Carnet de bord



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Janvier 2000
J’ai bien hâte que la CIBC se décide à passer les feuilles de vacances.  L’an dernier on devait soumettre nos choix avant le 5 janvier et l’horaire était affiché le 15.  De toute façon, la convention collective exige que le choix des vacances soit fait avant le 15 janvier de chaque année.

Lundi, 10 janvier
(N.d.Y.)  Sylvie m’annonce, sur un coup de tête, que nous devrions magasiner pour un nouvel ordinateur.  Puisque je commence à m’intéresser au 3D et raytracing, elle a pitié de moi.  Il faut avouer que mon petit Pentium 133 en arrache à rendre les images.  C’est beau, on va commencer à magasiner.

Mercredi, 12 janvier
(N.d.Y.)  On a commencé à magasiner pour mon ordinateur de rêve.  À date, on ne s’en sort pas en dessous de 2 565 $.   On va attendre un peu, et continuer à regarder.

Mardi, 25 janvier
Sur un coup de tête, je suis passé à ma succursale, vérifier si je pouvais obtenir un prêt auto et de combien.  Qu’est-ce qui m’a poussé à ça?  On avait besoin de litière et de bouffe pour chat(s) et on allait devoir se contenter d’acheter un petit sac de bouffe au Dominion, ainsi qu’une boîte de litière qui n’absorbe même pas les odeurs.  Je suis tannée de ne pas pouvoir magasiner là ou je le veux.

(N.d.Y.)  Je ne sens pas très bien aujourd’hui et je me préparais à me coucher tôt lorsque Sylvie m’annonce comme une brique que nous pouvons avoir un prêt auto et qu’elle a déjà commencé les démarches.  J’en suis complètement estomaqué.  Sylvie espérait de l’enthousiasme de ma part.  La nouvelle m’a plutôt achevé pour la soirée.  D’où vient cette envie soudaine pour une auto?  Qui sait?  Ce que femme veut, Dieu veut.  C’est vraiment le lendemain que le tout m’a vraiment frappé.  Elle est sérieuse, et mon nouvel ordi lui?  Son achat est définitivement reporté aux calandres grecques.

Mercredi, 26 janvier
Tout semble beau pour le prêt.  Durant mon lunch, j’achète 2 revues canadiennes sur les modèles 2000 et, arrivés à la maison, Yanick et moi on se met à la recherche sur le net.  Pas question de quoique ce soit qui ressemble à une Swift, une Firefly, etc.  Je voulais une vraie auto...  J’aurais bien aimé un VSR, mais c’est un peu plus cher et je n’aime pas vraiment les modèles 4 portes.  Je préfère de beaucoup les décapotables qui ne vont pas trop bien avec notre climat.

(N.d.Y.)  Sylvie mets vraiment les bouchées doubles.  Je ne sais pas ce qui a été le catalysateur, mais il n’y a pas de doute, elle veut une voiture et pour bientôt.  Il est aussi clair qu’elle ne se contentera de rien de moins qu’une berline.  Bien que je suis tanné des Swift et clones, j’ai peur d’être serré dans les finances. Sylvie m’assure du contraire.

Samedi, 29 janvier
Une journée splendide, ensoleillée.  Nous sommes allés visiter les concessionnaires pour la première fois.  On se promenait sans gants.  On a marché environ 30-35 kilomètres dans notre journée.

On a vu des Chevrolet :  la Cavalier nous tentait, mais impossible de la trouver manuelle, et sans air conditionné, à Toronto.  Étant donné que ces petits ajouts coûtent environ 1 000 $ chacun, on va laisser faire.

On a vu les Hyundai :  superbe rouge, mais la verte ressemble à un cadeau de Noël.  La Accent GSi est pas laide, bien équippée de base, mais les points morts sont atroces.  La Chrysler Neon souffre du même problème, d’ailleurs.

La Ford Focus est pas pire, bien cotée en Europe, mais Ford première année a souvent des problèmes...

La Honda Civic SE nous tentait, elle était en vente.  À considérér, malgré le prix un peu élevé.

Puis nous sommes arrivés chez le concessionnaire Lexus/Toyota.  Le gars chez Chevrolet nous avait averti que bien que ce soit le même propriétaire, ce sont des vendeurs de Lexus et ils te regardent du bout de leur nez...  Nous sommes entrés quand même.  On a regardé l’Écho et on est tombé en amour... malgré la couleur.  Ils avaient seulement la Gold et elle semble sans personnalité.  Les sièges sont hauts, on dirait presque qu’on est assis sur une chaise.

(N.d.Y.)  Le bon côté du concessionnaire c’est que nous avons pu nous asseoir dans la voiture et la regarder de tous les côtés sans que jamais un vendeur vienne nous achaler.   À leur défense, il y avait beaucoup de monde.  En fait, cette fin de semaine les concessionnaires nippons étaient beaucoup plus achalandés que les américains.

On n’a pas réussi à trouver de concessionnaires Daewoo, ni Kia.

Quelques autres modèles nous tentaient aussi, mais ils ne sont pas encore sortis :  la PT Cruiser de Chevrolet et la Honda Insight (modèle hybride).

Lundi, 31 janvier
On a pris quelques jours pour lire les brochures, puis on est retournés voir des concessionnaires.  Rien de plus à ajouter.  On avait pas mal tout vu...  On s’est donc mis à la chasse d’un autre concessionnaire Toyota et on en a trouvé un au Centre-Ville.

Mardi, 1 février
Dans un autre ordre d’idées, nous n’avons toujours pas de nouvelles de la cédule de vacances de Yanick.  Il envoie finalement un e-mail pour savoir combien il reste de personnes à choisir avant lui.  La réponse est 8.  À cette vitesse, il pourra peut-être choisir ses vacances d’avril avant le 1er avril...  Il envoie donc un autre e-mail à son supérieur immédiat. ... Rencontre demain.

Mercredi, 2 février
Nouvelle visite chez le concessionnaire Toyota :  on lui a fait un prix, il nous a offert le financement (meilleur taux que la Banque), on a marchandé et on est parti à la maison afin de penser à tout ça.  On est quand même allés visiter un autre concessionnaire et on a réussi à voir, en personne, le modèle tel qu’on le voulait.  Elle est superbe, it’s a go!

Jeudi, 3 février
10 h 30, je ne peux plus résister et j’appelle.  Oui, notre offre est acceptée.  Après le travail, on se rend directement chez le concessionnaire signer les papiers.  On apprend qu’ils ont le modèle et la couleur que l’on veut en stock.  Peut-être pourrons-nous l’avoir dès samedi...

Vendredi, 4 février
Journée d’enfer :  appeler les assurances.  La compagnie d’assurance de la Banque offre des prix plus bas, mais ils avaient omis de mentionner que l’on aurait besoin de paperasse parce que Yanick n’a jamais été assuré en Ontario.  J’opte donc pour Bélair, à nouveau.

Yanick m’appelle pour m'annoncer que ces vacances sont enfin bookées.

Quelle journée!

Samedi, 5 février
On se lève tôt.  Pas vraiment le choix car on a très peu dormi.  J’comprends pas...  On se rend au Centre-Ville en métro et en autobus, mais on reviendra bientôt au volant de NOTRE auto...  Naturellement, on passera acheter litière et bouffe pour chats, en chemin. :-)

Dimanche, 6 février
Deux fous au volant d’une auto neuve...  Dangeureux!  Malgré l’avertissement de neige, on décide d’aller au cinéma, à Brampton (environ 1 h de route).

À suivre!

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