Dans notre précédente édition (uniquement version papier), nous vous annoncions fièrement que notre équipe rédactionnelle croissait et se multipliait. Au point de s'adjoindre la collaboration pour le moins prolifique du chœur (ou des cœurs) de Sainte-Marguerite. Vrai que géographiquement proche, ce quartier ô combien historique de notre bonne Ville de Liège (sur la rive gauche s'entend) y fit une entrée fracassante en s'octroyant pas moins de trois -voire quatre- pages (compte tenu des annonces disséminés dans les coins). Bravo! Vint la période des vacances. Qui plus est, notre centre (Botanique) a fermé ses portes durant tout le mois d'août. ce qui ne signifie pas que tout un chacun ne gambergeait pas dans son coin. Il fallut attendre le «pique-nique» géant de Fayembois, puis la réunion à Cointe au centre sportif pour que tout le monde se retrouve. Oui, diront les «mauvaises langues», mais il s'agit bien d'un trimestriel, non?
| | Exact! Mais de tels remaniements demandent, on s'en doute, une organisation nouvelle, avec des nouveaux appareils, de nouvelles stratégies. Et il a été décidé de commun accord que le présent numéro ne paraîtrait qu'en octobre... Ce qui ne signifie pas que chacun s'est endormi sous les cèdres du Botanique (c'est vrai qu'il y en a)
les autres à l'ombre de Saint-Martin. Pourtant une sorte de «farniente» nous fut imposée. Un mois de juillet morne et pluvieux -on s'en souviendra longtemps- qui ne fut marqué que par un 14 juillet retentissant. Tout le monde l'a vu ou entendu, ce feu d'artifice tiré depuis le Palais des Congrès. Mais BOAF, comme dirait Gaston, cela se passait de l'autre côté (sur la rive droite de la Meuse). Traverser deux ponts (ceux de la Meuse et de la Dérivation) pour aller festoyer à la «française»? Pour quoi faire? On attendait bien le 21 juillet: Là ce serait la VRAIE fête nationale parce qu'on est BELCHES, hein, Monsieur!
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