![]() |
|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||||||
![]() |
![]() |
![]() |
La visualisation des espaces d'informations Les espaces
d'informations sont aujourd'hui partout : des résultats d'un moteur
de recherche sur Internet aux fonds documentaires d'une bibliothèque
en passant par les bases de données des entreprises. Des collections
entières de documents et de données, dont le volume ne fait
que croître. Rien que sur Internet, le nombre de pages aujourd'hui
disponibles s'élève à plus de deux milliards
Le domaine
de la visualisation des espaces d'informations est relativement vaste,
et il nous est impossible ici d'en refléter toutes les facettes.
Nous aurions ainsi voulu aborder la question de l'importance des arts
graphiques dans les processus de mise en forme des informations, tel que
cela a pu être décrit par des auteurs comme Edward R. Tufte.
Nous aurions également voulu passer plus de temps à traiter
des conséquences de la visualisation sur la compréhension
globale des informations, ou encore évoquer les projets de recherche
expérimentaux qui fleurissent aux quatre coins du globe. Ce travail
se pose donc d'emblée comme un guide pratique, susceptible d'éclairer
quelque peu la lanterne de l'utilisateur. Que ce dernier soit internaute,
habitué des recherches documentaires ou simple curieux, nous espérons
qu'il trouvera ici quelques recettes simples qui lui permettront de mieux
appréhender la visualisation des espaces d'informations. |