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Par Caroline Bernier
Shappy58@hotmail.com
Battue par son conjoint.
Cette histoire est arrivée à mon grand oncle maternel il y a plusieurs années.
Une nuit alors qu'il dormait à poings fermés, il fut réveillé par des coups à
répétition qu'on donnait dans sa porte d'entrée. Il alla répondre et fut surpris
de trouver sur le pas de sa porte une jeune femme essoufflée et apeurée qui lui
demandait de la laisser entrer parce qu'elle était en danger.
Comme tout citoyen voulant aider son prochain il la fit entrer, lui servit un
café et elle lui raconta son histoire. Elle vivait avec un homme depuis 2 ans et
il se trouvait que c'était quelqu'un de très violent. Ils avaient eu une dispute
ce soir-là et il était sorti en claquant la porte pour aller boire à la première
taverne qu'il trouva en ville. Quand il était entré saoul, elle dormait déjà
mais sa rage et le mélange de l'alcool avaient décuplé sa rage. Il la sortit
donc du lit par les cheveux en la frappant. Elle avait réussi à s'échapper et
était venue frapper chez lui pour demander de l'aide.
Mon oncle lui proposa d'appeler la gendarmerie et de porter plainte contre ce
goujat mais, la jeune femme refusa sous prétexte qu'il allait la tuer si elle
faisait une telle chose. Elle lui demanda donc si elle pouvait dormir chez lui
pour cette nuit et que demain, alors que son conjoint se serait calmé, elle
pourrait rentrer à la maison en toute sécurité.
Dans son infinie bonté oncle Pierre accepta de lui faire une place sur le divan.
Il retourna à sa chambre ensuite et s'endormit presque aussitôt.
Le lendemain matin vers les 8 heures il vint au salon pour offrir à la jeune
femme de déjeuner avec lui avant de partir. Il trouva une pièce vide. La jeune
femme était partie sans le moindre bonjour et les couvertures étaient pliées sur
le fauteuil tout près du divan.
Le soir même, Pierre se coucha tôt car la nuit d'avant avait été écourtée par la
venue de la jeune femme. Vers les 22 heures, les mêmes tambourinements que la
veille se firent entendre à sa porte. Il alla ouvrir comme un somnambule.
C'était encore elle le visage tuméfié et le nez qui saignait !! Mais entrez !!
Il vous a encore tabassé ce salaud !! Il voulut l'emmener à l'hôpital et elle
refusa. Il mit donc de la glace sur ces blessures et lui suggéra fortement de
signaler ce fou aux gendarmes! Mais encore une fois, elle refusa. L'amour fait
parfois faire de terribles choses se disait-il mais soit c'était son choix. Ils
parlèrent un moment et encore une fois elle lui demanda de passer chez lui la
nuit. Une seule dernière et unique nuit. Évidemment, mon oncle accepta et ramena
les couvertures sur le divan.
Bien décidé à en savoir plus sur ce fou furieux avec qui elle vivait il lui
demanda son nom. Elle lui dit s'appeler Caren Sheehan mais elle refusa de donner
le nom de son conjoint. Bref il se coucha finalement convaincu qu'il n'en
saurait pas plus ce soir et qu'il tenterait dès le lendemain de la convaincre de
tout dire à la police.
Le lendemain matin, le même scénario se présenta. Caren était partie avant
l'aube rejoindre son homme et comme à son habitude elle avait laissé les
couvertures bien pliés sur le fauteuil tout près du divan. Intrigué, Pierre
décida quand même d'aller raconter à la gendarmerie ce qu'il savait de cette
histoire pour demander aux policiers de surveiller dans le voisinage. Ils leur
donna le nom de la jeune fille et à ce moment, le policier avec qui il était
fronça les sourcils. Il semblait inquiet où du moins il avait un drôle d'air sur
le visage. Mon oncle lui demanda si tout allait bien et commençait à être
inquiet lui aussi.
Le gendarme lui dit qu'il avait déjà travaillé sur une enquête concernant cette
femme il y avait plus d'un an. Il lui montrât des photos de la jeune femme que
Pierre reconnut immédiatement. Il demanda au policier s'il pouvait savoir si
l'enquête avait porté sur le fait qu'elle avait été battue par son conjoint. Il
lui répondit oui et non mon cher monsieur! Oui et non...Pierre ne comprenait pas
ce que le flic tentait de lui expliquer. L'homme lui dit alors, Bien elle
habitait au 80 rue Palmare à l'appartement 8 autrefois. Mon oncle restât muet!!
c'était son adresse actuelle! Donc cette femme avait vécu chez lui et c'est
probablement pour cela qu'elle s'était réfugiée chez lui!!
Non non non! lui dit le gendarme vous ne comprenez pas! Elle vivait à cette
adresse mais elle y est morte aussi ! elle a été assassinée par son conjoint qui
la battait...
Par Sophie
Il y a longtemps,dans un petit village,un scientifique qui essaiyait de trouver une potion qui le rendrait encore plus intelligent.Il croyait que comme ça,il plairait plus au femmes.Il consultat tout les livres des plus grands scientifiques mais il ne trouva pas la bonne formule.Le scientifique devenu plus vieux sans jamais trouver un moyen.Un jour qu'il se promenait dans la rue a la recherche de quelqu'un qui pourrait l'aider,il vit une boutique de potions.Captivé par cette découverte,le scientifique ne vit pas la femme devant lui et il la heurta.Il s'excusa mais la femme,croyait que c'étais sa faute a elle,décida de l'inviter a manger au terrasse d'un petit restaurant.Ils découvrirent qu'ils avaient beaucoup en commun.Ils avaient tout les deux une passion folle pour la science.La femme s'appelait Marianne.Le scientifique lui expliqua qu'il recherchait une potion pour plaire aux femmes.Mais Marianne lui dit qu'il n'avait pas besoin d'une fichue potion pour plaire aux femmes parce que elle le trouvait très beau.Quelque mois plus tard,Marianne et le scientifique décidèrent de se fiancer.Mais Marianne se lassa vite de son fiancé car il était presque toujours enfermé dans son laboratoire au sous-sol en train d'expérimenter de nouvelles formules.Elle décida donc de le quitter.C'est alors que le scientifique,qui était profondément amoureux d'elle,devenu fou.Il se mit a faire une dépression et a commetre des meurtres en série.En faisant cela,il croyait qu'il allait faire revenir Marianne.Un jour qu'il se promenait dans la rue,il la vit enlacer dans les bras d'un autre homme.Il les suivit et nota l'adresse de l'homme.Puis,quand Marianne fût parti,il d.fonca la porte et trancha la tête du nouveau chum de Marianne.On dit qu'il n'a jamais revu son amoureuse après le meurtre.Mais on dit aussi qu'il erre encore dans les rue de ce pauvre village a la recherche de sa bien aimée:Marianne
Par moi
Il y a de cela 3 mois je fêtais mon anniversaire avec 8 de mes amies, Elles(mes amies) étais dans la salle a tv et moi je mettais mon pyjamas dans ma chambre.J`étais dans le noir et j`ai très peur du noir, alors, je décidai de l`allumé une lampe, je n`eu pas le temps d`ouvrire lorsque je vis des éspèces de boules blanche au dessous de moi, j'ai eu très peur, je ne sais pas si c'étais des fantômes, sur le coup j`eu très peur et je couru dans la salle tv, où mes amies étais, j'ai leur ai raconté c'est que je vu mais elles ne m'ont pas cru. Vous allez vous dire que c`est une histoire inventé et que c`est juste du bla bla mais je vous assure que si vous auriez été à ma place vous aurez été morte de peur comme moi.
vous pouvé m`envoyer vos histoires à: gagnon.lachapelle@videotron.ca
Par Sonia, Canada
Bonjour moi ce que je vais vous conter est arrivé à ma grand-mère quand
elle a acheté sa maison à Alma, Lac St-Jean. Elle avait trouver une
belle maison qui convenait a ses gout et en plus elle était moins cher
car 2 ans au paravant le propriétaire s`était tué d`un balle dans la
tête (pour une histoire de divorce) dans la chambre du fond. Mais bon ma
grand-mère s`en fou elle ne crois pas au fantôme mais quand elle a voulu
repeindre la chambre du fond la peinture à commencer a faire des bulles
d`airs et elle ne voulait pas adérer au mur alors ma grand mère dit à ma
tante Lise de venir voir ça et ma tante qui elle croit au fantôme lui
dit que cé le gars qui ne veux pas modifier son environement dans lequel
il est mort. Alors ma grand-mère s`est exclamée haut et fort " veux tu
bien nous laisser en paix maintenant cette maison est à moi et tu ne
m`effraie pas" alors comme pas magie la peinture est redevenue normale.
Entouka moi à chaque fois que je vais là j`ai la chienne et on dirais
que je sents une présence est-ce parce que je suis trouillarde ou bien
il est encore là, mais il ne se manifeste pas????
Par CINDY
E-mail: cindy_britanny@caramail.com
Demain ca va faire un mois que ma mère est décédé. La semaine où elle est morte il a fallut s'occuper de ses biens et c'est ce que nous avons fait. jai pris ces vetements et quelques appareils. mes 2 frères ont pris le reste. elle est morte le 19 juin et le 20 juin j'avais a peu près tout ses choses chez moi. j'ai fais le menage de tout ca. et j'ai trouvé un reveil matin. je l'ai pris et je l'ai brancher. Il était environ minuit et 10. je lai regler pour 6h00 am. parce que javais des examens. j'etais sur le point de m'endormir puis il se mis a sonner. je l'ai fermer et jai dit a ma grand-mère que le cadran avait sonné et pourtant je l'ai regler pour 6h00. bon elle en fit pas trop de cas. je suis retournée me coucher. 10 minutes plus tard il sonna. il a fait plusieurs fois.
j'avais pas mal peur. et comme j'ai pas mal d'imagination je m'étais dit que ca devait être ma mere. et pendant que je pensais il a resonner j'ai eu tellement peur que je me suis facher et je me suis a dire a mon reveil , plutot a ma mère , d'arreter de faire ca parce que j'avais peur. j'en ai parler à ma tante et ma grand-mère et a une autre tante. Elles m'ont dit que quand quand quelqu'un meurt son ame erre 3 jours. elles m'ont dit aussi que ma mère n'etait surment pas en paix parce qu'une de mes tante a senti la presence de quelqu'un dans sa maison et que c'était surment celle de ma mère. cette semaine ma grand-mère lisait le journal et le coin de la page s'est soulever un peu. Ma grand-mère est tellement habituée quelle dit que si on veut que ca l'arrete il faut prier pour que son ame soit en paix. elle se manifeste parce quelle n'avait pas finit d'accomplir ce quelle avait commencer sur la terre. j'espere quelle trouveras la paix rapidement parce que ca fait peur savoir quelle est presente et quelle n'est pas heureuse.
Par Marie-Annick Dufour
Email Mimi_cool4ever@hotmail.com
Par une belle nuit d'été chaude, Julie et son copain se baignait nus dans la piscine familiale, chez Alain, le copain en question. Ils avaient rêvé de se jour depuis longtemps. Entrelacés depuis quelques minutes, ils entendirent des bruits dans le buisson, mais n'y portaient plus ou moins attention. Ils étaient si bien. Puis, Julie pencha la tête pour embrasser son copain et elle s'aperçu que ce dernier n'avait plus de tête, quelqu'un lui avait tranché. Dans un moment de panique, elle débarqua de la piscine et couru jusqu'à l'intérieur de la maison pour avertir ses beaux-parents. Rendu à l'intérieur, elle fit un face à face avec son beau-père qui avait les mains ensanglantées.
Par moi
C'est l'histoire de ma cousine Claudia. Un soir Claudia décida d'invité deux de ses amies pour jouer au jeu d'esprit (ouija). Avant, que les amies arrivent, sa mère decida partir pour prendre un café avec sa mère. Et elle à dit à claudia quelle n'aporterais pas ses clés. Donc, elle partie. À peut-près, 15 minute plus-tard les amies de Claudia arrivèrent.
Pour faire plus éffréyant elles allèrent jouer à L'ouija dans la cave et avant d'aller à la cave Claudia vérouillère toute les portes et ferma tout les rideaux.Une demi heure plus-tard, Claudia et ses amies remontèrent de la cave et elles se dirent que se jeu ne vallait pas grand chose puisse qu'il ne s'était rien passer.Mais lorsqu'elles leva les yeux tout les rideaux de la maison était ouvert.
Alors, Claudia pensait que sa mère était arrivé mais non elle n'était pas arrivé.
DONC, C'EST LÀ QUEL S'APPERÇU QU'UN SPRITS ÉTAIT VENU LES RENDRE VISITE!!!
Par Philippe B.
C'est l'histoire d'un tueur qui tue en decapitant les gens. Tous le monde en parle a la radio et a la t.v. alors personne ne sort de chez lui .mais un couple qui n'est pas au courant sort de chez lui et tombe en panne dans un coin perdu. Alors l'homme descend de la voiture pour aller chercher une dépanneuse et sa femme inquiète le mais en garde. Apres plusieurs heures, la femme inquiète et elle réussit a appeler la police.Elle explique son histoire et dit dans quelle rue elle se trouve. Alors la police lui dit, de surtout rester dans sa voiture et de ne pas se retourner. alors la femme très curieuse et inquiète se retourne et vois le tueur et son mari décapiter accrocher a un piquet de bois.
Par Cindy
Cette histoire est arrivée a ma cousine. il y a 3 ans , sa mere est decede (au moi de juin).ma cousine avait un chum , ca faisait quelques mois qu'ils etaient ensemble et cela semblait durer malgré qu'ils n'etaient pas tres vieux. ils avaient 12½ et 13 ans.
un soir , (un mois apres que sa mere soit decede) pendant que son pere n'etait pas a la maison elle invita son chum. ils allerent dans le salon , mirent de la musique et ils s'embrasserent. la passion y etait, les 2 allaient sengager pour aller plus loin dans les carresses. soudainement le volume du radio augmenta jusqu'au maximum et la lumiere du salon s'ouvrit et se refermere, ma cousine et son chum se lacherent. ils partirent de la maison en courant sans mettrent leurs souliers. ils allerent chez de la parenté a ma cousine qui n'etait pas tres loin de la. plus tard.. quand jai su cette histoire, ma grand mere me dit que sa mere etait decede dans la salon et que sans doute elle voulait empecher sa fille d'aller plus loin coté sexe à cette age la!
Par Nancy et Richard
Cette histoire est vrai et je veux partager mon cauchemard avec vous.
Toute cette histoire c'est passer a Chicoutimi au Saguenay l'année dernière. Moi et mon conjoint venions de déménager en plein centre ville dans une maison à 2 étages. Il y avait 2 logement en haut et nous nous avions le bas au complet. Cette maison avait 73 ans et tout était rester comme les tout premiers occupants l'avaient laissée c'est a dire que les tapis étaient les mêmes, que les moulures qui faisaient le tour de la maison étaient elles aussi les mêmes. Dans cette maison, il y avait de très grande pièces, un plafond de 9 pieds et une cave. Cette cave était rester sur la terre et une forte odeur d'humidité et de moisissure s'en dégageait quand on ouvrait la porte qui se trouvait dans la salle de bain. Cette porte avait 3 crochets pour la tenir solidement fermer.
Sans poser plus de questions, moi et mon mari avont emménager nos meubles et fait quelques modifications tel que la peinture. Un soir, pendant que je lavais les fenêtres, j'ai entendu un bruit qui venait de la cave. J'avais la frousse mais comme il y avait les chauffe-eau en bas, je me suis dit que c'était probablement un chauffe-eau qui venait de rendre l'âme. J'ai attendu environ 3 heure et j'ai regarder si j'avais de l'eau chaude pour prendre un bon bain. Il y avait bien de l'eau chaude dans le robinet de la cuisine. Je me suis donc dirigée dans la salle de bain et j'ai encore entendu un bruit venant toujours de la cave. Je me suis assurer que les crochets étaient bien fermés et ils l'étaient. Je fit donc couler mon bain quand tout a coup, je me rend compte que l'eau était de couleur rouge-brun avec une odeur très fétide, une odeur de mort. J'ai donc cesser l'eau et j'ai appeler mon mari pour qu'il revienne a la maison, que c'était URGENT.
Après environ 30 minutes, mon conjoint arrivait. Je lui ai donc raconter ce qui s'était passer et je lui ai montré comment était l'eau du bain. En ouvrant le robinet du bain, l'eau était de couleur clair. Nous avont donc téléphonner au propriétaire qui nous louait cette maison, il s'est rendu chez moi. Il est dessendu a la cave mais il n'y avait rien d'anormal.
Le landemain, je discutais avec ma voisine qui devait bien avoir 80 ans, elle était veuve et elle me racconta que les premiers propriétaires étaient des gens très bizarres. L'homme était très violent et qu'il battait sa femme régulièrement. Il lui a fait 4 enfants et la pauvre femme était obliger d'accoucher dans la cave. Un jour, il aurait battu tellement fort sa femme qu'il la tua et que pour éviter les problèmes, il l'enterra dans la cave.
Je ne croyais pas a cette histoire et mon mari non plus, ça ce passait juste dans les films.
Nous avons habiter pendant un an dans cette maison et a tout les jours, il y avait des bruits bizarre dans le cave jusqu'au jour ou j'en ai eu asser et que j'ai fait venir le propriétaire pour lui faire part que j'avais l'intention de faire creuser pour savoir ce qu'il se passait la dessou. Il accepta et nous avons fait la macabre découverte d'ossements enterrés a coté du chauffe-eau.
Evidemment, nous avons déménagés de cette endroit maudi. Je suis retourné a cette maison pour aller chercher du courier et les autres locataires qui habitaient la maison m'ont demander su j'avais des problèmes avec le chauffe-eau, je lui ai demander POURQUOI ? et ils m'ont raconter qu'ils entendaient des bruits venant de la cave. Tout comme moi, ils ont fait venir le propriétaire et ils ont fait creuser de l'autre coté du chauffe-eau et ils ont fait la découverte des ossements de 4 petites personnes, probablement des enfants.Les locataires ont plier bagages et ont quitter la maison.
Encore aujourd'hui, bien qu'elle soit encore libre après 1 an, la maison est la légende du cartier et personne ni même la vieille dame de 80 ans laissera de nouveaux locataires s'y installer.
Par valérie
C'est l'histoire d'une jeune fille de 15 ans qui s'apelle Rosalie. Rosalie est orpheline, mais elle vit avec sa tante. Ses parents sont morts en allant en canoe sur le petit lac juste en arrière de chez sa tante. Elle n'aimait pas beaucoup sa tante, mais ne la méprisait pas non plus. Un jour sa tante tomba malade. Rosalie s'en occupait, mais elle ne passait pas 100% de son temps à s'occuper de sa tante. Le cas de sa tante se détèriorait. Elle n'eu pas le choix d'appeler un médecin. Le verdict: sa tante avait le cancer du coeur. Depuis cette triste nouvelle sa tante se berçait de 7hrs du soir jusqu'à minuit et Rosalie entendait les grincements de la vieille chaise. Un jour la tante était à l'artie de la mort elle fit venir Rosalie et lui dit:« À ma mort, je ne veux pas que tu jette mon corps à l'eau j'ai très peur de l'eau.»Puis quelques instants après elle mourut. Rosalie laissa le corps de sa tante sur son lit mais quelques jours après ça commençait à empester. Elle n'eu pas le choix de jeter le corps à l'eau. La nuits suivante, elle entendit les grincements de la vieille chaise berçante. Elle alla voir apeurée, elle vit la chaise qui se berçait tout seule et une voix qui disait et répétait:«Je t'avait dit de pas me jeter dans le lac». Rosalie entendait la voix à chaque nuits. Puis un jour elle de vena folle et à chaque fois que quelqu'un allait frappé à sa porte elle l'assomait et le noyait dans la baignoire puis jetait son corps à l'eau(dans le lac). Certains disent qu'elle est morte, d'autre disent qu'elle s'est suicidé et d'autres disent qu'elle hante toujours sa petite maison et GARDE À CELUI OU CELLE QUI FRAPPERA À SA PORTE!
Par Jane Lane
Cette histoire me fut conté lorsque j'eus mon chien. Elle est arrivée, il y a déjà plusieurs année et elle n'est pas très connu. Au bord d'une falaise, une jeune fille avait l'habitude de s'y arrêter pour regarder le paysage avec son chien à ses côtés. Un jours, le chien se sauva et la jeune fille partie à sa recherche. Elle le trouva sur à la bordure de la falaise, regargant droit devant lui et jappant aux étoiles. La jeune fille s'approcha et vit son chien tomber en bas de la falaise. Sa mort fut instantané! La jeune fille, boulversée par la perte de son animal domestique, retourna chez elle, les yeux en larmes. Durant la nuit, elle entendit un jappement atroce qui la réveilla de ses rêves. Il ressemblait énormément à celui de son chien. Il semblait que le jappement provenait de l'extérieur de la maison. La jeune fille sortie et suivie les jappements jusqu'à la falaise. Aussitôt arrivé là-bas, elle vit son chien qui la regardait d'un air heureux. Elle s'approcha pour voir s'il était bien vivant mais tomba en bas de la falaise. On découvrit son corps, le lendemain matin, mais celui du chien était disparu. Par la suite, à chaque année, le chien apparait au bord de la falaise et toute jeune fille voulant l'approcher, tombe en bas.
L'histoire se passe en 1994, dans une vieille
maison de Sainte-Catherine. Sarah venait d'y emménager
avec sa famille, soit son père, sa mère et sa soeur
aînée, Véronique. Sarah fréquentait la polyvalente et
sa soeur allait au collège. Chaque jour, les nouveaux
amis de Sarah lui racontaient une horrible histoire au
sujet d'un petit garçon mort, plusieurs années plutôt,
dans la salle de bain de la nouvelle demeure de Sarah.
« Le petit garçon est mort dans la baignoire,
électrocuté par le poste de radio qui est tombé dans
l'eau ! » disaient-ils.
Évidemment, Sarah n'était pas troublée par cette
histoire, si ce n'est qu'un léger frisson la
parcourait chaque fois qu'elle devait aller à la salle
de bain. Selon ses amis, le fantôme du garçon hantait
la maison depuis sa mort. C'était pour cette raison
d'ailleurs que personne ne voulait rester longtemps
dans cette maison.
Un soir, alors que Sarah tentait en vain de se
concentrer sur ses travaux scolaires, elle entendit
des hurlements qui provenaient de la salle de bain,
situé au bout du couloir. C'était la voix de
Véronique. Sarah sortit de sa chambre et se précipita
vers la salle de bains, tenta d'ouvrir la porte, mais
elle était verrouillée. De plus, les cris avaient
cessés. Cependant, Sarah était effrayée. Elle
tambourinait à la porte, criant le nom de sa soeur,
mais Véronique ne lui répondait pas.
Ameutés par les cris, les parents de Sarah montèrent
précipitamment à l'étage et son père enfonça la
porte...
... ils virent alors Véronique, étendue dans la
baignoire, ses yeux vitreux fixant le plafond sans le
voir. Elle était morte. Un séchoir à cheveux était
dans l'eau du bain et fumait encore.
Pendant les jours qui suivirent, Sarah et ses
parents, qui étaient incapable de vivre plus longtemps
dans la maison où Véronique était décédée, cherchèrent
une maison dans les environs de Sainte-Foy. Toutefois,
ils ne trouvèrent pas de maison et le seul appartement
intéressant ne serait disponible que dans une semaine.
Ils passèrent donc encore quelques jours de plus dans
la maison.
Une nuit, Sarah se réveilla en sueur après avoir
fait un terrible cauchemar. Elle se leva sans bruit et
se rendit à la salle de bain pour prendre un verre
d'eau. En se regardant dans le miroir, elle eut le
souffle coupé: derrière elle, assis sur le bord de la
baignoire, se trouvait un petit garçon d'une pâleur
incroyable. Le contour de ses yeux et de sa bouche
était bleuté. Un mince filet de sang coulait de sa
lèvre inférieure jusqu'à son menton.
Sarah se retourna d'un bond et regarda la
baignoire, mais il n'y avait personne. Elle regarda à
nouveau dans le miroir et vit avec horreur que le
petit garçon était toujours là, dévisageant Sarah de
ses yeux morts. Alors, très lentement, il leva une
main et pointa un doigt accusateur en direction de
Sarah et remua les lèvres.
« Tu es la suivante », put lire Sarah en regardant
les lèvres bouger.
Le lendemain, Sarah et sa famille quittaient la
maison de Sainte-Catherine pour ne plus jamais y
retourner.
Alain, Québec
Par: Julie Ouellette
Cette histoire est arriver dans la famille de ma mère.
Son oncle venait de mourrir et tout la famille était réuni chez cet personne,de sont vivant il aimait beaucoup faire rire ses petits enfants.
Et a cette journée ou il était tous réuni une de ses petites filles agé de 2 ans viens voir sa mère et elle lui dit " Maman gran-papa me fait rire" sa mère va lui demander ou a tu vu ton grand-père alors le petite fille l'emporte dans la chambre de ses grand-parent et montre le lit et dit " Ha grand-papa est parti"
Une petite fille 2 ans n'aurait pas inventer cette histoire....
Les cinq pleureuses
C'était à l'époque de la seconde guerre mondiale. Alors que plusieurs hommes se mariaient pour échapper à la guerre, certains d'entre eux se fiancaient en promettant de revenir vivant à leur amour, promesse que beaucoup ne tenaient pas. Dans un petit village du Québec, cinq jeunes filles s'étaient vu promettre un mariage dès que leurs courageux fiancés reviendraient. Biensûr, ignorantes des danger que ceux-ci couraient et comme la plupart des gens, persuadées que la guerre finirait bientôt, alors qu'elle venait de commencer, elles ne s'en faisaient pas trop. Après quelques semaines, elles étaient très inquiètent de cette guerre qui n'en finissait pas à leurs yeux, mais les lettres de leurs amoureux leur prouvaient qu'ils étaient encore vivants. Après deux mois cependant, l'angoisse se mit de la partie. En effet, malgré le support morale de leurs familles, elles se mirent à désespérer. Depuis presque un mois, pas une seule lettre, pas une nouvelles de leurs chéris. Trois mois après leur départ, une lettre leur parvint finalement. Tant d'attente et de projets réduits à néant par trois mots. Tant d'espoir et d'amour détruits par une seule bombe. Le champ d'honneur ne représentait rien pour elles qui auraient préféré des maris déserteurs. Cinq vies annéanties pas trois mots: "Ils sont mort". Alors, les cinq courrurent sur les roches dans la forêt. Ces roches au pied desquelles ils avaient promis de revenir. Et elles pleurèrent là des jours entiers. Elles ne se marièrent jamais et à chaque années revinrent à cet endroit pour pleurer . Et même après leur mort, et encore aujourd'hui, les gens qui passent près de ces roches assurent qu'ils les entendent encore pleurer...
Par: Diane, St-Hubert (Québec)
Cette nuit-là, je me trouvais à bord de ma voiture en compagnie d'une amie. De retour d'une fête, nous roulions vers la maison et devions de ce fait emprunter une route de campagne négligement éclairée. Suite à ces réjouissances, nous étions toutes deux passablement épuisées. Il nous tardait donc d'être de retrour à notre foyer respectif. Ajoutant notre empressement au fait que la route était complètement déserte à cette heure tardive, je pris le parti d'appuyer plus qu'il ne fallait sur la pédale d'accélération.
Nous roulions donc à grande vitesse lorsque tout à coup, nous pûmes apercevoir tout juste à quelques pieds devant la voiture, une femme agitant les bras avec frénésie en guise de signe d'arrêt.
Nous savions que même en freinant immédiatement il était impossible d'éviter de heurter cette femme car elle était beaucoup trop près de la voiture et de plus, comme mentionné ci-haut, nous nous déplaçions trop rapidement. Bien entendu, je mis tout de même le pied sur le frein et j'ai ensuite fermé les yeux attendant avec horreur l'impact à venir.
Lorsque l'auto s'immobilisa, nous constatâmes que la dame n'était plus visible. Nous sommes donc immédiatement sorties du véhicule et avons débuté les recherches. Nous avons fait le tour de la voiture, inspecté les profondeurs du fossé et avons même regardé sous l'auto mais la dame aperçue sur la route demeurait introuvable. Complètement désorientée par la situation, je décida d'aller vérifier un peu plus loin sur la route.
C'est ainsi que je m'aperçus que le pont qui aurait normalement du relier les deux routes était manquant. Je compris alors que tout premièrement la dame rencontrée était sans l'ombre d'un doute un fantôme et que celle-ci par son apparition impromptue nous avait épargné un grave danger
Par Lucie Roy Cartierville (Montréal)
Ceci est une histoire qui m'était arrivé il y a deux années.
C'était 6 mois après la mort de mon grand-père, je marchais dans la rue pour aller à la bibliothèque avec Julie (une amie de l'école) soudain j'aperçus mon grand-père marchant à quelques pied devant moi. Je lui hurla de m'attendre puis je m'empressa de le rejoindre et je quitta Julie. Mais plus j'avançais et plus rapidement lui-même se déplaçait. De ce fait je ne parvenais pas à l'atteindre. Soudainement, je le vis tourner le coin de la rue adjacente. Je me hâta de le suivre dans cette direction mais lorsque je parvins à l'entrecroisement des routes j'ai entendu une voiture qui roulait à grande vitesse freiner d'un coup sec je me suis rendu compte que la voiture venait de heurter mon amie. Elle mourut dans le coup...
L'esprit de mon grand-père voulait me prévenir de l'accident.
De Nicolas Schlosser, Delme
Bonsoir ,
Voici une histoire horrible, depuis trop longtemps
oubliée ...
C'était une nuit, pareille à
celle-ci, emplit de brumes lourdes et épaisses.
Philippe déambulait dans une rue très
sombre, comme chaque nuit d'ailleurs.
Philippe était un sdf (sans domicile
fixe) insomniaque très sympathique aimé de tous dans le quartier
de Pensilvanie.
Mais cette nuit, il ne sentait pas très
bien, il avait trop chaud, il étouffait même. Généralement
en automne les nuits sont fraîches, mais là... cette chaleur
… Il continuait de marcher quand il découvrit un vieux thermomètre
sur le rebord d'une fenêtre, il alluma sont briquet et resta stupéfait
il faisait 35°c !!! En pleine nuit du 3... Lorsque sa pensée
fut interrompu par... le sol... il devenait brûlant lui aussi...
ses chaussures... ses semelles fondaient... il se retrouva ainsi collé
au macadam qui fondait de plus en plus sur une distance énorme et
à une vitesse terrifiante...
Puis une sorte de siphon se forma au centre
et aspira toute la chaussée jusqu'aux pieds du pauvre Philippe.
Une lueur orangée en jaillit, suivit d'une chaleur encore plus intense...
Philippe sentait sa peau fondre sur ses joues, ses doigts se transformèrent
en gelée noircie, ses yeux coulèrent des orbites, son nez
disparu, comme aspiré par le reste du visage... Ensuite, se fut
son corps entier qui se transforma en bouillie humaine enfuie sous un fin
amoncellement de vêtements ! ! !
A ce jour la route à été
reconstruite et l'histoire de Philippe oublié.
Mais, une chose est sûre il ne faut
jamais se promener seul dans les rues la nuit du 31 ... aaaarrrggghhhhh
De Élizabeth, Québec
La dame blanche
Une histoire bien connue mais qui donne quand
même des frissons...
C'était il y a longtemps, on racontait
des histoires sur une certaine dame blanche.
Des chauffeurs auraient aperçu sur
la route, une jeune fille très belle et qui semblait très
pâle, presque fantomatique.
Cette jeune fille faisait du pouce pour pouvoir
retourner chez elle.
Un chauffeur l'aurait embarquée et
lui avait demandé ou elle allait. Elle lui donna l'adresse. Alors
le chauffeur la conduisit à l'endroit indiqué car lui aussi
se rendait dans les alentours du même endroit.
Pendant tout le long du trajet la jeune fille
demeurait silencieuse et répondait à peine aux questions
que lui posait le chauffeur, qui voulait se montrer sympathique. Il ne
réussit qu'à savoir son nom; Margaret.
Arrivés enfin à destination
le chauffeur se retourna pour dire à la jeune fille qu'ils étaient
arrivés mais...elle avait disparu ! Intrigué, le brave homme
alla frapper à la porte de la demeure que la jeune fille lui avait
indiquée. Une vieille femme à la mine fatiguée répondit
et lui demanda, sur un ton brusque, ce qu'il voulait. Il lui demanda si
une certaine jeune fille répondant au nom de Margaret vivait ici.
La vieille femme parut effrayée mais
répondit: "Oui, il y avait bien une Margaret qui vivait ici il y
a bien longtemps. Un jour, alors qu'elle faisait de l'auto-stop sur le
bord de la route, un homme l'embarqua et l'assassina. Elle ne put jamais
retourner chez elle et depuis ce temps, à chaque année, elle
revient, sur le bord de la route et essaie de revenir chez elle afin de
connaître le repos éternel".
De Nicole Gagné, Canada
La plante de Miranda.
Il y a environ de cela 5 ans, une amie avait
reçu une plante provenant d'un pays exotique.
C'était une immense plante verte avec
une espèce de grosse bulle dure en-dessous de la fleur orange.
Elle devait mesurer 10 cm de diamètre!
Un soir, alors que tout est silencieux dans la maison, elle décide
d'arroser sa plante.
Vers onze heures, Miranda(le nom de ma copine)décida
d'aller se coucher.
Miranda a un petit problème de sommeil.
À chaques fois qu'un bruit se fait entendre, elle se réveille.
C'est ce qui arriva.
Un bruit comparable a celui d'un cri aigu
se fit entendre quelques minutes après qu'elle ait fermé
la lumière.
Le bruit en question provenait de la cuisine.
Miranda sortie de son lit, enfila ses pantoufles
et se rendit a la cuisine.
Plus elle approchait de la cuisine, plus le
son était persistant.
La bulle de la plante grouillait.
Miranda sortit un énorme couteau et
le pénétra à l'intérieur de la bulle.
Des milliers de petites araignées sortirent
de l'enveloppe...
Je peux vous dire que Miranda a payé
cher en exterminateur...
HA!!!!!!!!!!!!!
De Christine Tardif, Canada.
Grand-père.
Un beau dimanche d'avril, Mélanie pensa
à son défunt grand-père dcd 5 ans plus tôt.
Dans ces moments de tristesse il lui arrivait
très souvent de lui parler, en espérant d'une façon
( et d'une autre non!) que sont grand-père lui réponde ou
lui fasse signe.
Cette même nuit, couché dans
sont lit, lui parlant à voix haute, elle lui raconta sa journée,
ses hauts et ses bas, ses tristesses... après 30 minutes, elle senti
le sommeil la gagner.
Elle avait les yeux fermé depuis 5
minutes que le chien, debout sur le lit, ce mis à japper en direction
de la porte de garde-robe.
Eveillée de peur, elle lui lança
un oreiller et lui ordonna de ce taire, mais trop tard, le mal était
fait.
Les murs craquaient, le vent sifflait entre
les vitre de la fenêtre...et le chien grondait contre cette saleté
de porte de garde-robe.
Son cœur se mit à battre dans la poitrine,
tellement fort qu'il lui cognait dans les oreilles.
Mélanie sortit son nez de dessous des
couvertures et regarda vers la porte. Elle ne voyait pas grand chose dans
le noir, mais le chien, raide comme un piquet, fixait cette satanée
garde-robe. Malgré les avertissements à son cabot, grognant
jappant, elle alluma la lumière.
Aussitôt, le chien se recoucha, fatigué
et le poil hérissé. Mélanie dit bonsoir à son
grand-père et lui souhaita bonne nuit, ajoutant que tout allait
bien et n'avait pas besoin de sa présence.... Refermant la lumière,
elle se rendormit.
La morale? Quand on parle à un mort,
ne pas oublier de leur dire au revoir pour ne pas qu'il se croit obliger
de rester pour la nuit.....
De Zoé Cadé, Colmar
C'est une femme qui a un labrador et tout
les soirs avant de se coucher elle caresse la tête de son chien.
Un soir comme tout les soirs elle caresse
la tête de son chien et va se coucher.
Là elle entent un bruit : tic tic tic.
Elle va à la cuisine voir si le robinet
est bien fermé : oui !
Elle caresse la tête de son chien est
va se recoucher.
A nouveau elle entent : tic tic tic.
Elle va à la salle de bains : tout
est en ordre.
A nouveau elle caresse son chien et va se
coucher.
Encore une fois, elle entend : tic tic tic.
Elle va aux toilettes et là elle voie
la tête de son chien accrochée avec les gouttes de sang qui
tombent en faisant tic, tic, tic.
Elle avait caressé la tête de
l'assassin !!!
De Pixelle, France.
C'est des garçons d'environ 12 ans
qui décident de faire une frayeur à tous les inconnus qui
passeront sur la colline le soir d'Halloween.
Pour ce faire, ils décident de pendre
un fil de pêche du grand frère de l'un d'eux.
Sur la colline, se trouvent deux grands arbres,
un de chaque côté du chemin qui traverse la colline.
Le soir, ils grimpent chacun dans un arbre
avec un bout de fil, s'installent et attendent.
La première personne qui passe en dessous
d'eux … et son chapeau tombe, retenu par le fil. La pauvre victime s'enfuis
comme si elle avait le feu aux fesses.
La seconde, pareil. La troisième, idem.
Ils attendent pratiquement une heure avant
que le quatrième passant arrive à leur portée. Ils
descendent le fil, essayant de calculer la hauteur du type. Mais il s'approche
trop vite, et il est trop grand. Ils retiennent le fil sous la grande tirade
du chapeau, pensent-ils.
Et ils entendent un grand BOUM. Ils descendent
de leur arbre, regardent le sol.
La tête du pauvre homme finit de dévaler
la colline et le corps se trouve à leurs pieds, effondré
et sans tête.
De Lyne Bisson, Canada
Arianna
Il y a très très longtemps,
dans un petit village abandonné de l'Espagne, une femme avait accouché
d'un petit garçon qu'elle nomma Ricardo. Elle est morte deux jours
après l'accouchement. Son fils a grandi, et son père essaya
mais en vain de lui trouver une bonne mère pour l'élever
convenablement. Le père de Ricardo, Louis, avait été
marié avec des douzaines de femmes, mais elles avaient de la difficulté
à vivre avec ce petit garçon un peu délinquant. Son
père était en train d'abandonner quand....se présenta
Arianna.
Bien sûr, Arianna était si séduisante
et raffinée que Louis tomba follement amoureux. Elle était
sa voisine et il la regardait sans cesse. Puis elle fit sa connaissance
et elle aussi l'aimait beaucoup. Il décidèrent donc de se
fiancer tout de suite. Elle était douce, calme et si sympathique
! Louis était sûr qu'Arianna serait une excellente mère
pour son fils chéri. Mais Louis se trompait. ..
Arianna prétendait qu'elle trouvait
Ricardo adorable. Mais elle mentait. Elle se maria avec Louis et maltraita
le pauvre Ricardo. Elle avait marié Louis seulement pour l'argent,
mais personne ne s'en doutait car elle paraissait SI gentille...seulement
elle ne l'était pas du tout! Puis Ricardo essayait de dire à
son père qu'Arianna n 'était pas une femme pour son père
mais il refusait de l'entendre.
Un jour, il lui donna même une gifle
pour qu'il arrête de dire cela à propos de sa femme chérie.
Puis Ricardo grandit. Quand il eût atteint l'âge de 16 ans,
il décida de partir du foyer pour déménager en France.
Mais avant, il savait ce qu'il avait à faire avant de partir : tuer
Arianna avant qu'elle ne fasse du mal à son père. Alors il
prit la hache de son père et trancha la gorge d'Arianna. Il partit,
en ne le disant même pas à son père. En ce moment,
il est mort. Mais beaucoup de Français prétendent qu'il sort
la nuit, très tard, et il coupe les têtes de femmes méchantes.
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