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[Frotteux suivit
la puissante reine en silence et en fixant le derrière de la petite
robe transparente que cette dernière portait. Pour une femme aussi
laide, Frotteux trouvait qu’elle avait un cul d’enfer. Dans la
pénombre dans laquelle ils avançaient tous les deux, le Cockring
brillait d'un éclat anormal.
Ils descendirent une longue série de marches qui menait au repaire
crasseux et rempli d'articles sado-maso de Maladriel. Au milieu de
cette clairière, se trouvait une magnifique toilette en marbre brun
dans laquelle coulait une eau aussi claire que celle du fleuve
Andouilline, réputée pour sa vie animale inexistante. Maladriel
s’approcha de cette toilette et commença à se passer le doigt
vigoureusement jusqu’à ce les premières gouttes de jus féminin ne
coulent sur ses doigts. Elle versa aussitôt ces quelques gouttes
dans l’eau de la toilette qui commença à s’agiter et à faire des
bulles. Frotteux qui la regardait faire était en érection totale.]
Frotteux: Gulp !
Maladriel: Voici la toilette de vérité. Si tu regardes dedans tu vas
y voir des choses qui sont arrivées, qui se produisent en ce moment,
et d’autres qui sont pas encore arrivées mais qui vont arriver un
putain de jour ou l’autre. Pis si t'es ben chanceux, tu vas
peut-être même voir la bande annonce de Coquerelle anal gangbang
numéro II avec Marianus Lebrun. Le film auquel t’arrêtes pas de
penser depuis que t’es ici, petit vicieux. Oseras-tu mettre le
Cockring dans l'eau sans venir dedans ?
Frotteux: Ça sera pas facile mais je veux bien essayer.
[Frotteux s'approcha de la fontaine, bandé comme un chameau
faisant de la rétention d'eau. Il plongea sa bite avec l’anneau
dessus. Ce qu'il vit alors le renversa. Des milliers de personnes se
faisant sodomiser par des orcs et des trolls. Il vit également ses
compagnons se faire manger la queue par des monstres aux dents
pourries. Et à la fin, avant que la vision ne s’évanouisse, il eut
la joie de voir les premières secondes de la bande annonce de
Coquerelle anal gangbang numéro II : ce qui le boulversa au plus
haut point. Il sentait qu’il était sur le point de jouir et avant de
commettre l’irréparable, il se retira, complètement, à bout de
souffle.]
Maladriel: Je sais ce que t’as vu dans la bole, p'tit calisse. Parce
que moé aussi j'ai vu tout ça quand je me suis foutu la face dedans
il y a des années de cela.
Frotteux: Je ne veux pas avoir à faire face à tout ça. Je ne suis
qu’un simple d'esprit et un incapable. Tout le monde me le dit
toujours.
Maladriel: Petit calisse de crétin ! Si tu le fais pas, qui c'est
que tu penses qui va être assez stupide pour le faire ? HEIN !?!
Réponds ostie de mange-marde !
Frotteux: Je vais vous le donner le Cockring. Demandez-le moi !
Maladriel: Ah ben christ !!! Tu me le donnerais comme ça, sans poser
de question. T'es vraiment un cave ! Qu’est-ce que tu veux que je
fasse avec ça, me percer le clitoris pis crisser l’anneau dessus ?
Crétin de tabarnak. Ce putain d’anneau là prend son pouvoir sur les
gars pas sur les filles. Osti de trou du cul. GGGGRRRRRR !!!
[Complètement insultée par l’offre du porteur de l’anneau,
Maladriel eut une transformation incroyable. D'un seul coup, elle
vira au vert et ses vêtements devinrent comme du cuir clouté. Elle
prit ensuite la parole d’une voix autoritaire de nymphomane en
chaleur.]
Maladriel: Prends le Cockring sale porteur ! Rentre moi ta bite dans
le cul le plus profond que tu peux, fait moi pisser le sang en
tabarnak ! ALLEZ !
[Incrédule, Frotteux saisit l'occasion, de même que sa queue,
pour enfourcher le cul parfaitement balancé de la reine Maladriel
qui en aboya des hurlements de souffrance et de plaisir (elle
n’avait pas été soigneusement lubrifiée ce soir-là). Ensemble,
Frotteux et elle, ils eurent des heures et des heures de plaisir
charnel par la suite. Maladriel passa d’ailleurs au travers de sa
collection d'anus en plastique, passant du modèle léger au modèle
pour gros travaux. Après avoir terminé et fumé une clope ou deux
Maladriel repris la parole.]
Maladriel: Ostie de calisse de cave de criss de siboire de tabarnak.
Mon petit verrat toé !
Frotteux: J'ai été nul ?
Maladriel: Es-tu fou mon calisse !? Ça fait des siècles que CéléBrun
m'a pas fait jouir du cul de même ! L'ostie d'incompétent de
joualvert ! Faudrait que je te présente à ma nièce toé mon ptit
sacrament. T'es bon !
[Frotteux rougit de bonheur. Il avait passé le test. Il savait
maintenant qu'il était le seul compétent de toute la falluship. Il
venait de prendre la décision la plus importante de toute sa minable
vie.]
Frotteux : Maintenant, je sais ce que je dois faire.
[Pendant tout ce temps, vers midi, dans la forteresse de
Ba-Marde-dur qui se trouvait au cœur des ténébres de la contrée de
Merdor, et devant laquelle était garée une vieille Harley Davidson
couverte de bouette.]
Sa-Rhum-Man : M'en va te poser une question, pis t'as trois chances
pour y répondre comme du monde. Si tu y réponds comme faut, je m'en
vais me charger de tout dire à Smoron. Mais si tu réponds pas comme
faut, c'est toi qui va aller y annoncer la mauvaise nouvelle en
personne. Ca marches-tu ?
[Un motard à lunettes, bedonnant et grisonnant, se tenait debout
face au vieil érudit qui puait déjà le Jack Daniels - même à une
heure aussi matinale.]
Mom Mouché : Ais-je vraiment le choix ?
Sa-Rhum-Man : Ne joue pas au fin finaud avec moi, Mouché. Sinon, je
connais une grosse araignée qui va se faire le plaisir de te faire
un 'golden shower' pendant qu'une couple de trolls complètement
défoncés au vomi de sylphes vont venir te travailler l'anus au
chalumeau et à l'ouvre-boîte StarFrit.
Mom Mouché : C'est correct. Poses-la ta question. Je vais me tenir
tranquille.
Sa-Rhum-Man : Sais tu comment les Orcs sont venus à exister ?
Mom Mouché : Quoi ?
Sa-Rhum-Man : Sais tu comment les Orcs sont venus à exister ?? C'est
pas compliqué.
Mom Mouché : Je comprends pas !?
Sa-Rhum-Man : Sais tu comment les Orcs sont venus à exister ?
Dernière
chance.
Mom Mouché : De quoi, dernière chance ?
Sa-Rhum-Man : T'as épuisé tes trois chances mon homme. Mais avant de
t'envoyer annoncer que le Cockring vous a filé entre les couilles à
Morvia au très compréhensif Smoron, je vais quand même te raconter
comment les orcs en sont venus à exister. L'affaire, c'est que
c'était des elfes avant. Hé oui ! Tes arrières grands-cousins
germains de la quatrième fesse gauche n'étaient rien de moins que
des fifures d'elfes, Mouché. C'était des Elfes jusqu'au jour où
Smoron a organisé un grand défilé gai sur les plaines vallonneuses
d’Amorve Hen. Le défifilé de la fierté que ça s'appelait. Tu
comprends ben qu'le taux de participation chez les Elfes a été élévé
en tabarnak.
Mom Mouché : J'ai entendu dire que ça avait mal fini, ce défifilé-là.
Sa-Rhum-Man : Ca dépend de quel point de vue tu te mets. Du point de
vue des milliers d'Elfes que Smoron a capturés, puis torturés, puis
chiés dessus jusqu'a ce qu'ils deviennent bruns, puis'embellis de
produits cosmétiques que même ta tante, la mairesse Mouché oserait
même pas se mettre dans face. C'est sûr que ça a pas super bien
fini. Mais si tu te mets du point de vue de Smoron, c'était pas si
pire que ça : il avait maintenant une horde d'orcs à son service
qu'il allait libérer dans la nature, comme un gros pet puant les
oeufs pourris dans importante réunion de direction. Les orcs se sont
regroupés en bandes, se sont achetés des motos pis fait faire des
gros tatous degueulasses, puis ont commencé à répandre terreur et
semence dans les quartiers paisibles avoisinants.
Mom Mouché : Ouin, j'avoue que c'est pas mal chien ce que Smoron
nous a fait. Apres tout, les Elfes ont pas à se taper des années de
prison à se faire enculer entre deux barreaux ou encore avoir à
regarder en dessous de leur char pour voir si une gang rivale y a
pas crissé une bombe. C'est pas une vie, ça.
Sa-Rhum-Man : Tu sais, je pourrais peut-être vous aider à vous
sortir de cet enfer de violence et d'enculade. Vous libérez de
l'emprise de Smoron. Vous redonner votre liberté d'antan. Mais pour
ça, il va falloir que tu répondes à une autre de mes putains de
questions de gars super intelligent qui fume du pot, comme moi, un
Génie en Herbes.
Mom Mouché : C'est quoi la question ?
Sa-Rhum-Man : Qui est-ce que tu sers ?
Mom Mouché : Euh ? Est-ce que je peux avoir un indice ?
Sa-Rhum-Man : *soupir* Oui ! Il va te transformer en chauve-rat dans
cinq secondes si tu continues à le niaiser.
Mom Mouché : Euh! Ok ! J’y suis maintenant. Je sers le puissant
SAAAAAA-RHUUUUUMMMM- MAAAAAAANE
Sa-Rhum-Mane : Pas si fort, crétin dégénéré, Smoron pourrait
t'entendre.
Mom Mouché : Scuzez!
Sa-Rhum-Man : Bon, toi et tes ecervelés de subalternes, allez vite
barrez la route à la Falluship qui en ce moment doit surrement en
voir de toutes les couleurs dans les bois souillées de LothVagin,
avec cette vieille folle de Maladriel. Si jamais, elle les laisse
partir en vie, ce qui me surprendrait, je veux que vous les pogniez
dans le dos, que vous me ramenez le petit hobbit qui a une grosse
queue de troll et que vous tuiez les autres par ordre alphabétique.
C'tu clair, ca, bout de crisse ?
Mom Mouché : Sir! Yes ! Sir!
Sa-Rhum-Man : En route ! Et si jamais sur votre chemin vous croisez
une petite creature aux yeux exorbités qui sent comme un camion de
vidanges qui vient d'écraser un gros putois, exterminez-le. C’est ce
petit tas de fumier de Scrotum. Smoron vient de l'envoyer en mission
secrète pour récupérer le cockring. D’accord ?
Mom Mouché : Sir! Yes! Sir!
Sa-Rhum-Man : Exxxxxxxcccccccellent ! Maintenant, je vais aller
fourrer cette vieille cochonne d’araignée pour la huitième fois de
la journée.
[De retour dans les bois en décomposition de LothVagin, nos amis
se réveillèrent au petit matin, en grande partie à cause du coq qui
geulait en s'en défoncer la gorge pour impressionner ses poules,
mais aussi à cause de l'inconfort insoutenable des lits en bois rond
pouris. Ils étaient convoqués à une rencontre avec Maladriel. Une
forte odeur de marde remplissait l'air. Il s'agissait de CéléBrun
qui avait un peu trop mangé de sandwiches aux oeufs que lui avait
préparées Maldriel.]
Gémi: J'ai jamais aussi mal dormi ! Vous autres les Elfes vous savez
vraiment pas comment recevoir la visite ! Par chez nous on a des
beaux lits de pierre confortables.
VaVomir: J'ai un mal de dos incroyable !
Avalgorn: Pis moi j'ai mal au cul !
Lesgrelos: Oups, j'y suis peut-être allé trop fort cette nuit mon
beau brun.
Avalgorn : Comment ?
Lesgrelos : Euh ! Rien.
Frotteux: J'ai le gland en feu. Quel nuit d'enfer !
Scram: Encore une nuit de masturbation intense ?
Frotteux: Non, c'est... euh... oui c'est ça...
[Après avoir mangé les racines de sapin en sauce qui leur avait
été servit pour le petit déjeuner, la falluship se diriga vers le
rendez vous que Maladriel leur avait donné.]
Maladriel: Vous en avez mis du temps gang de pas bon d'ostie ! J'ai
pas rien que ca à faire moé ! Faut que j'aille faire la vaisselle.
MerryChrismas: Hein ? Une reine qui fait la vaisselle ?
Maladriel: Poses pas trop de question toé mon p'tit nain du père
noël, sinon tu vas finir en moufette écrasée sur le bord du chemin.
Gémi: Vous êtes si belle ce matin sans votre maquillage et avec vos
cheveux tout gras et mêlés. Et que dire de votre robe de ménagère.
Wow ! C’est spectaculaire.
Maladriel: Veux tu rire de moé le p'tit gros ! J'ai passé deux
heures à matin à essayer de m'arranger la face ! C'est pas ma faute
moé si ma ménopause de mon 3e millénaire a laissé des traces. Pis ça
c'est ma robe de marriage ! Je l'ai mise ce matin parce que c'est
une occasion spéciale. Tu me fait chier en calisse de me dire ça
ostie de vieux chien barbu.
Gémi: (en chuchotant à Lesgrelos) : Tu vois, je pense qu'elle est
amoureuse de moi.
Avalgorn: J'aimerais dire que nous sommes enchantés de passer ces
quelques moments en votre charmante compagnie.
Maladriel: Toé l'imcompétent, pousses pas ta chance trop loin. Ma
nièce m'a assez parlé de toé en mal que t'es ben chanceux que je
t'aille pas changé en siphon. C'est ben parce que mon frère L-Rond
te trouve de son goût, parce qu’avec l’insatisafaction que tu donnes
à ma nièce, moé j'aurais pas eu pitié de toé. Incompétent d'enculeur
raté.
Avalgorn: Vous... elle.... tu....
Scram: J'pense que t'es mieux d'la fermer mon vieux.
[Tous restèrent là, sans trop savoir quoi faire, sans trop savoir
ce qu'ils attendaient vraiment. Maladriel se décrottait les ongles à
l'aide de son nouveau clitoris en forme de lime à ongles, pendant
que VaVomir, en prise avec une nouvelle crise de tics, se pinçait
les tétines jusqu'au sang en espérant en faire sortir une forme
quelconque de lait.]
Maladriel: Bon. Il faudrait ben que je vous aide un peu dans votre
quête, bande de bons à rien. Je dois ben avoir une couple de
vieilles crisses de bébèles ramassées chez McDo dans les joyeux
festins pour enfant que mange toujours le roi CéléBrun.
[Elle ouvrit une boite où CéléBrun cachait tous ses jouets
personnels, dont une version unique de Goldorak en pâte à modelé
qu'il avait reçu lors de son 1497e anniverssaire et auquel il tenait
comme à la prunelle de son anus. Maladriel en sortit deux ou trois
babioles au hasard qu'elle offrit de façon personalisée à chaque
membre de la falluship.]
Maladriel: Pour commencer, m'en va vous donner à chacun une belle
froque de cuir que j'ai moi-même cousue. Elles vont vous permettrent
de passer innapercu à travers les motards au cas où vous auriez
affaire à eux. Ne regardez pas trop la finition. J'avais pu de fil
noir, faque j'ai fini ça avec du fil jaune pipi. Ca donne un genre.
Si y en a un calisse qui se plaint, je le change en boudin de troll.
Falluship d'un ton peu convaincu : Youppi.
Maladriel: Ensuite, comme vous êtes tous des gros calisse de porcs
pis que la route va être longue en tabarnak, j'ai pensé vous faire
cuire des petits biscuits bruns. Bon ok, je les ai un peu fait
brûler, mais que j'en vois pas un calisse s’en plaindre. C'est des
biscuits spéciaux qui vont vous bourrer la panse pendant des jours.
C'est une recette de ma putain de grand-mère.
Frotteux: C'est quoi l'ingrédient secret ?
Maladriel: Deux onces de sécression vaginale d'ogresse-mage.
VaVomir: BRAAAAARFFFFFFFFF !!!!
Maladriel: Pour ce qui est des cadeaux personnalisés, commençont pas
le plus insignifiant. Scram. Je vais t'offrir un rateau à crottes de
nez. Comme ça tu vas pouvoir te jardiner les fosses nasales comme un
demeuré pour le reste de tes jours. Prends-en bein soins parce que
c'est fait en ptit crisse de plastique cheap.
Scram: Wow ! Merci ma grande !
[Scram l'essaya immédiatement et le résultat en fut des plus
dégoûtant. Une salve de crottes de nez receuillit du plus profond de
ses entrailles tomba au sol comme une coulée de lave verte et
acide.]
Maladriel: Pour toé, le ptit gros barbu, m'en va te donner une mèche
de ma touffe blonde et royale. Comme ça tu vas pouvoir te crosser
comme un jeune pubert en pensant à moi, gros crisse de cochon de
lait.
Gémi: Merci mille fois oh douceur du printemps. Vous êtes comme une
rose fanné à qui je foutrais mon gros nez rond dedans pour sentir le
parfum de vos petites culottes. Vous êtes pour moi comme...
Maladriel: T'a farme tu le court-sur-patte ou ben t'attend que je te
transforme en rutabagas ? Maudit calisse. Y a personne de normal
icitte ? Bon, asteure, les deux ostis de chicos dont je suis pas
capable de la différence. C'est quoi donc vos crisses de nom, encore
?
MerryChristmas : MerryChristman, madame. Mais dans mon village
natal, Cape-Aux-Anguilles, tout le monde m'appelle 'ti-christ'
Ptit Pine : Et moi, c'est Ptit Pine. Mais dans mon village natal,
Saute-Aux-Mouffettes, tout le monde m'appelle 'PinHead'
Maladriel : Tabarnak ! Pas si vite. Je peux retenir autant
d'informations d’un seul coup, moé, bout de siboire. Ah pis crisse !
Je m'en sacre tu a part de ça de vos crisse de noms stupides. Tenez,
v'là un cadeau pour vous deux. Débrouillez-vous avec ça, calvert de
crisse que j'en reviens pas d'être aussi de bon humeur à matin.
[Elle tira au milieu des deux Grosbits un petit cadeau emballé
dans du papier de toilette souillé. MerryChristmas et PtitPine se
ruèrent pour s'en emparer avant l'autre. Une bagarre s'ensuivit
entre les deux Grosbits qui s'arrachaient le cadeau des mains tout
en essayant de le déballer. Le visage plein de marde, ils se
battaient à coups de pieds et coups de poings, sous les
encouragemenst et les conseils de VaVomir qui était toujours du
genre à apprécier une bonne bagarre de rue, lui qui avait longtemps
participé dans une ligue de combats dans le vomi, dont il avait été
le plus grand champion et le principal fournisseur de ce dit vomi
dans lequels ils luttaient à toutes les semaines. D'ailleurs, l'on
disait de lui qu'il était si nerveux avant les combats, qu'il
pouvait transformer un aréna au complet en arène de vomi.]
MerryChristmas : Ah Ah ! C'est moi qui gagne !
[Le Grobit venait de soumettre son cousin germain à l'aide de la
terrible prise de la couleuvre brune qui consistait à faire pénétrer
son pied le plus loin possible dans l'anus de l'adversaire jusqu'à
ce qu'il ne lui sorte par la bouche. Il déballa ensuite le reste du
cadeau mais fut fort désapointé de constater qu'il ne s'agissait que
d'une vulgaire broche en forme de pretzel faite également à partir
de papier de toilette souillé. Il s'en moqua et la laissa choir au
sol. Ptit Pine, qui avait vécu une enfance très pauvre dans une
famille où l'on décorait le sapin de Noel avec des stylos pu
d'encre, des jack straps et des boîtes de ragoût de boulettes,
s'empara de la broche et la garda précieusement.]
Maladriel : Bon.....Qui est-ce qui a pas encore eu son crisse de
cadeau, là ?
Lesgrelos : Ben moi, j'ai rien eu encore. Vous auriez pas ça un gros
entonnoir. Disons du genre que le gros bout pourrait contenir une
vingtaine de queues de trolls et le petit boute serait de la
grosseur de ma bouche ?
VaVomir : BBAARRRFFF!!! BBBAARF!!
Maladriel: J'en vois vraiment pas l'utilité, mais j'ai effectivement
un vieil entonnoir qui a servit à CéléBrun le jour de son
enterrement de vie de garçon. Je me demande bien ce qu'ils en ont
fait avec.
Lesgrelos: Merci ô ma reine.
Maladriel : Quant à toi, l'enculeur raté, je vais te donner le plus
précieux des présents, celui qui rendra peut-être un jour ma niece
heureuse... enfin je l'espère.
Avalgorn: Un livre ?
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