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Vous pourrez le constater en prenant connaissance des deux documents suivants qui ne sont rien d'autre qu'une vérification de mon statut d'appartenance au très honnête site XXX (hummmm...) Ces gens jouent avec vous et vous soutirent des sommes d'argent sans aucunement se soucier, en plus, ils bénificient de l'immunité auprès de votre compagnie de finance qui ne semble définitivement pas vouloir réagir devant ces preuves plus qu'accablantes.
Les deux relevés suivants ont été faits à quelques secondes d'intervalle et vous constaterez que sur l'un d'eux mon premier identifiant et mon premier password (qui ont été changés par le site en question) sont toujours actifs... Je pense que Bizar.com leur convient très bien *S*. C'est BIZARRE en effet!
Les deux documents suivants sont du courrier redirigé vers le site afin d'accumuler des preuves. Vous y reverrez probablement des textes déjà lus, c'est un peu embarassant mais vous y trouverez aussi des éléments nouveaux vous permettant de situer les faits chronologiquement parlant. L'étiquette du document vous signalera de toute façon le point important du document.
Suivant réception de la confirmation de résiliation, les montants continuent quand même d'être prélevés et je décide d'enquêter car MasterCard qui en principe aurait dû intervenir dans le dossier selon moi... N'a pas assumé sa part des responsabilités. Donc j'ai dû prendre l'affaire en charge si je voulais en voir la fin.
Après la réception de la liste (supposément) complète de tous leurs autres sites, je redirige mon courrier et je les informe que mon premier identifiant et mon premier password sont de nouveau en ciculation. Je leur demande de corriger et je décline toute responsabilité à l'égard de cet acompte. Je leur demande aussi un suivi des mesures adoptées pour régler ce problème. Au moment ou j'écris ces lignes nous sommes le 15-09-98 et ils n'ont pas donné suite encore. Si de nouveaux développements devaient survenir, je les publierai dans cette section de ma page.
Vous pourrez voir aussi les relevés de compte avec les montants prélevés en trop et clairement identifiés par un crochet.
MasterCard pose enfin un geste concret...
En date d'aujourd'hui le 16 septembre 1998 à 15.00 heures j'ai recommuniqué avec MasterCard afin d'avoir un suivi du courrier (messagerie assurée) que je leur ai fait parvenir et qui leur est effectivement parvenu selon le rapport de Postes Canada. (Vous pouvez cliquer sur le lien et demander pour l'article 73 531 054 104) Chez MasterCard j'ai discuté avec une Madame Dupuis qui s'est montrée tres gentille et aimable. Elle m'a assuré que le document devait sans doute se trouver sur quelque bureau au département des payements (lenteurs administratives) et qu'elle-même n'en avait pas pris connaissance mais nous avons longuement discuté, finalement elle m'a assuré que la carte était maintenant retirée de la circulation et qu'elle portait mon dossier à l'attention de la sécurité. L'histoire n'est évidemment pas encore réglée mais au moins suite à cette démarche je sens qu'on ne stagne pas et que MasterCard a enfin décidé de s'impliquer. Merci Madame Dupuis.
Fidèle dans la tourmente...
J'ai aussi eu du réconfort d'ailleurs... Je n'avais pas aussitôt terminé l'entretien téléphonique avec Madame Dupuis que je reçois un appel de Madame Fleur, la directrice de ma succursale banquaire qui me téléphone pour me mettre au courant du fait que la carte de crédit menaçante a été retirée de la circulation et me conseille encore sur la procédure à suivre. J'en retire comme l'impression que j'ai encore une amie sur qui je peux compter à l'intérieur de la Banque Nationale du Canada. C'est donc dire que dans les coulisses Madame Fleur veille au grain et me fournit son support. Merci à vous aussi Madame Fleur.
En plein soleil...
J'ai fait parvenir un courrier à MasterCard pour les informer que toute cette histoire est publiée sur le net et pour les sensibiliser au dossier dans l'espoir qu'ils feront vraiment un effort pour réparer le préjudice qui m'est causé par le peu d'implication qu'ils ont manifesté jusqu'à maintenant. J'ai aussi laissé un message sur la ligne téléphonique de J.E. Je me propose d'informer Mongrain et le Journal de Montréal au cours des prochains jours parce que je suis bien décidé à mettre un terme à ces escroqueries.
Encore des démarches:
Je suis également allé sur le site de T.V.A.pour leur proposer un sujet de reportage et les ai invités à visiter "la saga", en leur offrant mon entière collaboration s'ils sont d'avis que le thème traité ici représente quelque intérêt pour le public. Si vous désirez voir le contenu du message, c'est à votre portée.
Aujourd'hui j'ai communiqué par courrier électronique avec Monsieur Nelson Dumais journaliste indépendant, pour lui faire part de tout ce qui se passe sur notre Internet. Je lui ai demandé d'aller visiter "la saga" en espérant qu'il en fasse mention dans sa chronique, de façon que les gens puissent ëtre informés de cet état de choses et ne pas tomber dans le panneau. C'est à suivre.
Monsieur Dumais a reçu mon message et Y a répondu.
Flash 19/08/98
C'est aussi à suivre.
Aujourd'hui dimanche 20 septembre j'étais un peu démoralisé car rien ne se passait et pour changer l'air d'aller j'ai fait de nouvelles démarches. Les résultats sont à voir, mais ça donnera ce que ça donnera. Dans un premier temps j'ai soumis mon histoire sur un Forum de Sympathico et aussi à un autre Forum de consommateurs. Au premier endroit la rubrique est intitulée Achèteriez-vous... J'y ai signé mon article que vous pouvez voir. Au forum des consommateurs l'article est intitulé Escroquerie sur internet.
Dans un deuxième temps je me suis dit "À la guerre comme à la guerre" et j'ai pensé sortir un de mes gros canons. C'est vrai qu'il s'agit là d'une grosse carte me direz-vous mais j'ai rien à perdre et tout à gagner alors j'ai écrit (tout à fait par hasard, mon courrier devait atterrir sur son bureau) à M. Jean-Luc Roy. M. Roy est en effet l' Ambassadeur du Canada... Ça ne me nuira certainement pas puisque ce réseau a des ramifications depuis Amsterdam et Dublin.
Bon, alors ceci complétera donc ma fin de semaine. Il ne me reste plus qu'à attendres les retombées de ces manoeuvres.
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