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                     Une soirée fétichiste, dans un club
                        privé: Une soirée fétichiste, dans un club
                        privé:
 
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                    Je ne crois pas m'être jamais 
                    retrouvée dans une position aussi douloureuse et humiliante. 
                    Malgré tout, je voudrais que mes souffrances me procurent 
                    l'espèce d'état de grâce que j'ai éprouvé quelques semaines 
                    auparavant lorsque je me suis rendue compte que mon Maître 
                    jouissait de me voir souffrir (voir 
                    
                     ). Mais j'en
                        suis incapable. Mes douleurs sont trop
                        grandes. ). Mais j'en
                        suis incapable. Mes douleurs sont trop
                        grandes.
 
                    Je suis solidement
                        attachée, à l'aide d'une multitude de
                        courroies de cuir, les jambes bien
                        écartées, sur une des croix en
                        "X" d'un immense chevalet
                        installé en plein centre de la piste de
                        danse du cabaret/club privé dans lequel
                        je me retrouve prisonnière. Mes pieds
                        reposent, à quelques centimètres du
                        sol, sur des plaquettes fixées au bas
                        des branches de la croix. J'ai
                        l'impression que de la manière dont
                        elles sont fixées, ces plaquettes ont
                        pour effet d'accentuer encore plus
                        l'angle de l'arche de mes pieds. Mais,
                        malgré les courroies qui me maintiennent
                        les jambes écartées, tout mon poids
                        repose sur la pointe de mes pieds,
                        chaussés de ces sandales dont les talons
                        ont une hauteur de six pouces bien
                        comptés. 
                    Ma longue jupe noire
                        a été retroussée jusqu'à ma taille ce
                        qui met bien en évidence mes bas en
                        filet soutenus par les jarretelles de mon
                        corset. Mon sexe, qui n'a rien de bien
                        féminin, se retrouve à la vue de
                        l'assistance car, dès mon arrivée au
                        club, mon Maître m'a fait enlever mes
                        petites culottes. C'est lui, que j'avais
                        surnommé "mon
                        gentil monsieur"
                        lors d'une aventure précédante (voir 
                    
                     ), qui m'a
                        attachée dans cette position. ), qui m'a
                        attachée dans cette position.
 
                    J'ai l'impression
                        qu'il jouis de me voir souffrir et de
                        m'entendre crier mais j'ai aussi
                        l'impression qu'il me punit parce que je
                        lui ai avoué, plus tôt dans la soirée,
                        que j'étais jalouse du beau travesti, au
                        corps de déesse, qui sert au bar. C'est
                        cette Pénélope qui. depuis que je suis
                        attachée sur la croix, me sert ces coups
                        de fouet vicieux entre mes jambes
                        écartées. 
                    Cela fait plus d'une
                        demi-heure que je suis attachée ainsi et
                        plus de quatre heures que je me
                        maintient, tant bien que mal, sur mes
                        talons. Mes pieds, mes mollets et mes
                        jambes me font affreusement souffrir.
                        J'ai même l'impression que les douleurs
                        causées par les coups de fouet que je
                        reçois servent principalement à me
                        faire oublier celles causées par mes
                        chaussures affublées de ces cruels
                        talons.  
                    Je suis
                        présentement dans un club échangiste de
                        la rue St-Laurent, à Montréal, où se
                        tient une soirée fétichiste. C'est là
                        où mon Maître m'a donné rendez-vous.
                        Et, si je suis grimpée sur ces échasses
                        depuis le début de la soirée, c'est
                        uniquement parce que j'ai voulu
                        l'impressionner. C'est seulement la
                        troisième fois que nous nous rencontrons
                        et il n'a pas encore tellement exprimé
                        d'exigences en ce qui concerne ma tenue
                        vestimentaire. Mais, comme vous le savez
                        peut-être déjà, je suis folle des
                        chaussures à talons. Et j'ai cru, à
                        tort, qu'il aurait pitié de moi en
                        voyant mes mouvements considérablement
                        restreints par le port de ces chaussures.
                        Malheureusement pour moi, ou bien il n'a
                        même pas remarqué à quel point je me
                        déplaçais dificilement, ou bien il l'a
                        remarqué et éprouve un malin plaisir à
                        me faire tenir debout pendant de longues
                        périodes. 
                    Habituellement,
                        avant de sortir pour une soirée,
                        j'enfile une paire de souliers à talons
                        d'au moins un pouce plus haut que ceux
                        que je planifie porter au cours de la
                        soirée. Ce soir, comme je ne peux
                        marcher sur des talons plus hauts que
                        ceux que je porte actuellement, je les ai
                        mis à mes pieds dès que j'ai eu enfilé
                        mes bas et mon corset. Me basant sur
                        cette expérience, je me croyais capable
                        de les endurer pendant toute la soirée
                        car j'avais bien l'impression que je
                        passerais la plus grande partie du temps
                        assise. 
                    Cependant, lorsque
                        je suis sortie de la maison pour me
                        diriger vers mon auto, je me suis rendue
                        compte que j'étais incapable de faire
                        les quelques pas nécessaires pour
                        l'atteindre. J'ai dû, bien à regret,
                        mettre des escarpins à talons plus bas
                        mais tout en conservant la ferme
                        intention de remettre mes sandales avant
                        mon entrée au club. 
                    Comme j'ai réussi
                        à stationner mon auto à environ cinq
                        cent mètres de l'entrée du club où mon
                        Maître m'a donné rendez-vous, je me
                        suis empressée de les remettre avant de
                        descendre de ma voiture. Première
                        expérience encourageante, dès que j'ai
                        mis un pied sur le trottoir, une jolie
                        femme a remarqué mes sandales et n'a pu
                        s'empêcher de me lancer: 
                    "Comme je vous
                        envie de pouvoir marcher sur de telles
                        sandales. J'aimerais tellement pouvoir en
                        faire autant" 
                    Elle avait l'air
                        tellement pressée, qu'une fois ma
                        surprise passée, je n'ai même pas eu
                        les temps d'engager la conversation avec
                        elle. Ce qui m'a d'ailleurs valut des
                        reproches de la part de mon Maître,
                        lorsque je lui ai raconté mon aventure. 
                    Celui-ci avait
                        exigé que je porte un collier clouté à
                        mon cou et de larges bracelets de cuir à
                        mes chevilles et à mes poignets. Dès
                        que j'ai mis les pieds sur le trottoir,
                        je me suis rendue compte que je devais
                        faire de si petits pas que j'arrivais à
                        peine à avancer. De plus, les attaches
                        de métal, fixés à mes bracelets de
                        cuir faisaient un bruit qui me semblait
                        infernal. Je me sentais tellement
                        humiliée de m'exposer ainsi en public, en
                        attirant autant l'attention sur moi. 
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                    Lorsque j'ai fini
                        par atteindre le premier coin de rue,
                        j'ai dû retourner sur mes pas parce que
                        je n'étais plus sûre de la direction à
                        prendre pour me rendre au club mais,
                        surtout, je n'avais plus le courage
                        d'avancer. 
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                    De retour à l'auto,
                        mes pieds me faisaient déjà
                        affreusement mal mais, comme j'étais
                        déjà en retard, je n'avais plus le
                        choix et, après avoir vérifié
                        l'adresse du rendez-vous, je me suis
                        remise en marche à la plus grande
                        vitesse que me permettaient mes talons. 
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                    Sur le trottoir, il
                        y avait vraiment une foule considérable
                        et, à l'intersection qui se trouvait sur
                        mon chemin, j'avais l'impression que les
                        lumières de circulation ne tourneraient
                        jamais au vert. 
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                    Après ma marche
                        forcée qui m'a paru durer un siècle,
                        j'arrive enfin à l'entrée du club
                        privé. Je suis toute trempée de sueur
                        mais je sens que je vais pouvoir enfin
                        prendre un repos bien mérité. Erreur! 
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                    Mon Maître arrive
                        presqu'aussitôt et nous entrons dans le
                        club. Au lieu de pouvoir aller m'assoir
                        immédiatement, je suis contrainte de
                        rester plantée dans l'entrée pendant de
                        longues minutes, le temps de nous
                        inscrire comme membres. 
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                    À l'intérieur,
                        j'ai enfin la permission de m'assoir pour
                        permettre à mon Maître d'installer ma
                        laisse à mon collier. Cela ne dure pas
                        très longtemps car il m'envoie aussitôt
                        porter une bouteille de vin à la barmaid
                        pour qu'elle la fasse rafraîchir sur la
                        glace. 
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                    Je reviens m'assoir
                        et mon Maître se rend compte que je
                        porte des petites culottes. Il m'expédie
                        immédiatement aux toilettes, à l'autre
                        bout de la salle, pour que je les
                        enlèves. 
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                    Je reviens ensuite
                        à ma place, toute piteuse et bien
                        consciente que mon sexe, qui n'a plus
                        aucune barrière pour le retenir, pointe
                        résolument au travers de ma jupe. 
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                    J'ai à peine le
                        temps de m'assoir que mon Maître tend ma
                        laisse à un inconnu, assis en face de
                        moi depuis que nous sommes arrivés et
                        qui n'a rien perdu de mes manoeuvres.
                        Nous nous dirigeons à l'autre bout de la
                        salle où une belle fille se fait
                        fouetter, attachée sur le gros chevalet
                        formé des deux croix en "X".
                        Je demeure plantée là, sur mes talons,
                        pendant une bonne demie-heure, toujours
                        tenue en laisse par l'inconnu. 
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                    Le spectacle
                        m'excite mais tout mon corps est atteint
                        de convulsions causées par mes
                        difficultées à maintenir mon équilibre
                        sur mes talons mais surtout par la
                        crainte de me faire fouetter à mon tour
                        par un homme que je ne connais pas.
                        J'admet que mon excitation est aussi
                        parfois causée par les baisers de cet
                        inconnu qui ne se gène pas pour insèrer
                        sa langue très profondément dans ma
                        bouche. À mon grand étonnement, je
                        n'éprouve pas la sensation de dégoût
                        que j'imaginais. Faut croire qu'il sait
                        embrasser ce gars-la! 
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                    Enfin, il m'est permis de m'assoir 
                    sur un des tabourets du bar et un verre de vin m'est offert. 
                    Mais cela ne dure pas très longtemps parce que le 
                    propriétaire des lieux nous invite presqu'aussitôt pour une 
                    visite qui nous transporte dans tous les coins
                        des deux étages du club. Ils prennent
                        leur temps. Posent des tas de questions.
                        Marchent plus rapidement que mes talons
                        ne me le permettent. Je dois même
                        négocier des escaliers très abruptes
                        pendant cette visite qui dure presqu'une
                        heure. 
- 
                    À un certain
                        moment, nous nous retrouvons même dans
                        une pièce du sous-sol où se trouvent un
                        lit et des instruments de torture. Mon
                        inconnu, sans se départir de ma laisse,
                        se fait de plus en plus entreprenant
                        pendant que mon Maître semble demeurer
                        indifférent. J'ai vraiment peur de me
                        retrouver en punition quelque part
                        là-dedans. Mais, à bien y penser, me
                        faire attacher sur le lit me permettrait
                        de récupérer un peu. 
- 
                    À notre retour
                        près des croix, une autre fille se fait
                        fouetter. Heureusement, même si mon
                        inconnu me maintient toujours par ma
                        laisse, j'ai la permission de m'assoir et
                        de finir mon verre de vin pendant que
                        nous regardons le spectacle. 
- 
                    À un certain
                        moment, mon Maître et l'inconnu
                        discutent ensemble puis me renvoie
                        m'assoir à l'autre bout de la salle. 
- 
                    Quelques minutes
                        plus tard, l'inconnu vient me retrouver,
                        seul, et s'installe tout à côté de
                        moi. Il est de plus en plus entreprenant.
                        Il dégage ma blouse insérée dans ma
                        jupe et caresse vigoureusement mes
                        mamelons. La présence des anneaux
                        insérés dans ma peau ne semblent pas le
                        ralentir, au contraire. Il me donne des
                        baisers passionnés tout en introduisant
                        une main à l'intérieur de ma jupe pour
                        caresser mon sexe et s'attarder
                        longuement, un doigt dans mon anus. Il
                        sait s'y prendre, le monsieur, avec des
                        femmes de mon genre car je ne peux
                        m'empêcher de râler. Tout en me
                        caressant, il me sussure à l'oreille
                        qu'il veut me pénétrer. 
- 
                    C'est à ce moment
                        que mon Maître revient et que l'inconnu
                        se retire promptement. Je dois tout
                        raconter à mon Maître qui, au fur et à
                        mesure de mon récit, ne semble pas
                        particulièrement heureux. 
- 
                    Il se dirige
                        immédiatement discuter avec l'inconnu
                        et, lorsqu'il revient, il m'informe de ne
                        plus le laisser me tripoter. Je me sens
                        un peu déçue mais je ne peux me laisser
                        aller à ce sentiment très très
                        longtemps car mon Maître attrappe ma
                        laisse et me traîne rapidement vers les
                        croix. Mon intermède sur le sofa à me
                        laisser caresser n'a pas permis à mes
                        pieds de récupérer suffisamment. Au
                        contraire, marcher sur mes échasses me
                        fait ressentir des douleurs aussi
                        intenses que de marcher sur des épines. 
- 
                    À notre arrivée
                        près du gros chevalet, un homme y est
                        déjà en train de se faire fouetter par
                        Pénélope, la barmaid. Mon Maître
                        m'attache presqu'aussitôt sur la
                        croix, en face de cet homme, et il
                        remonte ma jupe à ma taille si haut que,
                        si je n'avais pas déjà si mal, je
                        mourrais de honte d'être exposée ainsi
                        à la vue de tous. 
- 
                    Mon Maître se
                        retire ensuite pour observer le gars se
                        faire fouetter par le travesti. J'ai
                        l'impression qu'il m'a attaché là
                        seulement pour m'humilier et me punir.
                        Mais, quelques instants plus tard, la
                        Pénélope s'amène de mon côté et
                        commence à me caresser les fesses avec
                        son fouet. Puis, les coups viennent plus
                        drus et elle commence à en appliquer
                        quelques-uns entre mes cuisses. Je ne
                        peux m'empêcher de crier tellement elle
                        me fait souffrir, la vicieuse. Lorsqu'elle
                        s'arrête et me laisse récupérer un
                        peu, mon Maître s'introduit entre les
                        deux croix et, avec un large sourire, me
                        dit: 
- 
                    "Tu dois être
                        heureuse de te faire fouetter par ton
                        beau travesti?". 
- 
                    La pensée que je le fais jouir à 
                    crier si fort, suffit à peine à attenuer la rage qui monte 
                    en moi. Elle me fait trop mal et, attachée comme je le suis, 
                    je ne peux rien faire pour me protèger. Et, l'on dirait que 
                    de constater que ce n'est pas mon Maître qui me fait 
                    souffrir m'empêche d'accepter les souffrances et m'enrage en 
                    même temps. De plus, malgré mes efforts, je suis incapable 
                    de dégager mes talons des plaquettes sur lesquelles ils 
                    reposent. Je ne peux donc rien faire pour essayer de faire 
                    porter une partie de mon poids sur d'autres parties de mes pieds
                        et ainsi réduire  mes
                        souffrances. 
- 
                    Pénélope revient
                        encore et ses coups sont de plus en plus
                        vicieux et intenses. 
- 
                    Au bout d'une bonne
                        demie-heure, mon Maître essaie enfin de
                        me libérer. Je ne sais s'il fait exprès
                        mais j'ai l'impression qu'il fait
                        semblant d'avoir des difficultés à me
                        dégager des courroies de cuir. Enfin
                        dégagée, il me signifie que nous allons
                        quitter le club. 
- 
                    Le retour à mon
                        auto est un enfer. Mais, dès que je peux
                        enfin m'assoir, je sens monter en moi un
                        espèce d'état second et je ne peux
                        résister à remonter ma jupe sur mes
                        cuisses et, tout en conduisant, j'en
                        profite pour me caresser. Dès mon
                        arrivée à la maison, je ne peux plus
                        résister et je me laisse aller à
                        l'extase juste avant de défaire les
                        courroies de mes sandales. 
- 
                    Somme toute, j'ai
                        passé une soirée inoubliable. Mon
                        Maître m'a fait vivre plusieurs types
                        d'aventures que je n'avais jamais vécu
                        auparavant et, en prime, à plusieurs
                        reprises, au cours de la soirée, il m'a
                        dit qu'il était fier de moi et que je
                        lui faisait honneur. Je suis également
                        fier d'avoir été complimentée par une
                        passante sur mes chaussures. 
- 
                    Parmi les aventures
                        que je n'avais jamais vécues, je me
                        souviendrai probablement longtemps
                        d'avoir été "donnée" par mon
                        Maître à un inconnu. Sans compter que
                        je ne me serais jamais cru capable de me
                        laisser fouetter en public alors que
                        j'étais dénudée d'une manière aussi
                        humiliante. 
- 
                    Malgré tout, je
                        crois que la partie la plus difficile que
                        j'ai eu à surmonter s'est produit en
                        début de soirée alors que j'ai marché
                        sur mes "échasses" pendant
                        près de deux coins de rue, sur une
                        artère très achalandée, portant
                        collier et bracelets de cuir encerclant
                        mes poignets et chevilles. À cette
                        occasion, non seulement j'attirais
                        l'attention sur moi par mes chaussures
                        inhabituelles mais la quincaillerie
                        attachée à mes chevilles faisait un
                        tintamarre d'enfer. 
- 
                    Si un jour, j'ai à
                        me rendre à une autre soirée
                        fétichiste de ce genre, vous pouvez
                        être sûrs que je ne porterai plus les
                        mêmes chaussures et que je vais tout
                        tenter afin de porter un collet plus haut
                        et une jupe beaucoup plus longue et
                        surtout moins moulante.