Nous dévoilerons dans cette rubrique les livres, les journaux,
et les films dignes d'intérêt.
Nous parlerons également de l'image de l'informatique qui se
dégage de certaines oeuvres.
Vous-même pouvez nous faire découvrir vos dernières
trouvailles dans ces domaines.
Pour découvrir quel est, parmi les magazines que nous avons vus,
celui que je vous conseillerai, cliquez ici.
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Les nouveaux films, et de plus en plus ceux
qui sont dits "à gros budget", se servent de
l'informatique, non plus uniquement dans leur tournage (effets
spéciaux, tournages en numérique, etc...) mais également dans
leur histoire.
Nous allons donc ici observer ce phénomène. J'ai donc
rassemblé pour vous quelques films, que vous avez d'ailleurs
sans doute tous vus.
La première chose que l'on peut dire, c'est que le phénomène
ne date pas d'hier. Déjà, dans certains films en noir et blanc,
l'informatique était présente. L'histoire se terminait bien
sûr sur une morale, une sorte de déontologie qui montrait
l'importance des valeurs humaines. Mais cela s'inscrivait surtout
dans un objectif de science-fiction : on imaginait les machines
et leur pouvoir futur. Il était normal, dans l'ignorance et
l'appréhension du futur d'extrapôler.
Cette vague d'appréhension de l'informatique dans une période
où celle-ci n'était pas encore très développée chez les
particuliers a donc plu, car elle faisait appel à l'imagination
: toutes les fantaisies étaient permises puisque la réalité
informatique
n'était pas encore répandue. Les plus connus restent Wargames
et Tron.
Puis avec le temps, l'informatique est entrée dans les moeurs.
Les ordinateurs personnels se sont répandus et les mentalités
ont compris la réalité informatique. Le phénomène s'est alors
divisé en deux parties.
Tout d'abord, on a continué à se projeter
dans le futur, en extrapôlant la tendance à mettre des
ordinateurs partout. On pensera notamment à RunAway le film
poussant la domotique à l'extrême.
D'un autre côté, on a observé le développement des
ordinateurs personnels et on les a introduits dans des films qui,
a priori, ne sont pas des films sur l'informatique. Ainsi, dans
Jurassic Park, les enfants ferment une porte de justesse en
utilisant un ordinateur muni d'un système de navigation (d'une
lenteur à toute epreuve).
A la télévision, également, l'utilisation de l'informatique
semble indispensable. Ainsi, dans la série Mission Impossible 20
ans après, la seule différence avec l'ancienne génération (en
dehors des nouveaux acteurs antipathiques et des dialogues très
pauvres) est la présence d'une série de gadgets informatiques.
Ce que ne semblent pas comprendre les auteurs c'est que n'importe
quelle personne ayant une légère connaissance informatique
dévoilera la mascarade, ce qui enlève de la crédibilité au
film.
La dernière mode concerne les virus. Un virus n'est vraiment pas
grand chose, tout juste un petit programme en assembleur. Mais
prenons deux films : Traque sur Internet et Independence Day.
Ces deux films mettent en scène des virus.
Vraisemblablement, voici la définition, d'après leurs auteurs
d'un virus :
Pas grand chose a changé depuis l'époque
des films en noir et blanc : on exagère toujours, on invente
parfois. Mais tout ceci n'améliore pas la vision de
l'informatique qu'ont les "non-initiés" (si l'on peut
parler ainsi).
La meilleure chose serait de donner des cours d'informatique aux
auteurs... à moins que ces derniers ne le fassent exprès. Grand
spectacle et réalité seraient-ils incompatibles ? Je ne pense
pas que Jurassic Park et Independence Day avaient vraiment besoin
de l'informatique dans leur histoire, Mission Impossible encore
moins. C'est un peu du gachis.Voilà, je m'arrête là. Si vous
voulez réagir, confirmer ou infirmer n'hésitez pas.
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Dede nous écrit un petit poème...
Les feuilles d'Automne
Revêtent leur robe jaune
Les vignes, leur pull roux
ou est-ce simplement le mildiou ?
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Télécharger CC.ASM
Le premier programme que nous allons faire s'appellera Crazy
Caps. Vous avez sans doute remarqué au démarrage de LiGiA que
les lettres avaient tendance à se mettre en majuscule puis en
minuscule (une inversion de casse) régulièrement. Ce
"gadget" fait parti du DkOS conçu exprès pour LiGiA.
C'est en fait un moyen de vérifier que DkOS est bien le maître
de
la situation. Si on est en mode texte et que ce gadget s'arrête,
c'est mauvais signe.
Notre premier programme consistera donc à programmer cette
inversion de casse. Le listing
est joint au fanz. Il serait bon de l'imprimer, puis de revenir
dans cette rubrique pour avoir
les explications...
Voici un résumé de notre cahier des charges...
En attendant, je vous laisse en espèrant que vous vous amuserez
avec ce petit programme
qui rend le DOS tout joyeux.
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