FLEURS DE BACH

Edward BACH (1886-1936) - célèbre médecin, pathologiste-bactériologiste, personnage hors du commun, animé d'un charisme et d'une intuition extraordinaires - a su pressentir très tôt les interactions existant entre maintes maladies déterminées et certains états psycho-émotionnels. Après un chemin initiatique qui l'amènera à approfondir la diathèse de la psore, pressentie par Hannemahn (qu'Edward Bach reliera à la toxémie intestinale), il mettra au point une série de sept vaccins, puis nosodes homéopathiques, pour finalement passer les 7 dernières années de sa vie à sillonner la campagne anglaise, à la recherche de simples, dont il subodore que les sommités florales de nombres d'entre eux possèdent une affinité vibratoire fréquentielle rectificatrice des affects émotionnels archétypiques perturbés dont la nature humaine est ponctuellement imprégnée. Les extraordinaires résultats thérapeutiques qu'il obtient par le biais de cette approche holistique originale lui démontreront que la maladie constitue fréquemment "la cristallisation d'une attitude mentale". Hormis les souffrances incommensurables auxquelles certains êtres de sainteté exceptionnelle consentent librement, le recours aux "quintessences florales du Dr. Bach" (vente libre en Suisse, en pharmacies, drogueries, et auprès de certains particuliers) permet de soulager bien des souffrances physiques et morales. 

Ces produits, par ailleurs totalement inoffensifs (même en cas d'erreurs de prescriptions), possèdent en outre l'immense avantage de présenter une compatibilité totale avec toute forme de traitement parallèle (allopathique, psychothérapeutique, homéopathique, ou autres), dont ils accroissent l'efficacité par la libération du potentiel auto curatif. Il est désormais un fait acquis que l'état moral exerce un rôle déterminant sur l'éclosion et, a fortiori, l'éviction de toute pathologie. De ce fait, il importe de procéder à une judicieuse adéquation "bleu à l'âme - quintessence corrélée" pour un résultat optimal. 

Pour un traitement de fond: 
Mettez 3 à 7 gtes de chaque harmonisant requis dans une bouteille en verre avec pipette, à contenance de 30ml (en pharmacie), dont l'excipient sera composé de trois quarts d'eau de source non gazeuse, de type Volvic ou Mont-Roucous (pas d'eau distillée, ni d'eau du robinet, sauf s'il s'agit d'eau filtrée) et d'un quart de cognac ou d'eau de vie pour la conservation. On peut accroître encore l'efficacité thérapeutique de la préparation en ajoutant 3 gouttes de LOTUS (série des nouvelles quintessences) et 1 goutte de DELPH (nouvelle quintessence, issue de l'énergie du dauphin: une exclusivité de la marque allemande PHI) à chaque mélange. Si le flacon est maintenu au frigo (durée 3-4 semaines), l'alcool n'est pas nécessaire; on peut aussi remplacer l'alcool par du vinaigre de cidre, ou, pour les enfants surtout, par de la glycérine végétale F.E.S (ou encore un mélange à parts égales de vinaigre de cidre et de glycérine), à raison d'un tiers de conservant pour 2 tiers d'eau. La posologie habituelle est de 4 à 7 gouttes, au moins 4 x (voire 7 x) par jour (matin au lever - 1/2 heure avant le déjeuner - 1/2 heure avant le dîner - et au coucher) jusqu'à épuisement du flacon, en évitant le contact de la pipette avec les mains ou les muqueuses (pour des raisons d'hygiène), et en gardant le liquide une bonne minute sous la langue, comme avec les médicaments homéopathiques. On peut très bien augmenter la fréquence des prises, selon le ressenti individuel. Il est bon, en outre, d'absorber les gouttes juste au moment du coucher, en conservant le liquide sous la langue, pendant toute la durée préalable à l'endormissement (accroissement de la perception onirique). Par la suite, on renouvelle la prescription, si besoin est, en l'adaptant aux changements obtenus. 

Pour le traitement d'états sporadiques (ou même en sus du traitement de fond): 

Mettez 3 gtes de chaque quintessence (7 gtes pour RESCUE) dans un demi-verre d'eau que l'on absorbe par petites gorgées réparties dans la journée. Pour les cas aigus (surtout avec RESCUE), une petite gorgée toutes les 5-10 minutes, jusqu'à mieux-être, puis espacer progressivement les absorptions jusqu'à complet rétablissement. 

N.B: Certaines écoles tendent à privilégier la prise du concentré à l'état pur, à raison d'une à deux gouttes du concentré (ou de plusieurs concentrés déjà mixés au préalable) sur la pointe de la langue (ou sous la langue, à l'insertion du frein et plancher buccal, comme avec les granules ou globules homéopathique), particulièrement dans les cas aigus, sporadiques ou momentanément induits par les événements (états dits "événementiels"). C'est davantage une affaire de réceptivité, convenance et test individuels! Sélectionnez avant tout LA ou LES quintessence(s) prioritaire(s) qui concernent votre état ACTUEL, en laissant de côté celles que vous jugez secondaires et que vous pouvez réserver à une utilisation ultérieure, si un jour leur(s) signature(s) se manifeste(nt) de façon prépondérante. Cette technique vous évitera d'embrouiller le processus par un mélange trop hétéroclite qui, à quelques exceptions près, n'est pas forcément nécessaire. 

PRECISIONS SUR L'EMPLOI DE "RESCUE"

Ce remède composite standard de quintessences florales (le seul de la série), élaboré par le Dr. Bach lui-même, est destiné aux premières urgences et aux soulagement de toute forme de crise aiguë. Il s'agit d'un mélange à action polyvalente et polychestre, à utiliser dans toute situation de choc subit où une aide impérative et immédiate s'impose dans le plus brefs délai: accident, état de choc physique ou émotionnel, trac, mauvaises nouvelles, bouleversement affectif, etc. 

Posologie: Selon le cas, mettre 4 à 7 gtes de RESCUE dans un flacon d'eau avec pipette, à contenance de 30 à 50 ml. Boire lentement l'équivalent d'une pipette toutes les 5-10 minutes, jusqu'à mieux-être, en laissant le liquide une bonne minute sous la langue avant de l'avaler, puis espacer progressivement les prises. On peut sans problème adapter la fréquence et le rythme d'absorption à son ressenti individuel; un rapport énergétique s'établit avec le remède qui en fait appréhender sa nécessité. Il n'y a aucun risque d'accoutumance ou de dépendance. Le remède agit pendant qu'il est requis, après quoi, il n'est plus utile et on n'y pense plus. On peut aussi appliquer les gouttes concentrées directement sur la pointe de la langue ou, le cas échéant, à l'insertion du frein et plancher buccal, comme avec les granules ou globules homéopathiques.