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LES COMMÉRAGES DE JACK O'NEILL (4) : Jack regarde trop la télévision © Xeen – janvier 2002 note de l'auteure : Allez vite lire les merveilleuses petites histoires de Wendy Parkinson intitulées elles ont inspiré cette série. Genre : parodie/humour (lisez le numéro 3 si vous voulez comprendre quelque chose… pour résumer, SG1 a rapporté des dvds d'une réalité alternative) Les épisodes mentionnés The Broca Divide / La théorie de Broca The First Commandment / Premier commandement Brief Candle / Les désignés Cold Lazarus / Double Thor's Hammer / Le marteau de Thor Disclaimer : comme d'habitude, les persos ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de MGM, Gekko Prod, Paramount et tous ceux qui le revendiquent !! Je ne fais que m'amuser et je ne reçois pas d'argent pour écrire ces ff. * "Major Carter, je vous charge de transmettre toutes ces informations au colonel O'Neill puisqu'il ne juge plus nécessaire d'assister au briefing. Départ à 13:00 heures. Bonne chance !" "Merci mon général." Hammond sortit de la pièce et retourna dans son bureau le front bas. Son ordonnance qui arrivait les bras chargés de dossiers rebroussa chemin subrepticement pour échapper à la tempête. "Vous savez ce qui est arrivé au colonel ?" demanda Sam en rangeant ses documents. "Aucune idée ! Il est parti de chez moi avec Teal'c hier soir." "O'Neill m'a déposé à la base avant de rentrer chez lui," confirma le Jaffa. "Je préférerais que vous lui passiez un coup de fil Daniel. J'ai pas mal de choses à mettre en ordre avant notre départ," dit Sam le regard suppliant. "Je fais ça tout de suite," répondit Daniel en souriant. Il vérifia l'heure à sa montre-bracelet. 9 heures 28. Même si la ponctualité n'était pas le deuxième prénom de Jack, il assistait toujours aux briefings. La sonnerie s'égrenait dans le vide et il s'apprêtait à raccrocher quand une voix mal assurée répondit. "… O'Neill…" "Jack ? Vous êtes chez vous ?" "C'est vous Daniel ? Quelle perspicacité ! Où voudriez-vous que je sois à cette heure-ci ?" "Jack vous venez de rater le briefing. Il est 9 heures et demie et nous partons dans un peu plus de trois heures. Le général…" "Quoi !! Et c'est maintenant que vous m'appelez ?" s'écria Jack en raccrochant. "… était furieux. D'accord… il a raccroché," conclut-il en se tournant vers Teal'c. * Jack fonça sous la douche, finit de s'habiller en marchant et sauta dans sa voiture. Il démarra pied au plancher et 20 minutes plus tard fit une entrée triomphale dans le laboratoire de Carter. "Alors Carter ? Je vous ai manqué," dit-il mi-figue mi-raisin avec une petite grimace. "Mon colonel ! Daniel a réussi à vous joindre ? Le général était furieux ! Nous sommes prévus pour 13 heures. Il s'agit d'inventorier la flore de P8X-453." "La flore ? C'est pour ça que Daniel m'a réveillé ? C'est pas vrai ?!" "Réveillé ? Vous avez des problèmes de sommeil mon colonel ?" "Pas jusqu'à hier soir Carter. D'ailleurs, il faut que j'en touche un mot à Daniel. Il ne perd rien pour attendre…" "Vous ne voulez pas m'en parler mon colonel ?" "Pas à vous Carter… heu… je veux dire que je préfère régler ça avec Daniel d'abord, si vous le permettez. Alors, à plus tard, hein ?" L'attitude du colonel laissa Carter perplexe. Cependant elle se remit aussitôt au travail et oublia rapidement l'incident en notant dans un coin de son esprit qu'il faudrait qu'elle signale les insomnies de son supérieur à Janet. * Daniel profitait de l'aide de Teal'c pour déplacer une étagère dans son bureau. "Plus à gauche Teal'c." "Daniel Jackson, il serait judicieux de vider cette étagère avant de la déplacer." "Mais non, on va y arriver… là… poussez !" "Bonjour !" dit Jack en ouvrant la porte à la volée comme à son habitude. Le battant claqua contre l'étagère qui se mit à osciller dangereusement. "Arrêtez !" hurla l'archéologue. "Arrêter quoi ?" demanda benoîtement Jack qui regardait l'étagère tomber au milieu du bureau. "Il sera plus facile de la déplacer maintenant Daniel Jackson," constata le Jaffa sans sourire. "Vous savez que vous avez le sens de la repartie Teal'c ? "En effet O'Neill. Je m'efforce de suivre votre exemple," confirma-t-il toujours très pince sans rire. "Jack ? Vous ne pouvez pas frapper avant d'entrer ?" "Si, je peux, mais je ne l'ai pas fait. Ca vous apprendra !" "Ca m'apprendra ?" "Vous devriez avoir honte de m'avoir prêté ce dvd Daniel : je n'ai pas dormi de la nuit !" "Il semblerait que vous vous soyez rattrapé ce matin O'Neill," dit Teal'c, une lueur au fond de l'oeil. "Ne poussez pas le bouchon trop loin Teal'c…" gronda le colonel. "Teal'c, je vous adore," sourit Daniel. "Moi aussi Daniel Jackson. Mais O'Neill ne semble pas partager vos sentiments. Peut-être devrions-nous écouter ce qu'il a à vous dire." "Ah ! Enfin une once de bon sens," s'exclama Jack, une poterie crétoise dans une main et une lance hittite dans l'autre. "Qu'est-ce que je fais avec ça ?" "Posez-les n'importe où Jack. Il va me falloir des heures pour tout répertorier à nouveau," soupira Daniel. "Vous ne collez pas des étiquettes ?" "Si. Dès que j'ai fini de répertorier. En attendant, je pose les artefacts sur cette étagère avec une note explicative pour chacun." "Je vois, Teal'c et moi allons vous donner un coup de main. Bon. Aiguière en métal repoussé (probablement vermeil) époque 13è siècle terrien, empire ottoman… Qu'est-ce que c'est une aiguière ?" "Laissez Jack, je le ferais en rentrant de P8X-453." "Parlons peu, mais parlons bien. Premièrement, pourquoi personne ne m'a appelé avant le briefing ?" "Je pensais que vous vous serviez du réveil matin que je vous ai offert à Noël, O'Neill," commença Teal'c. "Je vous croyais à la base Jack !" "C'est bon…" soupira Jack en agitant les bras. "Daniel," il hésita, "après avoir regardé le dvd que vous m'aviez prêté, je n'ai pas pu fermer l'œil." "Ca ne vous a pas plu ?" "Vous vous fichez de moi Daniel ?" "Pas du tout !" "Vous m'avez bien dit que vous l'aviez regardé ?" "Ben oui…" "Et rien ne vous gêne ? Par exemple dans l'épisode sur Cimméria ?" "Le marteau de Thor ? Non, je ne vois pas…" "Mais enfin, jamais je ne sacrifierai la défense d'un monde protégé par les Asgards pour sauver Teal'c ! Désolé Teal'c, je vous aime beaucoup mais ça ne tient pas debout. Vous êtes mon ami, mais nous sommes en guerre, que diable ! "J'ai trouvé que c'était une bonne idée de scénario," avança Daniel. "Ca montre combien leur équipe est soudée !" "Parce que nous, nous ne le sommes pas ?!" "Si ! Mais dans la série, c'est plus romantique !!" "Ah oui évidemment, côté romance, on peut dire qu'ils n'y vont pas avec le dos de la cuillère !" "Côté romance mon colonel ?" interrogea Sam. "Carter ? Vous avez fini vos expériences ?" "J'ai rédigé le protocole. Je venais voir si quelqu'un voulait déjeuner. "Déjà ? Elle acquiesça. "Il est presque midi… Vous faites du rangement Daniel ?" "En quelque sorte. Jack est venu me donner un coup de main… "Vous avez raison Carter. J'ai sauté le petit déjeuner, je mangerai bien quelque chose. Vous venez Teal'c ?" * Hammond donna l'ordre d'ouvrir l'iris, et quelques instants plus tard, SG-1 traversait le champ gravitationnel. Daniel et le colonel s'apostrophaient violemment. Le général soupira. Les missions de routine ne valaient rien à son second. Il leur souhaita la bienvenue depuis la salle de contrôle et leur demanda de passer à l'infirmerie pour un check-up. Carter, un large sourire aux lèvres, confia ses prélèvements à un airman et les suivit, accompagnée de Teal'c, impassible comme à son habitude. "Vous allez me faire croire que pourriez me confondre avec un cristal Daniel ? Vous insultez mon intelligence ! Et je peux vous assurer que les choses ne vont pas assez bien avec mon ex pour que je puisse avoir ce genre de conversation avec elle. Si je m'approchais de chez elle, elle tirerait à vue ! Tout l'épisode est larmoyant et mélo !" "Vous avez raison là-dessus, on essuie une petite larme. Mais j'ai trouvé l'ensemble bien construit et émouvant. Et puis admettez que le titre était génial !" "Cold Lazarus ? Ca fait poisson mayonnaise !" "Mon colonel !" "C'est vrai quoi !" "Prenez le rôle du petit garçon par exemple, c'était très difficile à tenir pour un enfant !" "Charlie ne ressemblait pas du tout à ça," grommela Jack perturbé. "Mon colonel, c'est une fiction. Même si c'est très proche de notre réalité…" "Trop proche," jeta Jack en entrant dans l'infirmerie au pas de course. "Bonjour docteur ! Nous allons bien, alors un petit coup de loupiote, la température et vous mettez ce tampon en bas de la page qu'on n'en parle plus !" "Pas si vite mon colonel ! Vous aurez droit au minimum mais, il faut que je vous examine !" "Au moins votre personnage est crédible dans la série, ne vous plaignez pas," grommela-t-il dans sa barbe. "Allez-y, je me rends ! Mais si vous pouviez éviter les piqûres…" "Vous savez parfaitement que c'est la procédure colonel," confirma-t-elle les poings sur les hanches. "Qui ne tente rien n'a rien, non ?" dit Jack en faisant sa grimace habituelle. "Je suis désolée de vous contredire, mais le docteur de la série commet erreur sur erreur. J'avais presque honte devant autant d'invraisemblances !" "Vous aussi, vous l'avez regardée ? C'est une conspiration !" s'exclama le colonel en posant une fesse sur le lit le plus proche. "Invraisemblances ?" reprit-il, "par exemple ?" "Heu… et bien, dans l'épisode qui se passe chez les Désignés, si vos cellules ont vieillie, même en interrompant le processus, il n'y a aucun moyen de revenir en arrière : vous resteriez un vieillard, Jack," dit Janet avec un sourire en faisant l'injection. "Aïe ! Aaaahh, je le savais bien ! Et l'histoire de la potion ?! Pfftt, n'importe quoi !" "Non, l'idée du filtre est excellente au contraire," le contredit Janet en posant la main sur son épaule. "Enfin, voyons, jamais je n'aurais… heu… vous savez quoi avec cette Kynthia." "Moi je l'aurai fait même sans filtre Jack," dit Daniel avec un clin d'œil. "Ce… Ce n'est pas mon type !" s'insurgea O'Neill. "C'est bien ce que dit Janet. Vous aviez été drogué !" "Oui, c'est vrai," déclara pensivement Jack. "Ne s'agit-il pas de fiction O'Neill ?" demanda Teal'c. "Si, bien sûr." "Alors, il semble que l'intrigue est au contraire digne d'intérêt O'Neill. Votre personnage est le héros. Si j'en juge par Star Trek, le capitaine Kirk était coutumier du fait. Ses conquêtes sont innombrables." "On voit que vous n'avez pas regardé Next Generation," murmura Carter. "Vous avez raison Teal'c, après tout, je suis le héros ! Vous avez terminé docteur ?" "Absolument !" "Très bien ! Daniel, moi, je n'en ai pas encore fini avec vous !" "Je vous écoute Jack," soupira Daniel. "Qu'est-ce que vous avez fait ? Vous vous êtes passé les épisodes en boucle ?" "Heu.. Ce n'est pas le problème ! Comment osent-ils fiancer Sa… le major Carter à un abruti comme ce Jonas Hanson ?" "Jonas Hanson ?" "Le fou qui se prend pour dieu dans le premier commandement ! SG-9 est une équipe de diplomates pas de cinglés !" "Jack, ce n'est pas un documentaire, c'est une série télévisée ! Vous allez me faire regretter de vous avoir parlé notre incursion dans cette réalité parallèle !" s'écria Daniel excédé. "J'ai regardé le disque une fois, mais vous n'espérez pas que je me souvienne de tout ?!" "Excusez-moi, Daniel. Ce doit être le manque de sommeil. Mais de voir cet abruti jouer mon rôle en plus ! C'est au-dessus de mes forces! Surtout dans la Théorie de Broca ! Quel crétin !" "Pourquoi ?" "Comment ça, pourquoi ?" "Colonel O'Neill, j'espère que vous ne m'en voudrez pas d'interrompre cette conversation qui me paraît palpitante mais puisque vous nous honorez de votre présence, peut-être pourriez-vous commencer le debriefing ?" l'interrompit la voix du général Hammond. * Chacun avait repris ses activités. Jack s'était attelé à la tâche insurmontable de rédiger une douzaine de rapports en retard, Sam vérifiait ses protocoles, Daniel rangeait ses artefacts et Teal'c faisait des poids et haltères. N'y tenant plus, Jack se leva de son bureau comme un ressort et partit rejoindre Daniel. Il frappa et passa la tête par la porte entrebâillée. "Je peux entrer ?" "Allez-y, c'est hier matin qu'il fallait faire attention," grommela Daniel. "Hé ! La prochaine fois, je ne frapperai pas," dit Jack, qui poussa la porte et déclencha la chute de divers objets. "Au nom du ciel ! Vous êtes obligé de mettre tous ces trucs derrière la porte !?" "Ne touchez plus à rien et asseyez-vous !" lui intima Daniel. "Je voulais m'excuser pour tout à l'heure Daniel. Cette série me met les nerfs en pelote." "Je sais, vous êtes un être sensible et fleur bleue Jack…" "Ne vous moquez pas de moi ! J'ai eu un choc !" "A cause de Charlie ?" "Oui… Aussi…" "A cause de quoi alors ?" demanda Daniel en soupirant. "De Carter." "De Carter ?" "C'est que je vous disais avant le debriefing ! Vous n'écoutiez pas ?" "Si j'écoutais !" "Alors vous savez bien…" "Jack, je voudrais bien aller me coucher ce soir, alors arrêtez vos énigmes. Je n'ai pas la force." "La force de quoi Daniel Jackson ? Avez-vous besoin d'aide ?" "Teal'c non merci, asseyez-vous. Qui prendra un café ?" "A cette heure-ci ? Non, franchement, sans façon ! Vous n'auriez pas une bière dans votre frigo ?" "J'en ai mon colonel ! Je vais en chercher !" annonça Carter sur le pas de la porte. "Bon, je suppose qu'il va falloir que je m'explique en famille !" s'exclama Jack. "Je suis très honoré que vous me comptiez parmi les membres de votre famille O'Neill," s'inclina Teal'c. "Avant que le général ne m'interrompe, j'étais en train de vous parler de la Théorie de Broca…" "J'ignorais que vous connaissiez Broca mon colonel," dit Carter, les bières à la main. "Rassurez-vous major, jusqu'à cette nuit, je n'avais aucune idée que ce monsieur existait," soupira O'Neill. "Avait existé. Il est mort mon colonel." "C'est pareil, vous comprenez bien ce que je veux dire. Alors, c'est vraiment possible ? Je veux dire hypothétiquement ?" "De quoi parlez-vous mon colonel, si je peux me permettre ?" "Je parlais avec Daniel de la série Stargate SG-1…" "Comme toute la journée d'hier et toute celle d'aujourd'hui," dit Teal'c. "Discernerais-je de l'agacement dans votre ton Teal'c ?" "Nullement Daniel Jackson. J'énonce un fait." Sam pouffa et se dissimula derrière sa bière. Jack jeta un regard noir à Teal'c et reprit sans se démonter. "D'après ce que dit le capitaine dans l'épisode, le lobe… enfin quoi le cerveau est divisé en zones…" "C'est tout à fait exact," confirma Sam en buvant une gorgée de bière. "Et ce virus rend les personnages…" O'Neill hésita. "Primitifs ?" suggéra Daniel. "Oui," murmura Jack avec soulagement en lorgnant Sam. "Vous parlez bien de ce passage, n'est-ce pas ?" demanda l'archéologue en se versant une tasse de café bouillant. Il reprit sa place derrière le bureau et se cala dans son fauteuil. La suite risquait d'être digne d'intérêt. "Oui." "Et bien, je suppose que théoriquement c'est possible," reconnut Daniel. "Cette partie du cerveau gère le langage articulé. Vous voulez dire qu'ils ne peuvent plus communiquer ?" demanda Sam. "Oh si !" s'exclama Jack. "Je ne comprends pas,"dit-elle avec un froncement de sourcil. "Forcément Carter, vous n'avez pas regardé l'épisode. Daniel, je vous interdis de lui faire voir ! J'ai l'air de quoi ?" "Mais vous êtes très bien au contraire ! Un parfait gentleman… Sauf quand vous me cassez la figure !" "Mais j'ai rien fait !" "Vous voulez donc parler du début de la scène ?" "C'est malin Daniel ! Je voulais dire que le vrai Jack ne pourrait jamais vous frapper !" "Tant mieux," frissonna Daniel avec une grimace. Même s'il s'était mis à la muscu, il n'était pas encore prêt à affronter O'Neill. "Pourquoi est-ce que mon personnage dit "Pas comme ça ?", c'est idiot ! D'ailleurs les scénaristes le font vraiment passer pour un imbécile, c'est insupportable…" "Vous voulez dire que vous auriez cédé !?" s'étonna Daniel. "Daniel, vous avez vu la scène ?! Je suis un homme pas un robot ! Je vous dis que ce type n'est pas normal !" "Pourrions-nous savoir de quoi vous parlez mon colonel ?" "En effet, cela me semble une bonne idée," acquiesça le Jaffa. "Carter a attrapé un virus, elle veut violer Jack, mais il l'emmène à l'infirmerie." "Daniel !! Je vous avais demandé… " "… De ne pas lui montrer l'épisode. Je ne fais que relater les faits." "Ce ne sont pas des faits, Daniel ! C'est de la fiction ! De la fiction, au nom du ciel !!" "Vous voulez dire que je vous agresse, heu…sexuellement et que vous me repoussez, mon colonel ?" "C'est contraire au règlement, vous l'avez oublié Carter ? Je veux dire votre personnage est malade…" "Jack, vous venez de dire que vous n'étiez pas un robot," lui rappela Daniel. "Vous l'avez dit O'Neill. Je l'ai également entendu." "Ca m'a échappé… je veux dire, je disais ça comme ça ! " "Hypothétiquement," glissa Daniel. O'Neill hocha la tête. "Si les protagonistes sont atteints par un virus qui les fait régresser à l'état primitif, le capitaine vous probablement choisi pour assurer sa descendance," expliqua Sam. "Elle veut porter les enfants du chef de clan. C'est logique," dit Sam, qui réfléchissait manifestement tout haut. "C'est aussi ce que dit le toubib…" répondit Jack en rougissant. "Vous voyez bien ! Bon, il est l'heure de dormir ! Vous avez encore des questions Jack ?" "Heu…Non. Sauf que si c'est de la fiction, moi je céderais," murmura-t-il d'un air buté. "Ce n'est que le quatrième épisode Jack," commença patiemment Daniel. "Si les deux officiers supérieurs ont une liaison dès le début, la série ne fonctionnera pas." "Vous croyez ?" "Evidemment ! Regardez dans Clair de Lune, quand Willis devient le petit ami de sa patronne, ça n'intéresse plus personne." "C'est vrai." "Alors bonne nuit Jack," dit Daniel en poussant tout le monde vers la sortie. "Bonne nuit Daniel," répondit le colonel, l'air chiffonné. "Bonne nuit, tout le monde." Teal'c et Sam s'éloignèrent dans le couloir. Jack hésitait. "Daniel ? Vous ne m'avez pas dit qu'ils ont fait plus de 100 épisodes ?" "Si." "Et vous pourrez me prêter la suite ?" FIN vers les commérages suivants |
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