Le 31/10/02, s’est tenu dans notre empire un référendum d’une importance capitale sur l’avenir de notre pays. Son propos été de ramener l’ordre en permettant à la population de s’exprimer sur une éventuelle réforme constitutionnelle.

Le taux de participation a été très variable suivant les régions et au sein de ces régions. Le statu quo l’a emporté en Carinthie, ce qui n’est pas une surprise, ainsi que dans les zones coloniale du bâbord de la Rénanie (zones récente de peuplement par des colons provenant essentiellement de Carinthie et Vesphalie). L’option de la simple décentralisation (choix 2 du référendum) a été surtout le fait du bâbord de la Vesphalie et de l’arrière de la Silésie. Les velléités fédérale (choix 3) ont été affirmée dans le centre de la Nordésie, le centre bâbord de la Rénanie, une bonne moitié avant de la Silésie et le tribord de la Vesphalie.

Deux logiques se sont donc affrontées : effet centre périphérie par rapport à Colombey et même chose vis-à-vis de Kébek.

L’abstention, qui a atteint 78% à Keybek et jusqu’à 100% dans certaines petites villes de Rénanie est essentiellement le fait de la Rénanie. Les plus hauts taux de participation se distribuent, exception faite de cette région, par ordre décroissant, en s’éloignant de Colombey pour remonter vers les frontières pionnières (Rénanie) ou avec un fort particularisme (Nordésie)

Les options proposées ont remportées les suffrages suivants : statut quo : 21,3% (dont 80% situé en Carinthie), décentralisation : 36,2% (dont 72% au bâbord de la Vesphalie et de la Silésie, Villeray s/M inclus), fédéralisation : 30,2% (Silésie et Nordésie comptant égalité pour un tiers chacune), confédéralisation / séparation : 12,3% (les deux tiers en Rénanie, le reste en Nordésie ou quasiment).

Puisqu’il s’agit d’un scrutin national, la décentralisation avec un partage plus grand des pouvoirs, un rééquilibrage vers les régions administratives est donc le choix qui domine. Cependant, les sénateurs se devront de tenir compte du relatif succès de la voie fédérale sans, pour autant s’aliéner les Carinthiens. Le choix de l’éclatement du pays, sauf à dire que les très nombreux abstentionnistes de Rénanie sont des indépendantistes, n’est décidemment pas justifié.