Website
.
Coming soonFrancais English - Coming soon Español - Coming soon Deutsch - Italiano -  Português
[ profil | filmographie | projets à venir | autres travaux | gallerie photo ]
[ dernières nouvelles | archives | faits divers | citations | adresse ]
[ salon de discussion | messagerie | signer le livre d'or ]
Page 3 de 3
Cliquer sur l‘icône «Previous» pour accéder à la page 2
.
Si vous avez des informations, interviews ou photos à contribuer à cette section, veuillez contacter:
edward_nortonjr@hotmail.com.
 
DERNIERES NOUVELLES
3 mars 2001 The Score
La société de distribution italienne Medusa a obtenu les droits du film The Score pour l’Italie, cédés par Mandalay Pictures, filière du groupe Paramount. Le film, intérprété par Edward Norton, Robert DeNiro et Marlon Brando, est tourné au Canada, à Montréal.Le scénario, que l’on doit à Dan Taylor et Kario Salem, raconte l’histoire d’un malfaiteur (DeNiro) auquel un jeune délinquant (Norton)  fait appel pour un dernier casse. Brando jouera le rôle du mentor du personnage de DeNiro. Le film est réalisé par Frank Oz qui, pour mémoire, a déjà à son actif Bowfinger, roi d’Hollywood et In & Out. The Score sortira sur les écrans américains le 13 juillet 2001.
25 février 2001 Ed Norton Just Wants It Perfect
Edward Norton est en couverture du numéro de mars de la revue américaine GQ. Les photos et articles sont en exclusivité sur Edward Norton Online Website. Pour accéder à la page, cliquer ici.
5 février2001 Outstanding Achievement Award
. ILe T. Schreiber Studio a rendu hommage à Mary-Louise Parker et Gerald Schoenfeld en leur remettant le Outstanding Achievement Award au Supper Club de New York. De nombreux artistes du théâtre et du cinéma ont pris part au gala. Edward Norton a présenté la cérémonie. Pour plus amples informations, visiter le site Honorary Gala Committee.
28 janvier 2001 Smoochy à New York
Times Square, New York, January 28, 2001
Death to Smoochy s’est déplacé sur Times Square à New York. Pour vois les photo exclusives d’Edward Norton sur le plateau, cliquer ici
17 janvier2001 C’est l’heure de Smoochy
Dans le New Jersey, le tournage de Death to Smoochy a débuté. La nouvelle comédie de Danny deVito sera jouée par Edward Norton et Robin Williams. Edward Norton y interprète Smoochy, un rhinocéros violet mascotte d’une émission pour enfants . Le casting comptera également Hank Azaria et Catherine Keener. Pour voir les photo d’Edward Norton dans le costume de Smoochy, cliquer ici.
11 janvier 2001 Edward Norton et Nicolas Cage
. Edward Norton, Salma Hayek, Penelope Cruz, Lucy Liu, Francis Ford Coppola, Sofia Coppola et David Spade ont fêtés le trentième anniversaire de Nicolas Cage au Sky Bar de L.A.
3 janvier 2001 Lakers-Utah Jazz
Lakers with Edward Norton
Edward Norton et Salma Hayek étaient présents lors de la rencontre Lakers/Utah Jazz au Staples Center de Los Angeles. Pour voir les photo de l’évènements, cliquer ici.
21 décembre 2000 Golden Satellite Award
. Edward Norton et Jenna Elfman ont été nominés réspectivement comme meilleur acteur et meilleur actrice dans la catégorie Comédie aux Golden Sattelites pour leur film Au nom d’Anna.
14 décembre 2000 Common Ground Award
. Edward Norton et sa grand-mère ont reçu le Common Ground Award de la Search for Common Ground, le plus important organisme non gourvenemtal destiné à résoudre les conflits mondiaux. Pour lire l’article (en anglais uniquement), visiter la News Page.
12 décembre 2000 "Malena"
Edward Norton with Mark Gill, Fabrizi Lombardo and Harvey Weinstein Edwrad Norton a assisté à la première de Malena, interprété par Monica Bellucci et mis en  scène par Giusseppe Tornatore. Pour voir l’agrandissement de la photo ci-contre, cliquer ici.
11 décembre2000 "Chocolat"
Edward Norton a assisté à la  première de Chocolat, film interprété par Julliette Binoche et Johnny Depp. Pour voir les photos de l’évènement, cliquer ici.
25 novembre  2000 Veracruz
. Edward Norton a rendu visite à Salma Hayek sur le plateau de In the time of  the butterflies à Veracruz, Mexique.
2 novembre 2000 Au nom d’Anna a été recompensé au Tokyo International Film Festival.
Click here to view the full size
Au nom d’Anna, réalisé, produit et interprété par Edward Norton a remporté le prix du meilleur scénario à l’occasion du 30em festival du cinéma de Tokyo. Pour voir les photos de l’évènements, cliquer ici

INTERVIEWS
Edward Norton, le rabbin et le pretrê
Derrière un physique plutôt banal, Edward Norton a déjà révélé un comédien qui joue avec brio sur des répertoires les plus divers. Aujourd'hui, avec sa première réalisation, "Au nom d'Anna", présenté en avant-première à Deauville avant la sortie le 11 octobre, il ajoute une corde à son arc. Une comédie légère sur fond d'amitié et de religion. Edward Norton a un physique lisse, sans aspérité, celui de M. Tout-le-Monde qui lui permet d'endosser les rôles les plus extrêmes: psychopathe machiavélique (Primal Fear de Gregory Hoblit), avocat idéaliste (Larry Flynt de Milos Forman), amoureux niais (Tout le monde dit I love you de Woody Allen), skinhead terrifiant (American History X de Tony Kaye), cancéreux disjoncté (Fight Club de David Fincher).Edward Norton
Derrière son apparence ordinaire - cheveux blonds ternes, œil cerné, épaules tombantes - se cache une personnalité rare. Edward Norton, 31 ans, est un jeune homme studieux, secret et talentueux. Deux nominations aux oscars, une licence d'histoire et la maîtrise de la langue japonaise. Cérébral donc mais instinctif aussi. Il a sans hésiter réalisé son premier film, Au nom d'Anna, présenté en avant-première avant sa sortie le 11 octobre. «C'est Milos Forman qui, à l'époque de Larry Flynt, m'avait conseillé de passer sans tarder à la réalisation. A l'origine, je devais seulement produire Au nom d'Anna. Mais Milos m'a dit de foncer, de passer derrière la caméra sans me poser de question.» Norton est là où on ne l'attendait pas. Au nom d'Anna est une comédie légère et délurée sur fond d'amitié et de religion. Deux amis, un rabbin (Ben Stiller) et un prêtre (Edward Norton) ont décidé de donner un coup de jeune à leur lieu de culte respectif, dans la joie et dans la foi. Le premier est la star montante de sa synagogue, le second a tout du yuppie branché. Tout irait pour le mieux dans le royaume de Dieu si leur amie d'enfance (Jenna Elfman) ne réapparaissait dans leur existence. Cette «pom-pom girl» des temps modernes, très craquante, va semer le doute et la tentation... Lorsqu'on demande à Edward Norton s'il a réalisé Au nom d'Anna parce qu'il a la foi, il vous regarde de manière suspecte comme si vous l'interrogiez sur son petit déjeuner ou, pire, sur sa petite amie du moment. «C'est très indiscret et personnel... Je suis protestant», glisse-t-il en rougissant. Aucun doute en tout cas sur son perfectionnisme. «Nous avions deux conseillers religieux, un rabbin et un père. J'ai assisté aux offices du prêtre. Mon sermon est identique au sien. J'ai également utilisé son principe du Quizz qui teste les connaissances de ses paroissiens! Authentique aussi le rabbin qui inscrit tous ses rendez-vous sur son palm-pilot: funérailles, barmitzva...» Côté style, Edward Norton dit avoir été influencé par «les comédies des années 30-40 signées Cukor. Elles étaient à la fois drôles, sophistiquées et intelligentes». Quant à sa vocation d'acteur, il confie avoir eu la révélation «à 6 ans. Ma mère m'avait emmené voir une comédie musicale. Dès le lendemain, je décidais de prendre des cours de théâtre». Malgré ses dons, il a raté deux fois les auditions d'entrée à l'Actors Studio. Plutôt ironique puisqu'il s'inspire beaucoup de la Méthode et qu'on le compare à DeNiro, Norton a pris 15 kilos de muscles pour incarner le néonazi d'American History X. «Je crois que l'Actors Studio n'est plus ce qu'il était. Je ne regrette rien.» Peu importe, en effet. Aujourd'hui c'est en quelque sorte l'Actors Studio qui vient à lui: il tourne au côté des mythiques Marlon Brando et Robert DeNiro dans le thriller The Score de Frank Oz. Intimidé d'être pris en sandwich entre deux légendes? «Non. Je connais Marlon depuis des années. J'aime sa grande sensibilité. Il est très poétique et pas du tout macho comme on pourrait l'imaginer. Quant à DeNiro, il est tout simplement excellent!»
Deauville: Emmanuèle Frois
Publié dans le Figaro Quotidien du dimanche 10 septembre, page 37
.
Réalisateur de Nom D'Anna
«J'AI TOUJOURS BEACOUP AIME LE CINEMA FRANCAIS !»
Avec AU NOM D'ANNA, Edward Norton, l'un des jeunes acteurs les plus brillants de sa génération, signe sa première réalisation. Cette histoire d'amour et d'amitié, avec la religion pour toile de fond, possède une originalité et une fraîcheur qui font trop souvent défaut aux comédies romantiques. Une bonne surprise.
La présence de Ben Stiller, lui aussi acteur réalisateur, vous a t-elle rassuré ?
Edward Norton : Oui, c'était bien d'avoir Ben qui lui aussi a réalisé. D'autant plus que lorsqu'on est soi même dans le film on n'a parfois pas assez de recul pour voir ce qu'on fait réellement. Ben est quelqu'un qui connaît les problèmes, les difficultés que ça peut représenter, avec évidemment un regard de sympathie et de compréhension. De ce côté là, c'était vraiment bien.
En tant qu'acteur, comment choisissez-vous vos rôles ?
Edward Norton : D'abord, je n'ai pas décidé consciemment que c'était les rôles qui m'intéressaient. C'est vrai que plus le personnage comporte de facettes, plus il est intéressant, comme dans FIGHT CLUB avec cette sorte de dichotomie entre les deux aspects dans mon personnage et moins dans les autres. Dans AMERICAN HISTORY X, c'est plus une évolution du personnage que deux aspects contradictoires. La complexité et la richesse d'un personnage font qu'un comédien choisit un rôle plutôt qu'un autre.
Le film se rapproche des comédies à l'ancienne comme PHILADELPHIA STORY, NEW YORK MIAMI, ou de films plus récents comme QUAND HARRY RENCONTRE SALLY. Est-ce que ces films ont eu des influences sur vous ?
Edward Norton : Quand on va voir des films il est évident qu'on est influencé. C'est aussi valable pour toutes les autres formes d'art. Les peintres, les sculpteurs ont vu des œuvres d'art et les ont intériorisées. Personne ne peut nier les influences que l'on peut avoir dans son propre travail. Ce n'est pas une chose négative parce qu'on profite de ce qui a été fait, ça fait partie de notre inconscient. En revanche, au moment où on commence à travailler, on oublie, même si on y a pensé pendant la préparation. Personne, même les plus grands, que ce soit Scorsese, Milos Forman, David Fincher, aucun d'eux ne vous dira qu'il n'a pas été inspiré par le travail de ceux qui les ont précédés. Moi j'ai bien sûr pensé à PHILADELPHIA STORY, mais aussi à JULES ET JIM. Non pas que ce soit le même genre de film, mais parce qu'il y a ce triangle, cette relation avec ces trois personnages qui était très intéressante. C'était aussi le cas dans BROADCAST NEWS où l'évolution de la relation était très importante et intéressante.
Au delà de l'histoire d'amour et des consciences de ces deux hommes d'église, Avez-vous eu l'intention de montrer la possibilité de rendre la religion plus " attrayante " ?
Edward Norton : Evidemment, je n'ai pas fait le film pour ça, ce n'était pas du prosélytisme du tout. Mais quand on fait un film, une œuvre d'art, on espère arriver à communiquer avec les gens aider à ce que la communication avance donc si c'est quelque chose que l'on éprouve ou que l'on voit dans le film, c'est parfait, ça va dans le bons sens même si ce n'était pas le but de départ
L'approche du milieu juif est assez étonnante et précise. Quel est votre rapport personnel avec la religion ?
Edward Norton : Ce ne sont pas des membres de ma famille. On m'a fait un beau compliment à la sortie du film, le président du studio qui a produit le film et qui est juif m'a dit qu'il ne pouvait pas imaginer que le film avait été réalisé par un non-juif, c'était un très beau compliment. En fait, je me considère un peu comme un juif honoraire, si on est allé à au moins dix bar-mitsvas on a le droit, je crois d'avoir ce certificat de juif honoraire. Sinon, j'ai grandi avec une communauté d'enfants où il y avait beaucoup de juifs et de non-juifs donc c'est vrai que c'est une culture qui m'est très très familière. Je connais d'ailleurs mieux le service religieux juif que la messe catholique.
Dans quelle mesure vous êtes vous investi dans l'écriture du scénario ?
Edward Norton : Il y a trois ans que Stuart…. Un ami d'université a écrit le scénario déjà à l'époque nous avions écrit beaucoup de choses ensemble. C'est mon meilleur ami et notre travail d'écriture s'est poursuivi au fil des années. L'histoire est un peu celle qui est arrivé autour de Stuart dans sa famille. IL y avait effectivemnt une histoire avec une jeune fille non juive. Tout ça était un peu son inspiration et quand il m'a montré le scénario, nous avons travaillé ensemble pendant un an dessus. C'est vrai qu'au moment où l'on commence à tourner, il faut vraiment s'approprier le scénario. C'st une chose normale et naturelle, c'est toujours le cas. A un moment donné, il faut s'approprier le scénario mais ça a été un vrai travail en commun.
Pacino, De Niro. Comment vous situez-vous par rapport à la méthode de l'Actors studio ?
Edward Norton : J'ai auditionné deux fois pour l'actors studio et les deux fois, ils m'ont refusé mais ca ne m'embête pas trop car Dustin Hoffman m'a dit qu'il avait été refusé 7 fois et après avoir fait LE LAUREAT, ils lui ont dit qu'ils seraient très contents de l'avoir et à ce moment là Dustin leur a répondu " Allez-vous faire foutre, je n'ai pas besoin de vous ! "C'est vrai qu'on a tendance à utiliser la méthode de l'actors à toutes les sauces Il ne faut pas oublier qu'il y a eu des profs comme Lee Strasberg, Stella Adler.. mais ces gens-là, on disait tous qu'ils enseignaient la méthode mais ils avaient tous des méthodes complètement différentes de jeu. De nos jours, la méthode c'est de se donner à fond dans son travail et le prendre au sérieux et s'y commettre complètement. Il n'y a pas une technique ou une seule méthode qui soit bonne. Les professeurs qui m'ont véritablement apporté quelque chose sont ceux qui m'ont donné la possibilité de travailler de plusieurs manières différentes, qui avaient une approche pluraliste du travail.
Pouvez-vous nous parler un peu de votre travail avec Marlon Brando et Robert de Niro sur THE SCORE de Franck Oz ?
Edward Norton : Nous sommes en train de tourner et c'est magnifique. Comment est ce que ca pourrait ne pas l'être. J'ai une immense admiration pour Marlon Brando et Robert de Niro, ce n'est pas un film très profond mais on accepte de faire un travail pareil sans hésitation quand on travaille avec de tels comédiens. C'est aussi pour ça que l'on fait ce métier, c'est formidable ! Il s'agit de l'histoire d'un vol dont Marlon Brando est le cerveau, l'instigateur.
Quel est votre rapport avec la culture française ?
Edward Norton : J'ai appris mon mauvais français à l'école publique américaine car c'était une langue obligatoire à l'époque. J'ai toujours beaucoup aimé le cinéma français. Quand on étudie le cinéma, on étudie forcément la nouvelle vague française et donc c'est ce que j'ai fait et je la connais très bien. J'ai aussi vu tous les films de Truffaut de Godard. J'aime particulièrement JULES ET JIM mais aussi LE DOULOS, de Jean- Pierre Melville, je me souviens particulièrement bien de certaines scènes totalement extraordinaires car je trouve que Jean Paul Belmondo est un peu le de Niro français. Il est tout à fait cool…
CPlanet

FAITS DIVERS
.A Yale, il a commencé par étudier l'astronomie, mais il s'est vite rendu compte que la physique était " un obstacle un peu trop dur à franchir." Alors il a choisit l'histoire.
.Il parle couremmentt japonais. 
.Norton est devenu conseiller universitaire à la Enterprise Foundation.
.Il a partagé un appartement à New York avec son amie Drexw Barrymore. 
.Ila a joué de la guitare avec le groupe Hole le temps de deux gigs en décembre 1997. 
.Avant Peur Primal, M Norton a auditionné pour Hackers et Personnel et Confidentiel mais on ne lui a offert aucun rôle. 
.Il a pris 13 kg de muscle pour son rôle de violent supremacist blanc danc American History X. Et il en a perdu 6 pour incarner le narrateur insomniac et anésthesié de Fight Club. 
.Norton a co-écrit un scénario avec un ami d'université, une "parodie de films du genre Naked Gun. Ca ne s'est jamais fait et ça ne se fera  jamais à moins que j'ai quoique ce soit à voir avec.
.Edward Norton a decliné l'opportunité de jouer dans La ligne rouge de Terrence Malick. On lui a proposé d'incarné le personnage principal, mais il a decidé de refuser le projet suite au décès de sa mère deux mois plus tôt. 
.Edward Norton a presenté une projection des Joueurs au Senator Theatre dont les bénéfices sont revenu au Howard Hospital Foundation ainsi qu'à la Norton-Rouse Family Fund. La foundation a été créée par sa famille pour soutenir le travail du corps o=hospitalier des hopitaux John Hopkins où le smembres de sa famille on été hospitalisés."On a fait ça chaque fois que je faisait un film" dit Norton faisant réferences aux projections de Peur Primal et Tout le monde dit : I love you dont les fonds ont réspectivement été reversé à la Enterprise Foundation et au centre d'oncologie chirugicale John Hopkins. 
.En juillet 1998, après que le New Yorker se soit moquer de Courtney Love au travers d'une critique d'un documentaire sur a chanteuse-actrice, Norton a envoyer au magazine une lettre inoubliable. La missive de Norton était en réponse au "Endless Love" de Daphne Merkin, traitant du documentaire controvérsé de Nick Broomfield Kurt & Courtney. Le film, centré sur l'hypothèse selon laquelle l'ex-mari de Love ne s'est pas suicidé mais aurait été victime de meurtre, nous propose une litanie d'opposants de Love soucieux de cracher leur venin. La couverture faite sur le film de Broomfield, ainsi que le grande contribution de Merkin, n'a pas enjoué Norton. "Si Nick 
Broomfield n'a jamais trouvé trouvé quiconque ayant de l'affection pour Courtney Love, ainsi que l'a suggeré Daphne Merkin, c'est simplement parce qu'il a scrupuleusement évité les inombrables amis, collègues et fans qui apprécient son talent et l'apprecie en tant que personne." écrit Norton. "De toute façon, pourquoi Broomfield aurati-il ouvert son film à ceux d'entre nous qui travaillons avec Courtney et sont proches d'elle, alors qu'il il y tant de laissés pour contre emplies d'amertume et d'autre qui cherechent désesperement à attirer l'attention, désireux de comfirmer son attaque contre elle?". Norton compare le documentaire de Broomfield à une chasse aux 
sorcières : "a toutes époques, les inquisiteurs, effrayé par les femmes puissantes, se sont toujours appuyés sur toutes sortes de témoignages qui ne tiennent pas debouts pour pouvoir entonner "brûlon la sorcière!"" L'acteur a accusé Merkin de "simplement capitaliser la lascivité des ordures de tabloïdes de Broomfield en les répétant. Sa seule  contribution personelle était de conclure que Courtney est plus une îcone de souffrance et d'auto-déstruction qu'elle n'est un être human complexe et équilibré, qui évolu, -conclusion qui est sexiste, intelectuellement superficielle, et dépourvu d'ésprit. Mais en fin de compte, les accomplisements de Courtney 
importeront plus qu'aucunes de ses critiques.

CITATIONS
.«La comédie ? C'est une compulsion persistante que j'ai depuis que j'ai 5-6 ans. Je peux clairement identifier le moment où ça m'a frappé. J'était allé voir une pièce [Si j'étais une princesse] dans laquelle ma baby-sitter [Betsy True, qui plus tard jourat sur Broadway] jouait. J'ai été abasourdi pas l'ambiance magique de cette pièce de quartier. Ca m'a fasciné.» 
.«Je ne fume pas et je n'ai aucune envi de commencer. Je ne suis pas fan du fait de fumer gratuitement ans les films.» 
.«La vie, comme le poker, comporte un certain risque. On ne devrait pas se le 
cacher. On devrait se l'avouer.» 
.«Si j'arrête de prendre le métro, j'ai une crise cardiaque.» 
.«La célébrité est corrisive et il faut fermement veillé contre elle.» 
.«Je n'ai jamais vraiment connu d'enpietement de la célébrité dans ma vie privée.» 
.«Je suis un acteur et chaque fois qu'un film sort, il faut que je persuade le publique que je suis ce personnage. Chaque petite chose que les gens savent sur vous en tant que personne entrave votre capacité à atteindre cette parfaite suppression de scepticisme qu'a le publique en suivant un acteur et le personnage qu'il incarne.» 
.«Plus vous pouvez créer cette bulle magique, supprimer ce scepticisme pour un moment, mieux c'est.» 
.«C'est agréble de se trouver dans cette postion, j'ai de la chance. En même temps, tout son interêt a été placé dans une perspective austère... D'une façon, son image s'est ternie, ce qui est d'une façon un cadeau.» 
.«Tou d'abord on ne peut pas faire tout ce qu'on fait pour absolument tou le monde, on ne peut pas toujours se plier au exigence de la plus grand dénominateur. Je veille à aborder les thèmes qui m'interessent. Est-ce qu'ils me touchent ? M'interessent ? Me font réflechir ? Lorseque je tombe sur quelque chose de provocateur dans le sens de dérangeant, là ça m'interesse.»

ADRESSE
Edward Norton
c/o Banner Entertainment,
Edward Norton
c/o Endeavor Talent Agency,
8000, Sunset Boulevard,  9701 Wilshire Boulevard, 
3rd floor, 10th floor,
Los Angeles, CA 90046,  Beverly Hills, CA 90212,
U.S.A. U.S.A.

Copyright © 2000-2001 Edward Norton Online website. Tous droits résérvés.