dernière mise à jour: 3 juillet 2008 LOGO Ouvrez les Yeux n°6 automne 2005
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OUVREZ LES YEUX!
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Editorial: Un magazine pour chaque saison


Dans notre précédente édition (uniquement version papier), nous vous annoncions fièrement que notre équipe rédactionnelle croissait et se multipliait. Au point de s'adjoindre la collaboration pour le moins prolifique du chœur (ou des cœurs) de Sainte-Marguerite. Vrai que géographiquement proche, ce quartier ô combien historique de notre bonne Ville de Liège (sur la rive gauche s'entend) y fit une entrée fracassante en s'octroyant pas moins de trois -voire quatre- pages (compte tenu des annonces disséminés dans les coins). Bravo! Vint la période des vacances. Qui plus est, notre centre (Botanique) a fermé ses portes durant tout le mois d'août. ce qui ne signifie pas que tout un chacun ne gambergeait pas dans son coin. Il fallut attendre le «pique-nique» géant de Fayembois, puis la réunion à Cointe au centre sportif pour que tout le monde se retrouve.
Oui, diront les «mauvaises langues», mais il s'agit bien d'un trimestriel, non?

 

Exact! Mais de tels remaniements demandent, on s'en doute, une organisation nouvelle, avec des nouveaux appareils, de nouvelles stratégies. Et il a été décidé de commun accord que le présent numéro ne paraîtrait qu'en octobre...
Ce qui ne signifie pas que chacun s'est endormi sous les cèdres du Botanique (c'est vrai qu'il y en a) les autres à l'ombre de Saint-Martin. Pourtant une sorte de «farniente» nous fut imposée.
Un mois de juillet morne et pluvieux -on s'en souviendra longtemps- qui ne fut marqué que par un 14 juillet retentissant. Tout le monde l'a vu ou entendu, ce feu d'artifice tiré depuis le Palais des Congrès. Mais BOAF, comme dirait Gaston, cela se passait de l'autre côté (sur la rive droite de la Meuse).
Traverser deux ponts (ceux de la Meuse et de la Dérivation) pour aller festoyer à la «française»? Pour quoi faire? On attendait bien le 21 juillet: Là ce serait la VRAIE fête nationale parce qu'on est BELCHES, hein, Monsieur!

SUITE



Ben, non. Bernique. Il n'y eut rien de rien . Tout se passa à Bruxelles.
Eux y sont allés fort pour le 175ème anniversaire de notre État.
Il ne disposent pas de fleuves, on le sait. Alors ils n'ont rien trouvé de mieux que de balader une péniche (?!) à travers les artères principales du «centre de l'Europe»!
On fait ce qu'on peut avec ce que l'on a! Ils l'ont probablement extraite de leur fameux canal qui paraît-il, rassemble d'étranges visiteurs, à savoir des piranhas venus d'Amazonie (allez savoir comment et pourquoi?) et élégamment baptisé «Madame, Mad'moiselle» référence à la plus jeune «fédéralisation».
C'était d'un bon goût pervers.
Un discours royal morne -quoique optimiste- mais qui a touché à tout sauf... aux sans logis!
Image de marque oblige!
Chez nous, comme en Suisse, il n'y a pas de pauvres.
Chance tout de même qu'au mois d'août, le «resto du Cœur» avait rouvert ses portes, lui.

 

Encore des ponts à traverser, de même que pour un 15 août davantage arrosé de pluie que de pecket. Pensez! 2 € pour un fond de gobelet!
Chacun y alla bien de sa petite larme en songeant aux Marie disparues. Moi, je voyais mal Marie-France au milieu de ces marionnettes grimaçantes... (N'y prétez pas attention, ce n'est qu'un message perso...NDLR). Il y eut bien des Guillemins à Coronmeuse, la fameuse «city-parade» qui vit déferler (et saloper) pas moins de 300.000 individus, qui au bout du parcours durent débourser 15 Euro pour assister à un spectacle! Cela a coûté 85 millions de nos anciens francs aux organisateurs pour remettre en ordre les artères empruntées. Mais paraît-il: ON A BIEN RI!

S'il faut en croire les édiles communaux: ce fut une réussite!
Pendant ce temps-là, des «raz de Marée» menaçaient la Nouvelle Orléans...
Là on allait apprendre ce que signifiait «sans-abris».

Goupil





SOMMAIRE du n°6

Autre version :
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