice », pas à destination des
élèves contrairement à ce qui semble
logique, mais bien à destination des parents, car dans
beaucoup de familles de ses élèves les enfants
ont pris le pouvoir dévolu normalement aux
parents
Il y a l'administration, que
Marie-Paule a mentionnée presque en dernier mais dont le
poids est manifestement terriblement élevé dans
son emploi du temps.
Et puis il y a tous les autres
métiers : assistante sociale (immigrés, quart
monde sont des réalités tangibles pour
Marie-Paule ), avocate ( pour plaider de nombreuses causes ! ),
maman ( il n'y en a souvent plus à la maison pour ses
élèves ), infirmière,
diététicienne, publiciste ( la concurrence entre
établissements est un fait dont il faut s'accommoder,
sous peine de voir disparaître certaines classes
),
écrivaine ( combien de notes en sens divers par jour ?
), conseillère ( de tout le monde ), comédienne (
il faut toujours sourire, quelles que soient les insomnies de
la nuit ) etc.
Finalement, Marie-Paule veut jouer
le rôle de berger ( j'ai renoncé à
utiliser ici le féminin du nom, je ne sais
pourquoi
) avec pour objectif d'amener son école
vers la paix, objectif simple mais si difficile .
Bernard prend la suite et
parcourt avec nous le chemin qui l'a mené de la
Faculté Polytechnique de Mons au Fonds du logement des
familles nombreuses de Wallonie, une société
privée agissant dans le cadre d'un contrat de gestion
avec la Région Wallonne.
Son diplôme d'ingénieur
architecte en poche, il se lance comme architecte
indépendant au milieu des années 80, une
période caractérisée par la crise dans la
construction ! Après 15 ans d'une vie
particulièrement stressante, Bernard entre début
2000 au FLW dont question ci-dessus, pour s'occuper de l'aide
locative et il prend en charge la gestion du patrimoine
immobilier de la société ( 250 logements à
l'époque, répartis dans les entités de
Charleroi, Binche, La Louvière, Châtelet et
Morlanwez).
Créée il y a 20 ans pour
répondre à un besoin de logements pour les
familles nombreuses en état de précarité,
l'aide locative a pour objectif de faire passer dans la
réalité l'article principal du Code wallon du
logement, qui veut que chacun ait droit à un logement
décent et salubre.
Dans ce cadre, Bernard a passé
le plus clair de son temps depuis 18 mois à rechercher
des appartements susceptibles d'être achetés puis
réhabilités de façon la plus
économique possible.
Enfin, last but not least, Bernard
fait partie d'une troupe de théâtre amateur, qui
le conduira fin de l'année sur les planches à
l'occasion de deux pièces dont les
répétitions ont démarré.
M.R.
Quelques aphorismes - ou
citations en passe de le devenir - glanés par nos amis
de Royal-Lieu, dignes de(s) maxime(s) de La Rochefoucauld
La supériorité de la
télévision sur la radio : vous n'entendez pas
seulement les parasites mais vous les voyez.
A. Nonyme
L'homme ordinaire ne se
préoccupe que de passer le temps, l'homme de talent que
de l'employer.
Schopenhauer
S'il fallait tolérer aux autres
tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne
serait plus tenable.
Courteline
Hâtons-nous de succomber
à la tentation avant qu'elle ne s'éloigne.
Epicure
Appuyez-vous sur les principes, ils
finiront bien par céder !
Oscar Wilde
Il vaut mieux être bête
comme tout le monde que d'avoir de l'esprit comme personne.
Anatole France
- - - - - - - - - - - - - -
Un journal financier, lu par tous les
chefs d'entreprise français refuse absolument les
annonces matrimoniales.
C'est pourquoi une jeune fille a choisi la rubrique «
objets perdus » pour y publier le texte suivant
:
"Perdu, Saint-Philippe-du-Roule,
briquet métal doré. Par demoiselle, 22 ans,
blonde, 1,69 m., séduisante, distinguée, bonne
cuisinière, tour de taille 58, tour de poitrine 95.
Récompense. Téléphoner à n'importe
quelle heure à ce
numéro
"
- - - - - - - - - - - - - -
Lois de
Murphy
Loi de la
confiance
" La confiance dure tant qu'on ne
comprend pas la situation. "
Bénédiction
" Béni soit celui qui n'attend
rien de la vie, car il ne sera pas déçu. "
Béatification
SEXTANT
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GRANDE
CONFERENCE
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Responsable
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Conférencier
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Jean-Michel JAVAUX
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Titre
proposé
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" Etre jeune et entrer en
politique?"
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M.Mossay
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Date
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reportée du ma 12
avril au ma 23 mai, suite au retard pris dans
l'organisation
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recontacter JM
Javaux
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M.Mossay
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Réservation
salle
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Accord du Business
Hôtel
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J.Delahaut
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Repas
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Menu et timing
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J.Delahaut
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Vins
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JM Jaeger
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Invitations,
supports
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A réaliser ( se
concerter avec M.Mossay, après contact avec JM
Javaux )
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F.Foucart
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Présentation
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du
conférencier
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M.Mossay
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Cadeaux
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Fanion + ( à
déterminer : chope? )
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M.Mossay
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Message aux autres
clubs
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Echanges croisés :
Participation à la conférence du 10 mai
( Choi Vauban)
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Jacqueline Cochet.
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Message aux autres
clubs
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Idem : participation à
la conférence de Gosselies Airport du 25
avril
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JM Jaeger
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Info à la
Zone
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Réunion de Zone du 28
mars
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JM Jaeger
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Info à la
presse
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J.Delahaut
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Info par mail
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sur base de l'invitation
numérisée
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TOUS
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Prix du repas
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35 euros¨ par personne (
àpayer le jour même )
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M.Roch
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Engagement des
membres
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Invités personnels des
membres pour atteindre un nombre de participants
important
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TOUS
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Sono
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M.Mossay
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Le carré blanc de
la
Tribune libre
du Sextant
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Faut-il encore le
rappeler ?
La rédaction tient
à rappeler avec insistance que les propos tenus dans une
Tribune libre n'engagent que leur auteur ; il importe donc
qu'ils soient signés. Il ne faut les confondre en rien
avec un éditorial mais il importe également que
cette démarche soit respectée comme la
concrétisation de la liberté de pensée sur
laquelle se fonde un véritable « esprit Lions
», de même que la pertinence d'un « droit de
réponse ».
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