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DOSSIER : L'ESIT fête ses 40 ans   (Janvier 1998)

 

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Article de Géraldine Masson, vice-présidente de l'AAE-ESIT.

En cet après-midi du samedi 8 novembre 1997, le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne nous accueillait pour célébrer les 40 ans de l’ESIT. Le public était nombreux et diversifié, jeunes et plus anciens diplômés étaient au rendez-vous.

Plusieurs personnalités avaient été invitées à intervenir et c’est Mme Gendreau-Massaloux, recteur de l’Académie de Paris, qui, en introduction, a salué la place qu’occupe l’ESIT dans le monde universitaire en donnant à la traduction ses lettres de noblesse. Mme Lederer, directeur de l'école, a ensuite rappelé quelques chiffres, permettant ainsi de mieux se représenter l’évolution de l’école. Les allocutions s’articulaient autour de trois thèmes principaux : le rôle du traducteur et de l’interprète, la fonction de l’ESIT et l’interaction entre pratique et théorie.

Les premiers intervenants ont insisté sur la nécessité de défendre la francophonie et de lutter contre la prépondérance de l’anglais. Pour illustrer ces thèmes et prouver que la traduction est indispensable à la communication et à l’harmonie, l’ESIT nous avait préparé une surprise ! Cette année en effet, (charmante coïncidence) elle accueille des étudiants de 40 nationalités différentes et avait convié un représentant de chacun de ces pays à venir se présenter à la tribune.

Le rôle joué par l’ESIT (grâce aux fonctions occupées par ses diplômés ou à son enseignement) à l’étranger a ensuite été évoqué et loué.

Le diplôme d’interprétation en langage des signes a été salué avec chaleur par M. Labes, lui-même d’ailleurs interprété par une jeune diplômée de l’école. M. Boucher a rappelé l’importance de la formation continue pour les traducteurs, qui se doivent de se tenir informés des techniques les plus récentes, par exemple. Enfin, Melle Séleskovitch a remercié avec émotion tous ceux qui ont contribué à la réussite de l’école et de sa formation.

Un interlude musical a ponctué ces interventions. Une harpiste et un violoniste ont en effet interprété quelques morceaux composés par des musiciens de pays différents. L’atmosphère devint ainsi plus festive et le cocktail annoncé revint vite à l’esprit de tous ! Il est dommage toutefois que les sourds et muets, nombreux dans la salle, n’aient pu profiter de ce divertissement.

Pour terminer, le prix Larousse de la traduction a été remis à la lauréate, étudiante en troisième année.

Nous nous sommes ensuite tous retrouvés dans les Grands Salons de la Sorbonne autour d’une coupe de champagne et de délicieux petits-fours, pour fêter comme il se doit cet anniversaire et retrouver collègues ou amis perdus de vue.

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