Dans certains « écologiques » j’ai fait « des études approfondies » de textures de la nature, dans d’autres cette observation du monde environnant devient plus « construite ». Dans les deux la présence de l’homme est infime par rapport à son entourage et aux autres êtres vivants.
Dans les travaux plus structurés on commence à voir mon intérêt par la recherche d’un art plus latino-américain parce que, j’en suis encore convaincue, quelqu’un avant d’être un artiste est un être humain qui est né dans une ville, que cette ville appartient à une province qui se trouve dans un pays et que ce pays là est dans un continent.
Ce n’est qu’à partir de là qu’on peut se « ouvrir » et projeter son art, son image à travers le monde.
Malgré la mondialisation, je suis restée dans le figuratif et l’imaginaire, non pas par mépris ou incompréhension du conceptuel ou l’abstrait, sinon par mon identification à l’art latino-américain où l’image, l’émotion et la construction prédominent.
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