La Nature Contre d’Élever: Deux Opinions d’Adolphe



     Dans le roman du dix-neuvième siècle, Adolphe, chez Benjamin Constant, il y a deux façons de voir le personnage principal: avec la pitié ou avec la haine. Ces deux perspectives sont exprimés dans la “Lettre à l’éditeur” et la “Réponse” à la fin du roman. Toutes les deux ont le valeur mais je pense que l’opinion de la “Réponse” et plus vrai que celle de la “Lettre à l’éditeur”.

     D’abord, je parlerai de l’opinion de la “Lettre à l’éditeur” parce que je pense qu’on doit expliquer les défauts de cette opinion avant d’expliquer les valeurs de l’autre. Dans la “Lettre à l’éditeur”, l’auteur dit que “en se rendant bien digne de blâme, il s’est rendu aussi digne de pitié” (139). Il dit aussi que les influences en dehors de la liason entre Adolphe et Ellénore ont causé leur malheur. Il dit que “[l]a société est trop puissante” (138). Alors on peut conclure qu’Adolphe est méritant de notre pitié parce qu’il ne peut pas contrôler la société et la société l’a forcé à se comporter dans la manière qu’il a fait.

     Il y a des prevues pour cette opinion partout le roman. Beaucoup de gens disent à Adolphe qu’il doit rompre sa liason avec Ellénore. Son père lui dit “[qu’]il ne vous convient pas, à votre âge, d’avoir une maîtresse avouée; et s’éloinge d’ici” (94). Il lui dit aussi que “[v]otre naissance, vos talents, votre fortune, vous assignaient dans le monde une autre place que celle de compagnon d’une femme sans patrie et sans aveu” (97). Il y aussi le baron de T***. Il dit à Adolphe que “[j]e lis dans votre âme, malgré vous et mieux que vous; vous n’êtes plus amoureux de la femme qui vous domine et qui vous traîne après elle; si vous l’amiez encore, vous ne seriez pas venu chez moi” (106-7). Ces mots sont très durs et puissants. Mais si on a l’opinion qu’Adolphe suit ces mots, on aura tort. En fait, le contraire est vrai. Chaque fois qu’Adolphe rencontre je vous avertis que j’ai pris des mesures pour qu’elle l’adversité vers sa liason avec Ellénore, son amour pour elle est renforcé. Par exemple, quand le père d’Adolphe lui dit qu’il prendra “des mesures pour qu’elle s’éloinge d’ici” (94), Adolphe et Ellénore s’enfuient. Adolphe dit que

[j]e me formais mille projets pour mon 
éternelle réunion avec Ellénore: je 
l’aimais plus que je ne l’avais jamais 
aimée; tout mon coeur était revenu à elle; 
j’étais fier de la protéger....Si, dans 
ce moment, Ellénore eût voulu se détacher 
de moi, je serais mort à ses pieds pour 
la retenir (95).
Ces ne sont pas les mots de quelqu’un qui veut rompre la liason. C’est presque les mots de quelqu’un qui est vraiment amoureux avec Ellénore.

     Il est évident que la société force Adolphe de se comporter dans une certaine manière, mais la manière est le contraire de ce que la société lui dit. Peut-être l’auteur de la “Lettre à l’éditeur” veut dire que on doit avoir la pitié vers Adolphe parce que la société lui donne un sens faux d’amour. Tous les temps que la société dit à Adolphe qu’il doit rompre sa liason avec Ellénore sont les temps qu’Adolphe l’aime le plus. A cet égard on doit pitié Adolphe parce qu’il dépend de la société pour ses émotions. Autrefois, il veut rompre sa liason mais quand la société lui dit de faire ça, il réfuse et il aime Ellénore plus qu’il l’aime avant. Mais cette opinion d’Adolphe est exactement ce que la deuxième opinion de lui haine. Cette opinion donne la faute à une autre.

     Cette deuxième opinion d’Adolphe est exprimé dans la “Réponse” à la fin du roman. L’auteur dit que

[j]e hais d’ailleurs cette fatuité d’un 
esprit qui croit excuser ce qu’il explique; 
je hais cette vanité qui s’occupe d’elle-même 
en rancontant le mal qu’elle a fait, qui 
a la prétention de se faire plaindre en se 			
décrivent, et qui, plannant indestructible 
au milieu des ruines, s’analyse au lieu de 
se repentir.  Je hais cette faiblesse qui 
s’en prend toujours aux autres de sa propre 			
impuissance, et qui ne voit pas que le mal 
n’est point dans ses alentours, mais qu’il 
est en elle (140).
Cet auteur voit qu’Adolphe blâme tous les autres pour ses problèmes mais il ne blâme jamais lui-même. Il voit aussi qu’Adolphe analyse ses problèmes plus qu’il essaie de résoudre. Il cherche pour une autre solution au lieu de blâmer lui-même. L’auteur pense que cela est une excuse faible et pour cette raison ne doit pas avoir la pitié pour Adolphe. Il déteste Adolphe et sa faiblesse.

     Cette opinion peut être verifié dans le texte aussi. Au débout du roman, Adolphe dit que

[m]a contrainte avec [mon père] eut une 
grande influence sur mon caractère.  Aussi 
timide qui lui, mais plus agité,...je 
m’accoutumai à renfermer en moi-même tout 
ce que j’éprouvais, à ne former que des 
plans solitaires, à ne compter que sur moi 
pour leur exécution, à considérer les avis, 
l’intérêt, l’assistance et jusqu’à la seule 			
présence des auters comme une gêne et comme 
un obstacle.  Je contractai l’habitude de ne 			
jamais parler de ce qui m’occupait, de ne me 			
soumettre à la conversation que comme à une 			
necessité importune...” (54).
Tout ce qu’Adolphe dit est intéressant mais le mot le plus intéressant est “contractai”. On contracte une maladie, pas une habitude ou même une personalité entière. Adolphe donne la blâme à son père pour comment il est. On voit aussi qu’Adolphe analyse pourquoi il est comme il est au lieu de changer comme il est. Il parle beaucoup de ce que lui rend comme ça mais il ne parle jamais comment il va changer. C’est la première grande place qu’Adolphe donne la blâme de ses problèmes à une autre.

     La deuxième place qu’Adolphe fait ça est à la fin du roman. Après la mort d’Ellénore, Adolphe dit que

[c]ombien [Ellénore] me pesait, cette 
liberté que j’avais tant regrettée!  
Combien elle manquait à mon coeur, cette 			
dépendance qui m’avait révolté souvent!  
Naguère, toutes mes actions avaient un but; 				
j’étais sûr, par chacune d’elles, d’épargner 
une peine ou de causer un plaisir: je m’en 			
plaignais alors; j’étais impatienté qu’un 
oeil ami observât mes démarches, que le 
bonheur d’un autre y fût attaché.  Personne 			
maintenant les observait...” (135).
Ici, on voit encore une fois qu’Adolphe blâme toutes ses actions aux autres. Il pense que parce que tout le monde le voir tous les temps, il ne peut pas se comporter comme il veut. La possibilité qu’il était Adolphe lui-même qui le cause de se comporter dans cette façon n’entre jamais dans son esprit.

     Pour conclure, bien que la preuve existe pour les deux opinions, je pense que la deuxième opinion d’Adolphe est plus juste que le première. La première opinion embrasse la défaut que la deuxième signale. Alors, il est un question de la nature contre d’élever. Si on croit que les forces en dehors de nous-même influencent ce qui nous somme, on pensera que la première opinion d’Adolphe est plus vrai que la deuxième. Mais je pense que tout le monde a le pouvoir de décider qui il est, malgré les forces en dehors de soi-même. Alors, je pense que la deuxième opinion est plus juste que la première. Si Adolphe vraiment voulait changer, il voudrait. Au lieu de cela, il prend la façon de plus facile et il donne la blâme aux autres.

© February 19, 2001

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