Devons-nous prendre au sérieux, les mises en garde de l’
OMS ? Si oui, que faire devant des scénarios qui vont d’une situation sous contrôle à une
situation
apocalyptique dont l’horreur ultime est l’effondrement social et économique de notre société.
Nous avons deux choix, prendre le risque de ne rien faire ou élaborer une stratégie commune contre un ennemi que l’on ne connaît pas, voire qui n’existe pas encore.
Mais dont la naissance semble, selon l’OMS,
imminente et
inéluctable.
Avons-nous les moyens de faire face à ce nouveau virus appréhendé avec un
vaccin
et/ou des antivirales ?
La réponse est hélas NON ! Le
vaccin ne sera disponible que 4 à 6 mois après la connaissance spécifique de la chimère qui naîtra de la rencontre du H5N1 avec les mammifères. Qui plus est, le vaccin aura une efficacité limitée à 75%.
Les antivirales, aucun n’est produit au Canada. Quelles sont nos réserves ?
(Questions en suspens, page 7)
Si nos réserves ne peuvent répondre aux besoins prévisibles de toute la population, qu’elle sera notre responsabilité ? Dès les premières heures de la pandémie, la pénurie et les embargos sont à craindre.
Si le virus est virulent, notre seule liberté sera-elle de mourir
collectivement
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Ne rêvons pas en couleur, n’ayons pas une pensée magique. Nous sommes peut-être devant la pire catastrophe potentielle de l’histoire de l’humanité.
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