Le coeur plein de songes sceptiques, Je cherche ardemment le repos. Et parmis tout ces longs propos, Mes pensées restent erratiques. Tel un zoïle ridicule, Mon jugement est bien puérile. Telle la venue d'un péril, Tombe ce triste crépuscule. L'aurore ourle le paysage D'un naïf et tendre visage Rejettant la sombre nuit. Je sens cette fraîcheur future Envahir cet esprit obscur Qui semble arriver fortuit. ![]() ![]() ![]() ![]() La bibliothèque de Princess Fée |