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                    Ma première 
                    rencontre avec l'homme qui a pris ma "virginité": 
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                    "Est-ce que tu portes le 
                    "g-string" que je t'ai demandé de porter?" 
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                    Comme je 
                    réponds "Oui!", il me dit alors: "Donne-le 
                    moi?" 
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                    Cette conversation a lieu, tard dans la soirée et je 
                    suis assise à une table pour deux, au Cabaret Cléopâtre, un lieu de rencontre 
                    pour travestis, au centre-ville de Montréal. C'est l'automne 
                    de l'année 2001. 
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                    Je suis tout habillée de noir, je porte une longue 
                    jupe aux chevilles et des bottes aux genoux, à talons 
                    aiguilles. Ma jupe est remontée sur mes genoux parce que, 
                    quelques instants auparavant, cet homme, que je nommerai C, 
                    l'a relevé pour caresser mes cuisses. J'hésite un moment et 
                    je prends le temps d'observer les gens qui sont assis aux 
                    tables proches de la nôtre. 
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                    Au cours de nos échanges de courriels, les semaines 
                    précédantes, C m'a tellement bien préparé que je me mets à 
                    relever l'arrière de ma jupe et essaie d'agripper le 
                    g-string noir qu'il m'avait demandé de porter. 
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                    Comme je suis très excitée, j'ai de la difficulté à 
                    trouver le haut de mes petites culottes au travers des 
                    lacets de mon corset mais, lorsque je finis par les 
                    attrapper, sans hésitation, je lève mes fesses de sur la 
                    chaise et, aussi discrètement que possible, j'extrais ma 
                    jambe gauche de mes culottes, puis l'autre jambe et les 
                    remet à C.  Ce dernier, au lieu d'essayer d'être 
                    discret, fait mine de les montrer à tout le monde avant de 
                    les porter devant son nez. 
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                    À ma grande surprise, je me sens tout de suite 
                    soulagée et même fière de moi d'avoir passé au travers de 
                    cette première épreuve. De leur côté, les cinq filles de la 
                    table d'à côté n'ont rien manqué de la scène! 
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                    Quelques deux mois avant cette première rencontre, C 
                    m'avait fait parvenir un courriel me disant qu'il avait vu 
                    mon site internet et qu'il désirait me rencontrer. Au cours 
                    des semaines qui ont suivi, il m'a fait parvenir une de ses 
                    photos et m'a préparé à lui obéir. 
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                    C'est un homme dans la trentaine et de très grande 
                    taille. Il n'a pas l'apparence d'un mannequin mais il parait 
                    très bien. 
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                    Après avoir lu quelques-uns de ses courriels, j'ai 
                    commencé à me sentir attirée par lui, même si j'ai parfois 
                    passé au travers de périodes de doutes parce qu'il me 
                    semblait trop bien pour être vrai. Je ne suis pas tellement 
                    expérimentée dans le domaine de la domination et de la 
                    soumission mais, selon moi, il n'avait pas l'air du dominant 
                    typique. Sans aucun doute, nous partageons un tas de choses 
                    en commun mais il est tellement prévenant et il se préoccupe 
                    d'abord du plaisir de sa partenaire avant de penser au sien. 
                    Par dessus tout, il semble m'accepter telle que je suis, 
                    sans hésitations et sans se préoccuper pour notre différence 
                    d'âge. Parfois j'avais le sentiment que c'était trop pour 
                    moi. Mais, je voulais le rencontrer au moins une fois afin de 
                    me rendre compte si un tel homme existe réellement. 
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                    Je dois aussi admettre que, durant la période 
                    pendant laquelle nous avons échangé des courriels, il m'a 
                    initiée aux lavements érotiques et il a pris contrôle de ma 
                    vie sexuelle. 
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                    Nous avions convenu de nous rencontrer, pour la 
                    première fois, au cabaret mentionné plus tôt, un jeudi soir, 
                    vers les 23:30. Les vêtements que je devais porter ainsi que 
                    la couleur de mes cheveux avaient été convenus plusieurs 
                    jours avant notre rencontre. De plus, selon ses 
                    instructions, je devais attendre C au bout du bar et je 
                    devais apporter avec moi une paire de souliers à talons 
                    hauts qu'il avait choisi ainsi qu'un petit godemiché inséré 
                    dans mon sac-à main. 
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                    Dès son arrivée, C se dirige près de moi et je le 
                    reconnais presqu'immédiatement même s'il ne porte plus la 
                    barbichette que j'avais aperçu sur la photo qu'il m'avait 
                    fait parvenir. 
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                    Nous nous installons à une table, devant la scène, 
                    et essayons d'entreprendre la conversation. Mais, c'est à 
                    peu près impossible. La musique est définitivement trop 
                    forte. 
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                    Avant que le serveur ne reviennne avec le verre que 
                    C a commandé, je commence déjà à sentir ses mains sur moi, 
                    en-dessous de la table. Puis, il me fait signe d'apposer un 
                    de mes talons sur son sexe. Il aime beaucoup mes bottes et 
                    cela me réjouis car il m'a déjà fait savoir qu'il apprécie 
                    grandement les talons hauts et ceux de mes bottes n'ont que 
                    quatre pouces de hauteur. 
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                    Durant tout le spectacle de personificateurs 
                    féminins, qui se déroule sur la scène, il n'arrête pas de me 
                    caresser les mains, l'intérieur de mes cuisses et mon petit 
                    "clitoris". Ne me demandez pas: "Comment est le spectacle?" 
                    Je suis constamment sur le bord de perdre la tête et le 
                    contrôle sur mon corps. Mais, aussitôt que le spectacle 
                    prend fin, il me signifie que nous nous en allons. Nous 
                    marchons le court trajet qui nous sépare de l'endroit où 
                    j'ai garé mon auto et il me fait marcher devant lui. 
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                    Je déverrouille les portes de la voiture et il 
                    s'installe sur le siège du passager en me disant que nous 
                    allons faire un tour. Mais, avant que j'aie le temps 
                    d'attacher ma ceinture de sécurité, je dois ouvrir mon 
                    manteau d'hiver et le remonter dans mon dos, en même temps 
                    que ma jupe, de manière à m'assoir sur mes fesses nues. Je 
                    dois également me laisser glisser vers le bas de manière à 
                    être presqu'assise sur le bas de mon dos. 
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                    Durant ce temps, il a enfilé des gants de plastique 
                    et, aussitôt que je suis dans la position souhaitée, il 
                    s'ingénie à faire ouvrir mon anus avant d'y insérer le 
                    godemiché que je transportais dans mon sac-à-main. Et, c'est 
                    un départ! 
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                    Nous nous dirigeons sur une des artères les plus 
                    achanlandées de la ville et je dois utiliser toute l'énergie 
                    que j'ai encore en réserve pour suivre les instructions 
                    qu'il me donne et pour conduire du mieux que je peux, dans 
                    les circonstances. 
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                    C'est une mission presqu'impossible parce qu'il 
                    n'arrête pas de caresser mon clito. Même lorsque nous sommes 
                    arrêtés à un feu de circulation, il n'arrête pas de me 
                    toucher et les gens, dans les autos qui nous entourent, 
                    essaient de voir ce qu'il me fait. Il me maintient 
                    constamment dans un état proche de l'éjaculation. Mais, 
                    quelle délicieuse torture c'est. 
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                    Assez rapidement nous nous retrouvons en face d'un 
                    restaurant MacDonald et il me dirige vers le guichet pour 
                    les commandes-à-l'auto. Pouvez-vous vous imaginer un instant 
                    le tableau qui se présente devant le garçon qui nous demande 
                    de payer le montant d'argent que représente notre commande? 
                    Mon manteau est tout grand ouvert. Ma jupe est remontée 
                    jusqu'à ma taille. Et, en utilisant ses deux mains, C me 
                    maintient les deux jambes ouvertes sans doute pour que le 
                    garçon puisse se rendre compte plus facilement qu'il a 
                    devant lui un femme pas mal "spéciale". J'aurais envie de 
                    mourir mais le plus loin possible de la vue de ce garçon. 
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                    Dès que nous prenons livraison de notre commande, je 
                    me dirige vers le premier espace de stationnement disponible 
                    et j'essaie de reprendre mes esprits. J'ai de la difficulté 
                    à croire que j'ai réellement fait ce qui vient de m'arriver. 
                    J'éprouve un grand besoin d'air. Beaucoup d'air pour essayer 
                    de me calmer! 
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                    Pendant ce temps, C sirote sa ligueur douce, la 
                    bouche fendue jusqu'aux oreilles. 
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                    Environ quinze minutes plus tard, je suis de nouveau 
                    en route vers notre point de départ, tout en réalisant que, 
                    pour une première rencontre, j'ai eu assez d'émotions. 
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                    L'espace de stationnement, sur le bord de la rue, 
                    que j'avais quitté, environ une heure plus tôt, est toujours 
                    disponible et je m'y insére. 
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                    C m'indique de sortir de l'auto et d'aller me poster 
                    sur un terrain vague, 
                    près d'un bloc de béton situé tout près. Il me fait mettre 
                    une jambe dessus et relever ma jupe de manière à ce que le 
                    haut de mes bas soit visible (voir la photo censurée plus haut).
                    
                     
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                    Une caméra émet des flashs. C prend des photos. 
                    Plusieurs autres photos sont également prises après qu'il 
                    m'ait fait déplacer vers d'autres endroits. À un certain 
                    moment, je dois même me pencher vers l'avant, en pleine rue, 
                    pour prendre une photo alors que mes fesses nues et le 
                    godemiché insèré dans mon anus sont bien en évidence. 
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                    Puis, nous nous embrassons et je m'en retourne chez moi, 
                    incapable d'arrêter le tourbillon qui se passe dans ma tête. 
                    J'aurai bien besoin du reste de la nuit pour démêler tout ce 
                    que je viens de vivre au cours de cette  rencontre, 
                    la première d'une longue série, impliquant C. 
- 
                    
                    Épilogue: 
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                    Même si, quelques mois plus tard, j'ai déménagé dans 
                    la région de Québec, mes relations avec C se sont poursuivies. Les séances d'exhibitionisme se sont 
                    également répétées à de nombreuses reprises. Chaque fois 
                    qu'il me menacait de m'exhiber dans des endroits de plus en 
                    plus publics, je devenais folle de peur et je résistais. 
                    Mais il me manipulait si bien que je finissais toujours par céder. 
                    Et, avec le temps, j'en suis venue presqu'à m'habituer et, 
                    peut-être, même à y prendre plaisir. Cela me procure 
                    invariablement des 
                    bouffées d'adrénaline vraiment incroyables. En plus, j'en suis 
                    venue à éprouver de l'excitation rien qu'à la pensée que mon sexe 
                    soit nu et vulnérable aux assauts des mains de mon 
                    copain. 
- 
                    
                    Parmi les autres 
                    aventures publiées sur mon site internet, vous en trouverez 
                    d'autres qui se reférent à mes rencontres avec C, comme: 
          
           ou ou . .