Quand un citoyen est en danger, il appelle la police.
Quand un policier est en danger, il appelle le SWAT.

Le degré de violence des crimes et la fréquence de ceux-ci augmentant sans arrêt depuis plusieurs années, les agences chargées de l'application des lois sont maintenant confrontées à des événements qu'ils jugeaient autrefois impossibles. C'est pour cette raison que la plupart des grandes villes du monde disposent aujourd'hui d'équipes SWAT, ou ont au moins accès à elles. Ces équipes peuvent prendre plusieurs nom. Par exemple, au Québec nous les appellons Groupe Tactique d'Intervention, en France Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale, etc.

Soumis à un entrainement rigoureux, ces tireurs d'élites se spécialisent dans les missions impossibles. Leur tâche: arrêter des individus violents qui opposent une résistance aux forces de l'ordre. Ils le font des milliers de fois par année. Les équipes SWAT sont appellées à intervenir lors de situations présentant des risques pour la vie trop élevés pour des agents de police normaux. Les exemples les plus courrants sont les prises d'otages, mais d'autres situations tel les perquisitions et les services de protection à risque élevé surviennent assez fréquemment. Étant parfois utilisées en dernier recours, les équipes SWAT se doivent de faire preuve d'un haut niveau de compétences, d'où la nécéssité d'un entraînement intensif et d'un équipement diversifié.

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