Poèmes de Marco "Klitch" Gélinas

Bonjour, voici la collection des poèmes de Marco Gélinas.

Mot de l'auteur:
Un poème ce n'est pas pour comprendre ce que l'on dit, c'est pour imaginer, laisser imaginer... Quand on écrit un poème, ce n'est pas pour obliger le monde à comprendre, mais bien pour les laisser imaginer le monde ou leur monde à leur façon.

- Klitch



Choissez un de ces poèmes:

Helfaynor
Lueur
Vent frissonnant
Mer de la terre
Odyssée du néant
Âme noire
Responsable
Regard d'amour
Rêver
Pierre tombale
Allié de la lumière
Inspiration d’imagination
Coeur d’enfer
Nos pensées
J’écris des poèmes
Sentiments de faiblesse
Quitter ces liens

L'avenir questionné
Pour les rois
Étoiles éphémères
Mon étincelle
Émotion de destruction
Beauté d'une brève nuit
Revenir chez soi
Stupides sont les humains
Un endroit
Malgré notre différence
Le mal de la lumière
Roches blanches
Le début a une fin
Mon ange
Chaos mélancolique
Confusion dans l'âme

Fuir
Amour de douleurs
Espoir
Éternité mensongère
L'innocence inconsciente
Un moment éternel...
L'amour
Destruction humaine
Le chemin
Noir coloré
Une tristesse de bonheur
Silence
Souvenir de toi
Bien et mal
Noir d’âme (Âme noire version aNoïd)
Rêver (version aNoïd)
Malgré notre différence (modif. aNoïd)

Allez aussi lire les poésies de Sylvain "aNoïd" Héroux

Bonne lecture!



Être irréel est être dans ces rêves,
La vie n'est qu'un rêve.


Parfois le chemin le plus court
Peut parfois être très long.


J'aimerais être une larme
Qui nais dans tes yeux
Pour ensuite vivre sur tes joues
Et m'évanouir sur tes lèvres.



Helfaynor

Je suis un homme mort-vivant
Mort d'une injustice
Dont les hommes sont coupables.

Moi qui suis revenu du néant,
Je suis là qui les regarde;
Moi anciennement un humain comme eux.

Une race qui se prétend pure
Mais emplie d'encre noire.
Moi, le purificateur de ce monde,
Revenu les chercher

Pour les remettre là où il devrait être:
Dans le néant ultime.
Car ils sont néant;
Ils ne sont rien!


Lueur

La lueur ne se touche jamais car elle est invisible
Mais elle se voit que quand elle le désire.
Elle va à des endroits pour se cacher
Mais on aperçoit peu importe l’endroit.

La lueur ne vie jamais sans soleil ou lumière.
Une lueur de paix ;
Une lueur d’espoir ;
Une lueur d’amour ;
Une lueur de sang, de guerre, de haine et d’abandons…
Peut-être la même, un sentiment de trahison !


Vent frissonnant

Le vent souffle
Sur la plaine,
L’herbe haute dorée
Qu’il fait danser.

L’eau se fait pousser
Par ses caresses
D’une telle délicatesse,
L’eau se laisse diriger.

Moi qui suis là
Près de l’étang
Ressentant le vent
Lentement passé sur mon âme.

Mon âme frissonne :
Un frisson
Qui sort d’une prison
Comme une musique
D’une douceur hypnotique.

Quelle sensation
Ce sentiment qu’on nomme
Frisson !
Une sensation qui provient de notre âme.


Mer de la terre

Toi si grande,
Toi si bleue et si belle,
Toi qui cache
Milles et une merveilles

À ta beauté bleutée, on voudrait goûter
Mais tu es salée !
Serait-ce notre âme souillée
Qui fait ton goût salé ?

Où serait-ce les pleures
D’une joie extraordinaire
De se monde quand il fut créé
Par on ne sait trop qui ?

Nous qui te donnons
Le mal de mer
En te versant du poison dans tes veines
Qui te cause de la peine.

Voilà comment nous te remercions mer
De ta beauté bleutée.
Voici comment nous te remercions…
Pauvre de nous !


Odyssée du néant

Un jour, je deviendrai l’odyssée
Du mal engendré
Avec ma sombre cruauté.
Je serai maître incontesté !

Malheur
Sera pour moi bonheur.
Ils regarderont ma noirceur
De mon âme souillée

Comprendront-ils
Ce qu’ils ont mutilé ?
Maintenant il est trop tard
Pour le retard !

Ils ne verront que le désespoir.
Voir pour eux
Leur sera impossible
Car ils seront toujours dans un endroit noir.

Cet endroit sera dans le néant,
Où il a toujours été
Mais le néant sera tout
Simplement plus présent.


Âme noire

J’ai mal à ma flamme
Celle qui éclairait,
Qui réchauffait
Mon âme.

Maintenant devenue noire,
Une âme ne peut être vue
Dans un miroir
Car cette âme est plus noire
Que le mot désespoir

Une lueur d’espoir
Il peut en avoir
Mais il faut la voir
Pour y croire

Une âme
Qui a abandonné
Tous les espoirs
Car elle ne voit pas
Les lueurs tout près de ses bras

Elle est aveuglée
Par ces difficultés
Qu’elle a rencontrées
Elle ne voit aucune clarté
Persuadée d’être oubliée

Elle devient de plus en plus sombre
Deviendra telle une ombre
Le pire des malheurs :
Être là mais personne ne s’occupe de toi.


Âme noire (version aNoïd) = Noir d’âme

Je souffre, mal à la flamme
Qui éclairait, réchauffait mon âme
Maintenant devenue noire.
Âme qui ne peut être vue dans un miroir.

Cette âme, plus noire que le mot désespoir…
Une lueur d’espoir, il peut y avoir
Mais pour croire, il faut voir.
Une âme abandonnant tout espoir.

Ne voyant pas les lueurs près de ses bras,
Aveuglée elle est, par ces difficultés
Qu’elle a rencontrées, elle n’y voit aucune clarté,
Persuadée d’être oubliée…

Elle devient de plus en plus sombre,
Devenant une ombre.
Le pire des malheurs :
Être là mais personne ne s’occupe de toi.


Responsable

Nous sommes notre destruction ;
Nous sommes notre désolation ;
Nous sommes notre trahison ;
Mais nous pleurons notre culpabilité.

Nous sommes notre haine ;
Nous sommes notre mélancolie ;
Nous sommes notre guerre ;
Mais nous pleurons notre culpabilité.

Nous sommes notre faiblesse ;
Nous sommes notre malédiction ;
Nous sommes notre prison ;
Mais nous pleurons notre culpabilité.

Nous sommes notre malheur ;
Nous sommes notre peine ;
Nous sommes notre colère ;
Mais nous pleurons notre culpabilité.

Nous sommes notre amour ;
Nous sommes notre bonheur ;
Nous sommes notre paix ;
Mais nous sommes notre destin jusqu’à la fin.


Regard d’amour

Je suis couché
À tes cotés
Regardant ta beauté
Que j’ai toujours peine à imaginer.

Dans cette nuit
Je surveille ton sommeil
Jusqu’à ma nuit
Où mes yeux se fermeront.

Cela m’importe
Car je suis à tes cotés
Pour mieux rêver
À toi ma bien aimée.

Le matin
Je vois les draps sur ta peau
Douce comme du satin,
Ensuite je pose mes mains dans tes cheveux.

J’attends mes deux soleils :
Un qui éclaire ma chambre,
L’autre qui me réchauffe le cœur.
En me serrant contre elle
Me disant, je l’aime.


Rêver

Un endroit plus que prospère,
Un endroit de lumière
Où je puis rêver.
Là où mes rêves sont réalités.

Un endroit que je voudrais rester
Pour qu'enfin
Rester loin
De cette réalité.

Mais je crois savoir
Ce qui me retient
Dans cette réalité de souffrance :
Ma démence de ne plus être.

Grande souffrance de vivre
Pour moi
Car ce n'est pas ce que je veux.
Voilà pourquoi je veux rêver pour ma vie.

Je veux simplement rêver.
Je ne veux pas retourner
Dans cette réalité.
Je veux fuit loin de cette atrocité
Que l'on nomme réalité.


Rêver (version aNoïd)

Un endroit de lumière
Où je puis rêver.
Un endroit plus que prospère
Là où mes rêves sont réalités.

Un endroit où je désirerais rester
Pour qu'enfin je reste loin de cette réalité.
Mais ce qui me retient dans cette souffrance de réalité ?
Je crois savoir : Ma démence de ne plus être.

Pour moi, cette grande souffrance de vivre
N'est pas ce que je veux…
Je veux rêver pour ma vie,
Maître de ma destinée…

Je veux simplement rêver.
Dans cette réalité, je ne veux retourner.
Je veux fuit loin de cette atrocité
Que l'on nomme réalité.


Pierre tombale

Pierre tombale
Devant celle-ci se trouve
Un homme qui verse des larmes
Sur le bord d’une falaise
D’une époque médiévale.

Le vent souffle dans ses cheveux,
Ses yeux regardant la pierre
De sa bien aimée
Une larme coulant sur sa joue gauche,
La joue de son cœur.

Levant ses yeux vers l’horizon,
La colère pris possession de lui.
Serrant les pommeaux de ses épées
Il était condamné
À cette blessure au cœur.

Accepter cette cruauté
De ne plus voir sa bien aimée :
Une difficulté
Qu’il ne pensait pas réussir
À surmonter avec son cœur séparé.

Quelle tristesse
Perdre un être aimé
Car une partie de notre cœur
C’est envolée.


Allié de la lumière

Dans la noirceur
Il y a toujours une lueur
Peu importe sa grosseur

Dans la clarté
Y a t’il une noirceur cachée
Qu’on ne peut remarquer ?

Notre oeil ne remarque que la surface.
Non se qui s'y cache
Car la beauté arrache
Note crédibilité

Dans toute lueur et néant
Il y a clarté
Il y a noirceur
Car ils sont alliés
Pour l'éternité


Inspiration d’imagination

Plongé dans mes pensées
Me fait imaginer
Toute sorte d’idées mélangées
Qui se sont produites dans les années
D’une passé oublié.

Ils tournent dans mon âme
Ne sachant pas quelle image prendre;
Peur de me tendre
De mauvaise cendre.
J’aimerais comprendre l’hésitation
De mon action.

Plus ma description est longue,
Plus mon imagination va vers un fond.
Un fond noir sans solution
Simplement une annulation de mon imagination,
Peur que ce soit sans guérison.

Plus d’inspiration…
Il doit y avoir une solution
À ce manque d’inspiration
Car c’est ma seule et unique passion !

Un don que j’ai eu
Passé à travers plein de saison
Qu’ils ont crée mon imagination
Une vraie compassion d’émotion.


Coeur d’enfer

Profondeur de mon cœur
Comme la chaleur de l’enfer
Tous deux rouges comme la colère
L’endroit où je souffre à ma manière

Pas obliger d’aller en enfer
Pour connaître la misère
Simplement avoir un cœur

Souvent il est la cause de notre douleur
L’ampleur de notre cœur fait souvent notre douleur
Mais il reste qu’il nous donne des douleurs
Ces sentiments dans notre enfer
Deux revers à notre cœur
L’enfer est la parodie
Mais la couleur rouge reste unie

Parfois il fait mal
Car la tristesse coule sur notre cœur
Nous disons pourquoi
À ce malheur
Qui remplis notre cœur de noirceur

Alors notre cœur
Se durcie
Après chaque mélancolie partie

Notre cœur renaît
Plus noirci
Voici l’ironie de notre vie
Malheur et bonheur
Fait un nouveau cœur


Nos pensées

Dans mes pensées
Parfois ce trouve d'immenses atrocités.
Nos pensées fait de nous notre vrai personnalité
Mais nous les gardons caché.
Nous sommes malgré nous
Mentalité désordonnée.

Nous cachons ces pensées
Mais tourmenté par ces idées
Car elle reste incrustée.
Pensée sans limite,
Action pleine de restriction.

Penser de nos actions :
Émotion de pensée,
Émotion d’action
Toujours en réunion.
Mais nous
Nous sommes que le pion
Écoutant ces sensations
Ce qui fera notre gestion.

Parfois grotesque ou intelligent
Tout revient de sentiment :
Émotion de pensée,
Émotion d’action,
Pensée de nos actions,
Toujours en union,
Jamais en séparation.
Ce qui décide de notre action
Incontrôlable !


J’écris des poèmes

J’écris des poèmes
Non pour faire des dilemmes
Simplement pour faire rêver et raconter.

Dans chacun de mes poèmes
Il y a un monde que vous pouvez imaginer,
Un monde sans restriction.
Vous êtes maître de vos émotions,
Un monde qui vous appartient.

Tout ça pour dire
Chaque personne à son interprétation
Car chaque situation personne ne la vie de la même façon.

Quand j’ai écrit ces exclamations,
Je voyais mes émotions à ma façon
Car c’est ma façon d’analyser ces situations
Mais la vôtre est aussi bonne.

Car je suis seulement le poète,
Je ne suis pas le maître de votre imagination.
Car nous sommes différents en dedans
Voilà ce qui est fantastique de notre ressemblance.
Simple mention,
L’écrivain écrit mais ne dit pas comment imaginer.


Sentiments de faiblesse

Moi qui voulais être aimé
Essai de neutraliser ce sentiment
Je sais que je vais réussir momentanément
Au début je me mettrai
Dos à mes émotions
Ses actions ont une raison
Je ne connaîtrai aucune déception
Je vivrai pour une seule raison
Prouver qu’un être sans émotions peut exister
Que des émotions peuvent enlever tous sentiments

Car avoir des sentiments est une faiblesse
Aucune faiblesse
Aucune trahison
J’ai réussi déjà un peu avec conviction
Mais je sais que je suis loin
Mes persévérances arriveront à sa fin
Ces liens qui me retiennent
Ne seront plus miens
Alors mon cœur sera sans lumière
Une dernière larme coulera
Ceci sera la fin d’émotion bénédiction
Plus de trahison

Moi qui ne donnerai plus de sentiment Ceux qui pleurent par ma faute
Seront trahis par eux
Car je ne serai pas maître de leur faiblesse
Je contrôle que mes sentiments
Non leur désolation


Quitter ces liens

Partir et ne plus savoir où aller !
Ce qui me retient
Est d'être loin de mes miens.
Savoir le pourquoi de ces liens...

Mal à l'intérieur de mes liens,
Trouver ma raison pour continuer
Mais il est impossible de quitter
Car la peur me retient
Dans ce monde plein de lien.

Troublante question qui me traverse :
À quoi sert l'existence ?
S'il n'y a pas de but, que ceci soit sans horizon
Alors pourquoi se donner un mal ?
Car ça ne changera rien,
Notre existence deviendra couleur sombre éternel.

C'est quand je regarde le cœur intérieur des gens,
Quand je vois en eux
Ma pensée change,
Jamais pour longtemps.
Ce qui fait que je pense ainsi,
Je l'ignore…


L'avenir questionné

Vivre dans l'avenir déjà questionné.
Savoir une question est-ce savoir l'avenir ?
Car toute question posée à une réponse.
Suite à la question,
L'avenir de réponse à la suite
Mais peu importe quelle est la sorte de l'avenir :
Au passé on peut lui dédier un commencement ;
À l'avenir on peut lui dédier une fin.

Mais qu'est-ce que le présent ?
Au présent on peut lui dédier deux mots :
Passé et avenir.
Car un temps arrêté, impossible.
Le passé fait souvent l'avenir
Car l'avenir n'a aucun souvenir.
Présent un mot pour dire
Que le temps est inexistant.

Un monde
Parfois réel et souvent irréel
Car faut-il vraiment être ou savoir se diriger ?


Pour les rois

Deux peuples en conflit,
Deux ennemis.
Un village attaqué.
Un homme parti à la chasse.
L'homme caché pour sa proie,
Sa femme au village
Qui s'occupait des enfants.
Le village attaqué
Perdis deux enfants et une femme
Noyés dans leur sang.

L'homme revient fier de sa proie.
Au loin, il aperçut son village en feu.
Il partit à courir de son mieux
Vers son village.
En arrivant,
Il y avait peu de survivants.
Ensuite, il partit vers sa maison :

Ouvrant la porte,
Il trouva sa femme et ses deux enfants
Noyés dans leur sang.

L'homme plein de vengeance
S'enrôla comme garde du roi.
Il partit à la guerre
Tomba sur sa vengeance.
Personne ne parla de cette histoire.

Une vengeance oubliée :
Deux ennemis,
Aucun gagnant,
Plein de morts,
Plein de larmes,
Pour les rois...


Étoiles éphémères

Je regarde le ciel envahi d'étoiles,
Un voile sombre mains rassurant
Autant le jour que la nuit,
Un bleu qui est infini.

Dans ce bleu infini,
Il y a le soleil qui luit
Mais quand vient la nuit,
Il nous quitte
En laissant des plus beaux rayons
Qui caresse noter imagination.

Toute merveille en donne une autre.
Quand le ciel devient gris,
La pluie nourrit cette nature inouïe.
Que devrions-nous faire de ses merveilles ?
Les regarder pendent que nous le pouvons.

Car serons-nous réveillé
De notre égoïsme aveuglé
Mais un jour troublé de notre échec
Le regret sera là
Mais inutile
Car trop tard il sera.


Mon étincelle

Voir la neige tombée
Me fait rêver.
Voir le soleil se coucher
Me donne de l'espoir.

Car je sais que ce qui part revient.
Alors j'ai espoir de te revoir
Ma déesse d'ivoire.
Maintenant que tu es loin de moi,
Je regarde le ciel étoilé
Espérant que tu reçois mes pensées
À travers le ciel voilé de lueur.

Je suis sûr que oui
Quand je regarde la neige.
Qui tombe lentement,
Je vois ta douceur.
Quand je regarde les étoiles scintiller,
Je vois tes yeux.

Notre amour est une chandelle éternelle,
Que le vent ne peut souffler,
Que l'eau ne peut noyer
Moi et toi
Sommes des flammes
Qui dansent entrelacées,
Mon étincelle !


Émotion de destruction

Je suis source de destruction.
Émotions qui sont dans cette prison.
Je suis la raison de cette restriction.
Impossible mais possible !

Impossible car je pourrais détruire des cibles.
Je me sens comme une attraction d'émotion :
Colère de misère ; Douleur de sueur ;
Haine de peine et mélancolie d'une ironie infinie.

Prison sans sons.
Une prière qui ne peut passer ces barrières
Car elles sont faites de chair.

Émotion que je pourrais libérer ces barrières
Mais trop de peine.
Peine de cause deviendra haine.
Je sais que cette lutte est vaine
Mais pour le monde que j'aime
Je l'emporterai dans mon âme.

Puis cette haine deviendra peine
Qui vous sera léguée.
Aussi disparaîtra, donnez-moi de vos pensées.
Sachez que je vous ai aimé
De mon âme souillée.
Merci de toute cette amitié…


Beauté d'une brève nuit

Quand j'ai vu tes cheveux,
J'aurais aimé être le vent pour toucher à cette merveille.
Quand j'ai vu tes lèvres,
J'aurais voulu être l'eau que tu bois pour toucher à tes lèvres.
Être ton manteau
Pour te tenir au chaud
De cette nuit froide quelle était.

Mais ce fut qu'une rencontre
Imprévu et quelques mots.
Tu resteras dans ma mémoire.
Le destin a voulu autrement
Mais il pourrait revenir.

Si on pouvait se connaître,
Ensuite s'aimer.
Pour combien de temps aimerons-nous ?
Une émotion pourrait retenir mes sentiments pour toi,
Cette émotion est au fond de mon âme.
De la peur d'aimer ;
De la peine d'aimer ;
Des sentiments.
Le fait de ne plus croire en l'amour.
Je ne pourrais t'aimer :
Ma peur ferait que je n'écouterais pas mon cœur
Mais peut-être bien aussi car j'aurais peur de me trahir.

J'ai vu ta beauté que j'avais peine à imaginer.
Puis dans le froid de la nuit, tu disparaissais.
Un jour ou une nuit.


Revenir chez soi

Je suis parti mais je reviens,
Ma maison dans les champs dorés.
Voir ma sœur, mon frère, ma mère, mon père adorés.
Aller vers ma maison me redonne des souvenirs de mon enfance passée.
Dans ce chemin de terre,
De cette odeur de forêt que je n'ai jamais oubliée.

J'aperçois l'étang et la chute
Où je me baignais étant jeune.
L'eau de cet étang et de la chute claire comme le ciel.
Cette chute qui chante à mes oreilles.
Ce vent qui souffle sur cette prairie pleine de soleil.

Je suis sur le chemin du retour aux milles merveilles.
Ma mère devenue veille mais toujours aussi belle,
Mon père devenu grognon un peu car vieux il est maintenant,
Mon frère doit être maintenant le meilleur des guerriers,
Ma soeur, elle petite plus maintenant, sûrement une jolie dame.
J'aperçois ma maison d'enfance.

Ma mère et mon père assis dans leurs pensées,
Ma soeur qui est devenue dame s'occupe de ces pensées écrites,
Mon frère s'entraînant à l'épée comme il l'avait mentionner étant petit.

Ils m'aperçoivent et partir heureux vers moi, bras ouverts.

Un moment que je n'oublierai jamais !
Quand vous partez, sachez ceci :
Vous ne serez jamais chez vous où que vous alliez.


Stupides sont les humains

Stupides sont les humains

Même quand il s'agit d'un nouveau lendemain
Car ils ne comprennent jamais leur désordonnance.
Ils sont la maintenance de leur destruction progressive.

Moi qui écrit ces mots
Je suis un fardeau que porte ce monde.
Oui, un humain qui exprime sa honte de son peuple
Mais pourtant qui continuera sa stupidité d'humanité
Car je suis
Que ma pensée aveuglée,
Que certaine fois réveillée.

Un jour serons-nous réveillés ?
Par nos yeux aveuglés par une obscurité.
Ouvrons nos yeux vers cette clarté réveillée !
Réparons les erreurs de notre passé
En faisant notre avenir sans cécité.

Qu'enfin nous aimerons ce que nous pourrons voir
Sans changer la façon
Que nous garderons cet environ sans notre amélioration.
Faisons que vivre et respectons cette magnifique création.


Un endroit

Dans un endroit où la noirceur est la seule chose qu'on peu voir. Où même la noirceur peut-être assombrie et même la lumière la plus étincelante ne pourrais éclaircie cette noirceur infini. Dans cet endroit on a l'impression qu'une immense mélancolie est présente. De la colère, de la fragilité, de la froideur. Nous pouvons entendre des cris mais nous savons que personne ne peut y répondre car dans cette pièce personne ne peut entrer.

Un jour, le monde croyait qu'une personne avait trouvé le moyen d'y entrer. Elle était belle… Mais une horrible chose arriva: Le vent se leva brusquement et l'amena loin de cet endroit. Ce qui fut la joie se transforma en douleur encore plus intense. Dans ces murs aucun bruit depuis ce jour. Près de cet endroit la pluie tombe, les arbres sont sans feuilles, le gazon est devenu couleur mort ; mais pourtant nous sommes l'été. Dans cet endroit, je crois, que c'est la saison de la noirceur.

Un endroit qui ne devrait jamais exister car tous les endroits devraient connaître la chaleur du soleil. On dit qu'il aurait déjà eu du soleil à cet endroit mais qu'un jour un vent se leva et amena des nuages et un froid, et que c'est ainsi depuis.

Que se cache t-il dans cet endroit si sombre ? Que pourrions-nous y découvrir ? Qui a construit cet endroit ? Un endroit qui était comme tous les endroits mais que maintenant rendu sombre. Froideur que je ressens quand mes yeux se posent sur cet endroit. Parfois j'imagine voir le gazon redevenir vert, les arbres devenir plein de feuilles mais il continue à pleuvoir même si le soleil est revenu.

Alors je m'approche, je tends la main pour recevoir une goutte de pluie à l'intérieur, ensuite j'approche la goutte près de mes lèvres et j'y goûte mais il a une différence avec celle qui tombait auparavant, elle n'est pas salée. Mais ce n'est que dans mon imagination. Je vois que cet endroit est sombre et triste. Je vois qu'il n'y a pas de faille et qu'il se tient droit. Comme tous les endroits, il a fallut le réparer car des fois il se brise car nous voyons ces blessures qu'il a déjà subies par le temps. Mais est-ce vrai qu'après l'orage il y a le beau temps ?

Je me demande qui trouvera la clef pour cet endroit. Personne ne l'avait trouvé à l'exception d'une personne qui perdit la clef. Elle tomba à ses pieds mais la clef disparue et depuis personne ne la trouvé, ou encore moins pensé où elle pourrait ce trouver.

Une fin qui fini ainsi car je n'ai pas encore trouvé une autre façon de la trouver ou de la finir.


Malgré notre différence

Malgré notre différence
Je pense
Que notre romance d’amour
Serait pareil.

Notre regard,
Notre sentiment
Qu’il soit anglais
Qu’il soit français
Serait parfaitement fait d’amour.
Il m’en prendrait beaucoup plus
Pour baisser les bras devant la beauté
Que j’ai de la peine
À imaginer.

Nos caresses
Seraient remplis de tendresse
Avec plein de délicatesse et d’allégresse,
Mais notre amour elle
Serait t’elle éternelle ?

Moi,
Si
Je t’aime
Mon amour sera éternel
Jusqu’au moment où toi
Briseras les ailes de notre amour…
Mais si tu penses comme moi
Toi et moi nous vivrons ensemble pour l’éternité.


Malgré notre différence (version modifié par aNoïd)

Malgré notre différence
Je pense
Que notre romance d’amour
Serait tout de même.

Notre regard,
Notre sentiment
Qu’il soit anglais
Qu’il soit français
Serait parfaitement fait d’amour.
Il m’en prendrait beaucoup
Pour baisser les bras devant cette beauté
Que j’ai peine à imaginer.

Nos caresses
Seraient remplis de tendresse
Avec plein de délicatesse et d’allégresse,
Mais notre amour serait t’il éternelle ?

Moi, si je t’aime
Mon amour sera éternel
Jusqu’au moment où toi
Briseras les ailes de notre amour…
Mais si comme moi tu penses
Toi et moi ensemble nous vivrons pour l’éternité.


Le mal de la lumière

Je suis le mal
Qui te suit dans ton ombre infernale
Dans cette nuit sans étoile.
Je sens la peur
Que tu essaies de cacher
Avec ton voile.

Moi qui te regarde,
Moi qui veux
Transpercer ton âme
Avec ma lame.

Toi qui arrive devant ta porte.
Toi…
Tes mains qui sortent tes clefs.
Avec celles-ci qui transpercent cette poignée d'acier
Sans hésiter.

En fermant ta porte,
Allumant les lumières en même temps
Que toi maintenant dans la lumière
Et sur d’être maintenant protégé par cette lumière.

Je suis derrière toi
Que tes yeux ne voient pas
Même dans la lumière blanche.
Maintenant la lame qui transperce ton âme.
Tu comprends ?
Mais maintenant il est trop tard…

Moi qui regarde tes yeux se fermer,
Ton coeur cesser de battre.
Moi qui pars sans regarder derrière moi.
Toi maintenant protéger de la noirceur pour l’éternité.


Roches blanches

Dans la folie
Qui nous pousse
À des cris
Au prix de notre vie

Qui résonnent
Dans notre personne
Et sortent de notre bouche.
Qui percutent d’immenses roches

Ces cris
Qui ricochent
Sur ces roches blanches.
La folie dans notre roche.

Un endroit blanc
Mais noir pour nous.
Crier pour déchirer
Ses gros rochers.


Le début a une fin

Aller vers mon destin
Pour savoir enfin
Ce qui ci cache
Sans lendemain.

Voir et comprendre
Que le début
A t’il vraiment une fin ?
Nous sommes des finalistes.

La perception de tous,
Nous les humains :
Finalistes fatalistes.
Pour nous tous, début a une fin.

Éternel !
Vie, il y aura toujours
Même dans notre
Dernier jour de notre premier.


Mon ange

Près d’elle,
J’aime caresser sa peau
Douce comme la neige
Brillante comme des éclats de cristal.

Ses yeux
Que j’aime explorer
Même quand
Ils sont fermés.

Ses sourires
Qui me font rire d'amour.
Ses larmes
Que j’aime réconforter
Quand son coeur est blessé.

Ses gestes
Sont plein d`étoiles filantes
Qui m’éblouissent
À chaque moment des jours et des nuits infinis.
Chérie nous sommes notre paradis :

Tu es mon ange,
Moi tes ailes blanches.
Je te fais voler ma bien aimée,
Toi tu me fais rêver.

Tes réveils
Son pour moi
Première merveille
À mes yeux, à mes oreilles.


Chaos mélancolique

Tu veux entrer dans mon univers ?
Ce n’est pas une chose à faire
Un endroit chaotique
Où les critiques se critiquent
Que les pensées censées deviennent insensées
Une conscience en conflit
Non dans celle que j’ai écris

Un endroit mélancolique
Un endroit froid
Un endroit chaud
Un endroit noir
L’endroit parfait de la démence chaotique

Une démence est tel que…
Idée incomprise
Froideur de la haine
Noirceur de la solitude
Chaleur d’amour
Pour triste mélancolie

Confusion dans l'âme


Confusion dans mon âme,
Une larme coule sur nom coeur.
Un sentiment que je me bats avec ardeur
Mais ne peut partir
Car elle est incrustée dans mon coeur.

Je commence à ne plus avoir de chaleur.
Une froideur qui me fait peur
Comme le froid qui envahis mes nuits.

Je cris mais pourtant
Personne n’entend mes cris portés par le vent.
Je crois que cette froideur gagnera sur moi.

Je n’ai plus d’ardeur
A affronter cette froideur.
Je suis épuisé de déverser des larmes sur mon coeur.

Je ressens la fin
Mais je tiens en mes mains une des mes dernières lueurs.
Qui pourrait me redonner cette chaleur ?
Une lumière
Car avec une lumière, il y a la chaleur.

En espérant que c’est ma dernière,
Je me croyais perdu.
Quand elle est apparue devant moi,
Petite mais là,
Je lai pris avec délicatesse ;
Je lai pris et la mit près de ma détresse.

Fuir

Un endroit plus que prospère,
Un endroit de lumière
Où je puis rêver.
Là où mes rêves sont réalité.

Un endroit où je voudrais rester
Pour qu’enfin,
Rester loin
De cette réalité.

Mais je crois savoir
Ce qui me retient
Dans cette réalité de souffrance :
Ma démence de ne plus être.

Grande souffrance de vivre
Pour moi,
Car ce n’est pas ce que je veux.
Voilà pourquoi je veux rêver pour ma vie.

Je veux simplement rêver !
Je ne veux pas retourner
Dans cette réalité,
Je veux fuir, fuir loin de cette atrocité
Que l’on nomme réalité...


Amour de douleurs

Pierre tombale,
Devant c`y trouve
Un homme qui verse des larmes,
Sur le bord d’une falaise
D’une époque médiévale.

Le vent dans ses cheveux,
Ses yeux regardant la pierre
De sa bien aimée.
Une larme coulant sur sa joue gauche ;
La joue de son coeur.

Levant ses yeux vers l’horizon,
La colère prit possession de lui,
Serrant les pommeaux de ses épées.
Il était condamné
À cette blessure mortelle.

Accepter cette cruauté,
De ne plus voir
Sa bien aimée.

Une difficulté
Qu’il ne pensait pas réussir
À surmonter avec son coeur séparé.

Quelle tristesse
Perdre un être aimé,
Car une partie de notre coeur
C’est envolée.


Espoir

Dans la noirceur
Il y a toujours une lueur
Peut importe sa grosseur.

Dans la clarté
Y a t’il une noirceur cachée ;
Celle qu’on ne peut remarquer.

Notre oeil ne remarque que la surface,
Non ce qu’il s’y cache
Car la beauté arrache
Notre crédibilité.

Dans toute lueur et néant
Il y a la clarté,
Il y a la noirceur,
Car ils sont alliés
Pour l’éternité.


Éternité mensongère

Éternité : un mot noir
Car on ne peut voir
Ce mot d’espoir impossible.
Car malheureusement
Tout commencement a une fin.

Difficile à accepter
Mais c’est la vérité,
Car ce mot,
Éternité
N’est qu’un mensonge pour nos espoirs
Morts avec eux.
L’éternité n’est qu’une illusion d’espoir.
Quand nous disons à une personne :
« Pour l’éternité »
Nous lui dédions une trahison
Car un début a une fin.

Car deux personnes
Qui meurent en s’aimant,
Cessent de s’aimer en s’aimant,
En même temps que leur vie meurt.
Voilà la réalité !
L’éternité dure jusqu'à ce que la fin se présente.
Désolé de vous avoir dit la vérité.


L'innocence inconsciente

Si j'avais le pouvoir de changer
L'innocence de l'inconscience,
Je le ferais sans aucune conséquence.
Le faire sans aucune conséquence ; impossible !
Car l'inconscience ne peut pas exister dans cette réalité.

Si on tombe dans l'obscurité
La réalité fera que nous donnerons la culpabilité
Qui peut-être
Viendra nous rejoindre dans l'obscurité.
Savoir la réalité de cette action mystérieuse.

Voici pourquoi nous continuons notre chemin
Vers notre persécution
Sans que personnes nous disent de faire attention.
Une réalité qui est sans mention.
L'échec et mathématique fait de nous notre division
De nos visions, de nos complications.

Faire un choix :
Dire non,
Dire oui.
Que faut-il faire de cette décision qui nous envahis ?
Illusion, réalité sans réfléchir…


Un moment éternel...

Le début d'un commencement est la fin
Sans savoir aux lendemains de ce jour
Sans avertissement ni préparation
Une situation interchangeable
Mais probablement probable.

Le passé du présent était le futur du présent
Pas une fable.
C'est le temps qui nous poursuit sans arrêt.
Restons sain d'esprit même dans un temps contenu.

Un moment que l'on pourrait figer car c'est le début de la fin ;
Un moment qu'on voudrait qu'il soit sans passé ni présent ni futur ;
Un moment qui pourrait rester dans l'ensemble de ce qu'on appelle le temps.

L'éternité qui a un commencement mais pas de fin.
Mais que l'éternité demeure le passé, présent, futur
Ce que l'on pourrait appeler le moment éternel.

Un moment éternel...
Un tunnel qui n'a pas d'entrée ni de sortie, que le centre.
Un moment éternel...
Un endroit où le temps n'a pas d'importance.
Que de moments sans influence qu'on recule ou qu'on avance.
Un moment éternel…


L'amour

L'amour est un sentiment
Sorti de l'enfer,
Bonheur hallucinogène,
Souffrance obscure,
Pulsion intra-mental.
Un sentiment de naïveté que personne ne peut contrôler.
Côté rouge...
Côté noir...
Il faut vivre pour croire et comprendre.

Un sentiment de merde,
Dans un monde de merde.
Un sentiment à vendre
Mais que personne ne devrait acheter.
Personne ne mérite un sentiment tel que ceci.

Nous sommes là pour souffrir
Mais aussi pour rire de ça
Car nous n'y pouvons rien.
Rions de ce qui arrive pendent qu'on peut rire de Lui
Car avec moi il s'est cassé la gueule.
Mais s'il n'y a pas de Lui… Amen !
Bien ! Je ris !
Notre stupidité fait de nous des humains
Avec un destin déjà destiné.


Destruction humaine

Destruction en moi
Dans mes veines,
Dans mon corps,
Dans ma tête.
Un conflit qui durera jusqu'à la fin.

Car je suis un humain
Qui se maintient en vie grâce à la curiosité.
Assoiffé, nous sommes tous assoiffés de curiosité
Cruauté avec ou sans
Une vérité que nous ne voulons pas savoir
Car nous n'avons pas peur de la vérité.

Vérité choquante,
Réalité de l'incapacité indépendante,
Pensée indépendante,
Fait insupportable,
Capacité dépassée,
Une illusion réelle
Mais sans rêve.
Aucun espoir…
Nous sommes qu'une illusion illusionnée incompréhensible,
Source de destruction.
Aucun espoir…


Le chemin

Un chemin
Qui mène vers un endroit
Sans savoir si le chemin est droit et éclairci.
Avancer un pas à la fois.
Les pas de notre passé font notre futur.
Réfléchir avant de franchir un pas.
Un pas de trop peut devenir un tracas.

Des fois il y a les champs pour nous cacher
Mais ils ne sont pas toujours à la hauteur de notre nez.
Alors regardez où vous mettez les pieds.
Dites-vous ceci :
Un pied bien posé,
Impossible de trébucher.

Attention aux poussières.
Garder un bon équilibre.
Regarder alentour de nous.
Car des fois nous pouvons perdre pied
Car nous n'avons pas pensé à nos côtés
Que nous croyons en sécurité
Mais que nous étions trompés.
Chemin tournoyant.
Pas bien posé,
Maison enfin arrivé.


Noir coloré

Une nuit
Des étoiles et la noirceur
Même dans le néant, il a une lueur.
Une lueur dans nos coeurs sombres,
Une lueur dans de petit coin.

Un monde sombre dans le néant infini
Sommes-nous cette lueur
Ou sommes-nous la noirceur de cet univers ?
Pourtant nous avons la lumière !
Sommes-nous une lumière damnée ?
Sommes-nous cette lumière qui n'avait dû
Jamais apparaître dans cet univers.

Une lueur blanche assombrie ;
Une lueur sombre mais éclaircie ;
Pourtant se ne sont que des couleurs.

Tant que le rouge pour l'amour
Aussi le rouge pour l'agressivité.
Mais que le blanc simplement pour la pureté
Y a-t-il une autre face à cette couleur ?
Que le noir est signe de pure obscurité.


Une tristesse de bonheur

Dans un monde pas comme le mien
Ma raison différente à mon apparence
Mes pensées que personne ne peuvent penser.
Qu'il pense ce que je pense
Coeur sombre de tristesse,
Âme en Détresse.

Un mal soigné ;
Un mal rendu à la racine.
Une plante magnifique
Qui est rendue dans les abîmes.
Un choix difficile à accepter
Mais il faut qu'il voie sa noirceur.

Dans chaque homme il y a un démon,
Dans son cas aurait-il trouvé le sien ?

Comprendre la vie ;
Comprendre notre chemin.
Moi je crois avoir compris :
Toute chose a une fin
Mais plus notre histoire est détaillée
Plus que nous serons fiers de nous
Car nous n'avons pas abandonné soit dans les abîmes ni la noirceur.
Une tristesse de bonheur.


Silence

Faire un moment de silence
Tout en concernant les bruits alentour de nous.
Un silence court pour les alentours ;
Un silence pratiquement éternel pour vous.

Une pensée silencieuse mystérieuse...
Que le monde pensera de cette pensée silencieuse ?
Le monde curieux, curieuse
Posera des questions non silencieuses ;
Des questions de toutes sortent :

Qu'est-ce qui ne va pas ?
Tu es dans la lune ?
A quoi tu penses ?

Des questions auxquelles tu ne réponds pas.
Tu leur diras que tu étais simplement dans la lune
Mais malheureusement pour eux tu pensais à autre chose.


Souvenir de toi

J'aime regarder la beauté...
Tes cheveux couleur de l'éternité.
Tes yeux couleur de l'océan et du bleu éternel,
Un bleu infini.

Moi, je voulais être le soleil qui est près de toi,
Te suivre quand la nuit tombe vers un autre pays
En te laissant une caresse comme un soleil
Qui laisse ses derniers rayons sur l'océan.
Nous aurions pu être inséparables.

Tu as les lèvres rouge pommes,
Avoir un premier baiser de toi
Un moment qui serait impossible à oublier.
Loin de toi, près de moi.
Pour l'instant je pense à toi.

La nuit je regarde les étoiles…
Toi, tu es celle qui fait que mes nuits sont moins sombres.
Les moments qu'on aurait pu passer
Aurait été pour l'éternité dans mes pensées.


Bien et mal

Dans un monde où l'avenir est toujours en conflit.
Dans un monde où le passé est toujours présent.
Dans un monde où l'amour est incertain.
Dans un monde où la pitié n'est pas toujours là.
Dans un monde où la paix n'y sera jamais.

Dans cette vision tout même un jour à une destruction.
L'amour amène à la jalousie.
La pitié est mot qu'on ne peut simplement pas mettre seul.
La confiance mène un jour à la trahison.

Un côté de chaque sentiment à un bon et un mauvais.
Preuve que un sentiment à toujours deux sentiments :
Le bien et le mal,
L'un ne va pas sans l'autre.

Sans paix il n'aurait pas de guerre.
Sans pitié il n'aurait pas de souffrance.
Sans amour il n'aurait pas de jalousie.




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