Sous la frêle armure
De feu et de sang,
Le funèbre azur
De ces sentiments
Enterre l'esprit,
Dans l'immense gouffre
D'un monde qui souffre,
D'une âme meurtrie.
Viscéralement
Inscrit dans ses gênes,
L'irascible enfant
Est rempli de haine.
Peuple de la terre
Restez sur vos gardes
Car Cerbère garde
Le coeur à en querre.
Telles les caresses,
Des serpents du mal,
Sa douce tendresse
Vous sera fatale.
L'ombre de la nuit
Marche sur vos pas,
Règne par l'effroi
Sur toutes vos vies.
Du fond de l'abîme,
La bête enragée
Choisit ses victimes
Un peu dispersées.
Et vos mouvements
Volant en éclat,
Sont horriblement
Témoin de cela.
La clarté vibrante
De cet épistémologie
Est intolérante,
Un nouveau méfait.
L'homme singulier
Avide d'actions
N'est qu'un petit pion
À éliminer.
Mais cette pentacle
Brille bien plus fort
Et dans cette oracle
Apparaît la mort.
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