Horace l'Héro
Dans le monde de l’antiquité, l’héroisme était un trait très noble. Si on était consideré un héro, la reste des gens serait témoigné beaucoup de respect pour lui. Une partie de la littérature depuis cette époque traite de cette idée. La grande tragédie, Horace, une pièce de théâtre chez Corneille, est un exemple. Il se passe à l’antiquité et un thème de cette pièce est l’héroisme. Corneille montre que l’héroisme est noble mais fragile et même terrible par l’entremise du personnage principaux, Horace.
Au début de la pièce, il y a une guerre entre Rome et Albe. Le dictateur d’Albe veut que la guerre finisse. Il propose que chaque ville choisit trois guerrieurs pour se battre. Les vainqueurs de cette petite bataille décideront les vainqueurs de la guerre. Le roi de Rome choisit les trois frères Horace. Le dictateur d’Albe choisit les trois frères Curiace. Les Horace et les Curiace sont très grands amis et sont apparentés par le mariage entre Horace et Sabine, la soeur des Curiace. Malgré cette alliance, Horace se prépare à la bataille. Il est très honoré que le roi l’a choisi. Il dit que “[l]a gloire de ce choix m’enfle d’un juste orgueil” (Acte II, scène première, vers 378). Il pense que la plus noble mort est la mort qu’on souffre quand on défend son pays. Ce mort est la plus magnifique aussi. Il dit à Curiace,
[c]ombattre un ennemi pour le salut de tous,/Et contre un
inconnu s’exposer seul aux coups,/D’une simple vertu c’est
l’effet ordinaire:/Mille déjà l’ont fait, mille pourraient le
faire;/Mourir pour le pays est un si digne sort/Qu’on
briguerait en foule une si belle mort (Acte II, scène iii, vers 437-442).
Horace est préparé de perdre son vie pour défendre Rome. Mais si Horace gagne, il aura la gloire aussi. Il aura défendu contre Albe et sera un héro. Si Horace mort ou s’il gagne, il aura la gloire et il sera un héro.
Dans cet acte, on voit un Horace qui est très noble mais cet Horace est un peu déconcertant aussi. Horace est noble parce qu’il accepte le choix du roi et il se prépare à la bataille. Horace aime Rome et il se battra n’importe qui pour le défendre. Mais dans sa loyauté, il y a un peu de malaise. Il doit se battre son beau-frère, mais il se battrait même son frère si le roi lui commandait de faire. On espère qu’Horace serait plus compatissant. Pourtant, il semble un peu monstrueux. Il ne se soucie que la gloire. Cette image de l’héroisme n’est pas très belle. Corneille dit qu’il est noble d’être loyal de son état mais si on est trop loyal, on changera d’un monstre.
Dans acte IV, on voit Horace sur le champ de bataille. Ses deux frères sont morts et les trois Curiace sont blessés. Horace lui-même n’est pas blessé. Pourtant, il s’enfuit de la bataille. Mais Horace n’est pas un lâche. Il s’enfuit pour séparer les trois Curiace. Maintenant, Horace a l’avantage sur les Curiace. Il peut les battre un par un. Horace tue les trois Curiaces et il gagne la bataille et la guerre. Il est vraiment un héro.
Cette image de l’héroisme est la plus noble dans la pièce. Horace défend Rome contre les trois Curiace lui-même. Il gagne la bataille et toute la guerre pour Rome. Horace n’emploie pas seulment sa force mais il emploie son esprit aussi. Il sait qu’il ne peut pas se défendre contre les trois Curiaces. Il s’enfuit pour les séparer. Puisque les trois Curiaces sont blessés et il n’est pas blessé, Horace peut les battre un par un et il vainc les trois. Horace est un héro. Ici, Corneille dit que un héro n’est pas l’homme la plus fort. Un héro est un homme qui peut rassembler la force et l’esprit pour son avantage. C’est une image de l’héroisme qui est très noble et Horace est exprimé dans cette image.
Pourtant, aux Actes IV et V, on voit un Horace monstrueux. Camille, la souer d’Horace, refuse de reconnaître la victoire de lui. Elle aime Curiace et elle pleure la mort de son amant. Horace pense qu’elle est une traitre et il la tue. Il devrait puni pour son crime mais le roi ne le punit pas. Le roi dit que Horace gagne la guerre et ce fait compte pour quelque choses. Horace peut vivre mais maintenant il est un héro tombé.
Cet Horace n’est pas un héro, il est un monstre. Il pense que tous le monde doit témoinger de respect pour lui et si on ne témoinge pas, il le tuera. Il tue sa soeur de plus! Quand on tue sa soeur, on n’agit pas comme un héro. Son moi est trop grand à cause de son victoire. Son moi a changé Horace d’un monstre. Cette image de l’héroisme est terrible. Ici, Corneille dit que l’héroisme a le pouvoir de changer les héros des monstres. Il pense que si on a un trop grand moi à cause de l’héroisme, on serait une personne différente. Cette personne différente ne agira pas comme la personne originale. Corneille pense que si on va aux extrêmes de l’héroisme, on changera d’un chose terrible. Il dit aussi que l’héroisme est fragile. Avec une action, Horace devient d’un héro tombé. Pourtant, l’héroisme sauve la vie d’Horace. Parce qu’il gagne la guerre pour Rome, le roi décide de sauver son vie. Bien que Horace tue sa soeur, il est un héro et il doit vivre. Le roi pense que s’il y a une autre guerre, il pourra employer Horace encore une fois. Alors, la plus terrible traite d’Horace est le traite qui le sauve.
En conclusion, la tragédie Horace, chez Corneille, traite de l’héroisme. Le personnage principaux Horace est un héro. Il est un héro noble mais il montre les allusions qu’il a des mals traits. Au début de la pièce, il accepte qu’il doit tuer son beau-frère sans les hésiatations. C’est déconcertant. A la fin de la pièce, on voit qu’Horace n’est pas un vrai héro. Il tue sa soeur et il montre qu’il n’est pas un héro. Depuis cette action, il devient un héro tombé. Corneille montre tous les aspects de l’héroisme: la noblesse, la fragilité, et le grotesque. L’héroisme est noble parce que tous le monde témoinge du repsect pour un héro. On voit que les citoyens de Rome aiment Horace quand il gagne la guerre. L’héroisme est fragile parce qu’il ne reste pas pour longtemps. Quand Horace tue sa soeur, il perd son héroisme. Finalement, l’héroisme est grotesque parce qu’il change les humains. On voit que Horace change d’un monstre après son victoire. Le moral de ce conte est: trop d’héroisme est dangereux.
© April 11, 2000
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